Pour attaquer la semaine, voici un peu lecture, avec un test de l'oreillette Plantronics Discovery 665 réalisé par mes soins pour le compte de NDFR.net. Utilisant une liaison sans-fil Bluetooth, elle vous permettra de garder votre téléphone au fond de la poche sans vous encombrer d'un fil.

Extrait :

Alors qu'on ne sait toujours pas si les ondes de nos téléphones portables ont un impact sur la santé, il existe un moyen simple de les éloigner un peu de notre cerveau : utiliser un kit mains-libres. Les kits filaires souvent livrés avec les téléphones ne sont toutefois pas toujours très pratiques, et pour un usage intensif, il peut être préférable de se tourner vers un kit sans-fil BlueTooth, comme le Plantronics Discovery 665 dont nous allons vous parler.

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Les SSD ne cesseront pas de nous impressionner... Encore dans l'ombre il y a à peine un an, du fait d'un prix trop élevé et d'un marché extrêmement ciblé, les SSD font tomber depuis quelques temps les records en terme de stockage. Les SSD offraient déjà des temps d'accès bien meilleurs que ceux des disques durs, des débits plus élevés et plus réguliers... il ne leur manquait qu'une chose : la capacité, la plupart des SSD se limitant à des capacités de 32 ou 64 Go.

Mais grâce à BitMicro, les limites de capacité sont désormais franchies, avec le lancement de l'E-Disk Altima 4Gb FC, un SSD d'une capacité record de 1.6 To en 3.5". Aucun disque dur n'atteint un tel niveau aujourd'hui. L'Altima ne se contente d'ailleurs pas de ce record de capacité, puisqu'il proposera également un impressionnant débit de 230 Mo/s, tandis que les temps d'accès se situent aux alentours de 0.02ms ! Afin d'exploiter pleinement ces performances, l'Altima utilise une interface SCSI Fiber Channel 4 Gbits/s.

Il sera disponible dès le début de l'année prochaine, mais à un prix qui devrait être de l'ordre de quelques dizaines de milliers d'euros.

C'est cette hier, seulement 4 jours après le lancement des Radeon HD 3800, qu'AMD a choisi de lancer sa nouvelle gamme de processeurs grand public, les Phenom X4. Très attendus après la longue agonie des Athlon 64/X2, les Phenom étaient sensés représenter le retour aux affaires d'AMD grâce à une nouvelle architecture embarquant de nombreuses nouveautés. Malheureusement pour ceux qui espéraient un nouveau duel AMD/Intel, les premiers Phenom sont loin de tenir leurs promesses...

Sur le papier, l'architecture K10 présente pourtant de nombreux avantages : architecture quad-core native, trois niveaux de cache (les L1 et L2 n'étant pas partagés entre les cœurs, contrairement au L3), l'HyperTransport 3.0, sensé améliorer les communications entre le processeur et le reste du système, de nouvelles technologies de gestion d'énergie (et notamment des fréquences indépendantes pour chaque cœurs), l'ajout des instructions SSE4, et bien sûr, tout un tas de petites améliorations destinées à améliorer les performances par rapport à l'architecture K8 des Athlon 64/X2.

En pratique, par contre, tout n'est pas aussi rose... En effet, si ces améliorations permettent au K10 de distancer nettement un K8 de même fréquence, les K10 font tout juste jeu égal avec des Core 2 Quad d'Intel. Là encore, vu comme ça, le résultat pourrait être intéressé. Mais le manque de maîtrise du process 65nm chez AMD vient tout gâcher : le Phenom est capable de se battre contre les C2Q à fréquence égale, mais se révèle par contre incapable (et de loin !) d'atteindre les mêmes fréquences que leurs concurrents de chez Intel ! Ainsi, alors que les C2Q d'Intel sont proposés à des fréquences allant de 2.4 GHz à 3 GHz, les Phenom, qui auraient dû être lancés aux fréquences de 2.2 (Phenom 9500), 2.3 (Phenom 9600) et 2.4 GHz (Phenom 9700) se limitent finalement à 2.3 GHz, AMD ayant quelques difficultés à produire en masse les versions 2.4 GHz. Même le "vieil" Athlon 64 X2 6400+ fait bien mieux en termes de performances, grâce à sa haute fréquence qui compense partiellement les faiblesses de son architecture. AMD maitrisait clairement bien mieux le process 90nm... De plus, la faiblesse des overclocking obtenus par les premiers testeurs n'aident pas à voir l'avenir d'AMD de façon optimiste.

La messe est dite, le Phenom est dans l'incapacité totale de lutter sur le segment haut de gamme. Reste le rapport performances/prix. Mais là encore, AMD fait erreur, en essayant de nous vendre son Phenom à des tarifs beaucoup trop proches de ceux du Core 2 Quad Q6600, plus performant. C'est d'autant plus gênant que le Phenom n'est vraiment à l'aise que dans les applications tirant fortement partie de ses quatre cœurs, alors que la plupart des applications grand public se contentent d'un ou deux cœurs. Dans ce cas, le Phenom X4 est complètement lâché par la concurrence (y compris les Athlon X2 !) en termes de rapport performances/prix. Le Phenom pourrait donc constituer un bon processeur quad-core premier prix s'il était proposé quelques dizaines d'euros moins cher, mais au prix actuel, nous ne voyons pas vraiment quel public il pourrait cibler.

Enfin, et ce n'est pas le moindre des problèmes, la plateforme Spide (basée notamment sur un processeur Phenom et un chipset AMD 790FX) ressemble pour l'instant plus à un produit beta qu'à une version finale. BIOS buggés, systèmes instables, performances erratiques... Voilà ce qui pourrait devenir le quotidien des premiers acheteurs, en attendant la vraie finalisation de cette plateforme. Le contraste est saisissant si l'on compare ce lancement à celui du Core 2 Duo il y a un peu plus d'un an, où Intel était arrivé avec une plateforme parfaitement stable et mature...

Bref, une fois encore, AMD va probablement devoir casser les prix pour pouvoir vendre ses processeurs. De notre côté, nous n'avons plus qu'à espérer que, à défaut de maitriser le process 65nm, AMD réussira une belle transition vers le 45nm (mais encore une fois, avec un train de retard sur Intel qui lancera ses premiers processeurs 45nm avant la fin de l'année), qui peut-être lui permettra de se placer dans une position un peu moins inconfortable...

NDFR.net est décidément très actif ces derniers temps et nous propose aujourd'hui un nouvel article. Cette fois-çi c'est la webcam Microsoft LifeCam VX-7000, le haut de gamme du constructeur, qui passe au banc d'essai.

Extrait :

Nouveau venu sur le marché des Webcam, Microsoft tente de s'y faire une place aux côtés des leaders actuels que sont Logitech, Creative, Philips, ou encore Hercules. Après les joysticks, souris et autres claviers, la division Hardware de la firme de Redmond s'est donc lancée récemment dans les "produits de communication", casques et webcams pour PC, naturellement optimisées pour son logiciel phare du moment, Windows Live Messenger (anciennement MSN Messenger). Sa gamme, disponible depuis plus d'un an, s'est enrichie récemment d'un modèle haut de gamme, la LifeCam VX-7000, la plus complète des webcams de la marque.

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Depuis le rachat d'ATI par AMD, le constructeur canadien de cartes graphiques n'a pas vraiment brillé par ses performances, en particulier avec le lancement de sa première génération des cartes DirectX 10 haut de gamme, les Radeon HD 2900 XT (R600), aux performantes décevantes et à la consommation démesurée. Tout comme son concurrent nVidia, ATI vient de lancer une seconde génération DX10, plus proche du die-shrink de la génération précédente que d'une vraie nouvelle génération.

Baptisées Radeon HD 3850 et 3870, ces deux nouvelles cartes se positionnent clairement face à la récente GeForce 8800 GT d'nVidia. Le GPU RV670 qu'elles embarquent propose les mêmes caractéristiques que le décevant R600, mais la finesse de gravure passe de 80 à 55nm, ce qui permet une consommation sensiblement plus faible et des fréquences de fonctionnement plus élevées. Ainsi, la HD 3870 mouline à 775 MHz, contre 742 MHz pour une HD 2900 XT, tout en consommant jusqu'à 100W (oui oui, vous avez bien lu...) de moins en pleine charge. Très critiqué sur la consommation des HD 2900 XT, ATI a d'ailleurs également travaillé sur la consommation au repos, qui diminue également d'une cinquantaine de watts.

Bien entendu, les différences ne se limitent pas à la finesse de gravure et aux fréquence, puisque le RV670 embarque également quelques modifications subtiles et corrige certains bugs du R600. Sur le plan des performances la HD 3870 se positionne très légèrement en retrait par rapport à la 8800 GT, tandis que la HD 3850 fait jeu égale avec la 8800 GTS 640 Mo, tout du moins sous DirectX 9 et sans anti-aliasing... En effet, tout comme le R600, le RV670 s'essouffle rapidement lors de l'activation de l'anti-aliasing (les deux cartes sont alors dépassées par la 8800 GTS 640 Mo), et sont en difficulté dans les premiers jeux DirectX 10.

Ces deux nouvelles cartes pourraient tout de même s'avérer intéressantes, grâce à leurs prix agressif (170€ pour une 3850 / 256 Mo, 20€ de plus pour passer à 512 Mo et 215€ pour une 3870 / 512 Mo), qui leur confèrent un rapport performances/prix supérieur à celui de la 8800 GT (sans AA...) mais aussi grâce à leur faible consommation.

Il ne reste plus qu'à attendre les futures déclinaisons haut de gamme des GeForce 8800 GT et Radeon HD 38x0, qui risquent d'offrir des performances impressionnantes vu le niveau du nouveau milieu de gamme.

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Incapables de lutter sur la puissance brute, Via s'est recentré depuis quelques années sur un marché de niche qu'ils occupent quasiment seuls, celui des plateformes de bureau très basse consommation. Malheureusement pour eux, ils pourraient prochainement avoir à se frotter à un acteur de poids, puisqu'Intel est bien décidé à investir ce marché.

Dans cette optique, le leader du CPU x86 vient de présenter sa future plateforme Shelton 2008, qui n'est pas sans rappeler les plateformes Via Epia. Elle se compose donc d'une minuscule carte mère d'une grosse quinzaine de centimètres de côté, embarquant un chipset avec vidéo intégrée (Intel 945GC ou SiS 671) et un processeur soudé directement sur la carte mère. La mémoire sera de la DDR2, en barrette DIMM standard, et le stockage pourra être intégré directement à la carte mère (jusqu'à 4 Go de flash) ou connecté via les traditionnels ports SATA ou IDE.

On n'en sait pas contre très peu sur le processeur, en dehors du fait qu'il sera gravé en 45nm. Peut-être sera-t-il dérivé de l'actuel A110 ? Tout comme la plateforme Via, le Shelton sera intégralement refroidit passivement, ce qui laisse présager une très faible consommation et un fonctionnement parfaitement silencieux, en particulier dans le cas de configuration utilisant de la mémoire flash comme support de stockage.

Cerise sur le gâteau, cette plateforme devrait être particulièrement abordable, puisque destinée à animer des PC à 100$ et des portables à 300$. Les plateformes Via Epia à plus de 200€ risquent de paraitre soudain bien onéreuses face à cette nouvelle concurrence...

Il y a quelques années, la gamme SideWinder faisait le bonheur de nombreux joueurs, grâce à des produits de très bonne facture et des tarifs abordables. Mais cette gamme avait petit à petit sombré dans l'oublie, jusqu'à la Games Convention d'août 2007, durant laquel Microsoft a annoncé son intention de se relancer sur le marché des périphériques de jeux. NDFR.net a eu l'occasion de tester la première représentante de cette nouvelle génération de SideWinder, la SideWinder Mouse.

Extrait :

Dans la série des tests de souris Microsoft, voici la première représentante de la nouvelle gamme de la célèbre entreprise. Cette souris fait en effet revivre le nom SideWinder qui avait disparu avec les joysticks et gamepads de la marque il y a quelques années : elle est donc très clairement orientée vers un public de joueurs. Nous allons voir dans ce test pourquoi cette souris leur est destinée et si elle va leur convenir...

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Il y a quelques semaines, le magazine 60 Millions de consommateurs épinglait les fournisseurs d'accès ADSL : les Box multi-fonctions qu'ils fournissent à leurs abonnés sont trop gourmandes en énergie. Une bien mauvaise chose, alors que le Grenelle de l'environnment s'est terminé il y a peu sur une conclusion sans appel : il est impératif de réduire au plus vite notre consommation d'énergie.

Bien qu'Orange faisait figure de bon élève dans cet article, l'opérateur a décidé de réagir et de fournir un produit plus écologique. En partenariat avec Sagem, le principal constructeur des LiveBox, Orange va désormais travailler à la diminution de l'empreinte écologique de sa Box, en travaillant sur plusieurs points. Tout d'abord, c'est bien sûr la consommation électrique qui sera revue à la baisse. Ensuite, les LiveBox seront conçues de façon à ce que leur recyclage soit facilité (démontage, séparation des matériaux...). Enfin, les LiveBox seront construites en employant des matériaux moins agressifs pour notre planète.

Une belle initiative de l'opérateur historique ! Espérons qu'elle fera des émules chez les autres FAI, dont les Box sont au moins aussi gourmandes (une Freebox v5 et son boîtier HD consomment plus de 20W !).

Je viens de publier un nouveau test sur NDFR. Après un test de dissipateurs pour cartes graphiques, ce sont cette fois des cartes graphiques complètes qui sont passées entre mes mains, trois modèles d'entrée de gamme de chez Zotac. L'occasion de voir ce que valent les cartes DX10 économiques de chez nVidia.

Extrait :

Le 8 novembre dernier, nVidia lançait la première génération d'un nouveau genre de cartes graphiques : les cartes graphiques DirectX 10. Plus qu'une simple révision de l'API de Microsoft, DirectX 10 est une refonte en profondeur, impliquant de gros changements, aussi bien au niveau matériel qu'au niveau logiciel.

Réservé initialement au haut de gamme, avec le GPU G80 équipant les GeForce 8800, DirectX 10 est arrivé 8 mois plus tard sur des déclinaisons d'entrée et de milieu de gamme, les G84 (GeForce 8600) et G86 (GeForce 8500 GT et 8400 GS). Nous avons eu l'occasion de tester trois représentantes de l'entrée de gamme DirectX 10, prêtées par Zotac, un nouveau constructeur appartenant à la même maison mère que Sapphire : une 8400 GS, une 8500 GT standard, et une 8500 GT Zone Edition, dotée d'un refroidissement passif. Que valent-elles face à la 7300 GT qu'elles remplacent ?

• Lire le test des cartes graphiques Zotac 8400 GS, 8500 GT et 8500 GT Zone Edition

A peine Leopard sorti, Apple effectue un très léger rafraichissement de sa gamme de portables grand public, les Macbook, confirmant ainsi les rumeurs qui annonçaient l'arrivée de la plateforme Santa Rosa et du chipset graphique GMA X3100 dans les Mac.

Une mise à jour relativement mineure donc, mais toujours bonne à prendre, surtout pour un prix inchangé. Notons également que les versions 2.16 GHz passent pour l'occasion à 2.2 GHz.

Les MacBook Pro de série ne sont pas mis à jour cette fois-çi, mais disposeront tout de même d'un processeur plus rapide en option, le Core 2 Duo 2.6 GHz. Toujours pas de SSD et d'ultaportable donc :-(

Ces derniers jours ont été riches en nouveautés très attendues. Petit récapitulatif...

Tout commence vendredi dernier, chez Apple, avec l'arrivée de Leopard, la toute dernière version de Mac OS X (10.5). Au programme, une refonte en profondeur de l'OS, mais dans la continuité des versions précédentes. Les anciens utilisateurs ne seront donc pas dépaysés et pourront très vite profiter des nouveautés, principalement axées sur l'amélioration de la productivité : aperçu rapide gérant de nombreux types de fichier, nouvelle présentation du Finder à la manière du mode coverflow d'iTunes, gestion de bureaux virtuels, etc... Les applications phares de l'OS d'Apple (Mail, Safari, iTunes, iPhoto...) ont également été mises à jour pour l'occasion, et, contrairement à ce que l'on observe généralement du côté de Microsoft, cette nouvelle mouture est plus rapide que la précédente. C'est le moment de croquer la pomme pour ceux qui n'y ont pas encore succombé !

• Test de Leopard sur ZDNet
• Test de Leopard sur Ars Technica (très complet, mais en anglais)

Lundi matin, c'est Intel qui était à l'honneur, avec la présentation de la toute dernière révision de l'architecture Core : le Penryn. Disponible dès la fin de l'année sous la forme d'un nouveau Core 2 Quad Extreme à 3 GHz (QX9650), cette révision de l'architecture marque la transition vers une gravure en 45nm. Le processeur en profite pour embarquer plus de mémoire cache L2 (2x6 Mo au lieu de 2x4 Mo sur les C2Q et C2QX précédents) et un nouveau jeu d'instructions multimédia, le SSE4.1. Si le gain de performances n'est pas phénoménale par rapport aux révisions précédentes, le Penryn fait la différence sur le rapport performances/consommation, qui grimpe à des niveaux jamais atteint : la consommation du QX9650 est 40% inférieure à celle du QX6850 de même fréquence. Impressionnant. Le Penryn se distingue également par sa capacité d'overclocking, tout simplement époustouflante : les premiers modèles dépassent sans difficulté les 4 GHz en refroidissement à air !

• Test du QX9650 sur Matbe
• Test du QX9650 sur Anandtech (en anglais)

Enfin, la dernière grosse nouveauté nous vient d'nVidia, avec le lancement de la 8800 GT. Utilisant un nouveau GPU, le G92, cette carte est la bonne affaire du moment pour les joueurs. Plus performante que la 8800 GTS, elle est aussi bien moins chère, puisqu'on la trouve déjà à moins de 230€ en version 512 Mo dans nos contrés. D'un point de vue technique, le G92 est une version miniature du G80 des 8800GTS et GTX. Sa plus grande finesse de gravure lui permet de monter plus haut en fréquence (600 MHz contre 500 MHz pour les 8800 GTS), tout en étant moins cher à produire. Il est épaulé par 512 Mo de mémoire à 1800 MHz et embarque 112 Stream Processors (contre 96 sur le GTS), 28 Pixel Processors (contre 24) et de 16 Vertex Processors (contre 20). Son bus mémoire réduit à 256 bits (au lieu de 320) contribue également à faire baisser le coût de fabrication. Les 8800 GT pêchent par contre par leur système de refroidissement, celui proposé par nVidia étant relativement bruyant, sans doute là aussi pour économiser sur le prix. Ce nouveau milieu de gamme devrait aider les joueurs à patienter jusqu'à la prochaine génération de GeForce, mais d'ici là, on peut tout de même se demander quelle est la place de la 8800 GTS dans la gamme actuelle, son prix la rendant totalement inintéressante par rapport à la petite nouvelle.

• Test de la 8800 GT sur Presence-PC
• Test de la 8800 GT sur Anandtech (en anglais)

Fin novembre, nous devrions en savoir plus sur la riposte d'AMD/ATI, tant sur le marché des processeurs, avec le Phenom, que sur le marché des cartes graphiques, avec le RV670 qui, à l'instar du G92, est un die-shrink légèrement amélioré du R600, destiné à occuper le secteur des cartes à 200-250€, tout en offrant des performances proches du haut de gamme actuel et une consommation beaucoup plus maitrisée. En attendant ces nouveautés, il n'y a plus qu'à rêver d'un Mac Pro embarquant Leopard, un QX9650 et une 8800 GT :-)