UNE NOUVELLE VERSION D'INFOBIDOUILLE EST EN LIGNE CLIQUEZ-ICI POUR LA VISITER

Parmi les nombreuses sources d'énergie alternative qui se développent, en voici une fort originale : l'utilisation du bruit pour produire de l'électricité. C'est ce que promettent certains chercheur, en mettant à profit les nanotechnologies.

Pour arriver à ce résultat, les chercheurs ont mis au point un dispositif consistant en une fine lamelle de zinc placée entre deux électrodes. Lorsqu'un son atteint la lamelle, les efforts mécaniques induisent un courant électrique. Mieux, le son est en partie absorbée (principe de base de la physique, si de l'énergie sonore est convertie en électricité, l'énergie sonore restante diminue forcément), ce qui permet d'envisager par exemple la construction de murs anti-bruit producteur d'électricité à installer le long des autoroutes.

Mais avant d'envisager une industrialisation du procédé, il faudra d'abord parvenir à améliorer son rendement, pour qu'il soit rentable. En effet, les appareils actuels ne produisent qu'une tension de 50 millivolts à partir d'un son de 100 dB. Les chercheurs espèrent toutefois améliorer ce rendement en utilisant d'autres matériaux.

Posté par Matt le 10/05/2011 à 12h49
1 commentaire
Source : Clubic

Linux

Depuis quelques années, le GPGPU, qui consiste à faire effectuer des calculs non graphiques par les GPU, s'est petit à petit répandu dans les domaines où une forte puissance de calcul est nécessaire, comme l'encodage vidéo ou le calcul scientifique. Avec le projet KGPU, le GPGPU pourrait trouver sa place au cœur même du système...

En effet, le noyau est parfois amené à effectuer des opérations complexes, comme par exemple du chiffrement AES pour assurer la sécurité des données. C'est sur ce genre de routines que le projet KGPU travaille, pour intégrer le GPGPU dans le noyau Linux. Sur les procédures de chiffrement du système de fichier, le gain de performances atteindrait d'ores et déjà un facteur de 3 à 4 sur une machines à base de Core i7 930 2.8 GHz et de GeForce GTX 480.

Le projet est bien entendu open source, mais par contre, les développeurs ont pour l'instant fait le choix de l'interface de programmation GPGPU propriétaire CUDA, ce qui le limite aux GPU nVIdia.

Posté par Matt le 10/05/2011 à 10h21
Aucun commentaire
Source : Tom's Hardware

Texas Instruments

Très attendue, la mémoire de type Ferroelectric Random Access Memory (FRAM ou FeRAM) vient enfin de se concrétiser, grâce à Texas Instruments, qui a annoncé la commercialisation des premiers modules de cette mémoire du futur.

Exploitant le magnétisme de cristaux à base de fer au lieu de charges électriques utilisées par les autres types de RAM et les mémoires flash, les FRAM sont très prometteuses : très peu sensibles aux perturbations, elles offrent des taux d'erreur exceptionnellement bas, tout en étant non volatiles et bien plus performantes que les autres mémoires non volatiles, y compris la mémoire flash, qui équipe la plupart des SSD d'aujourd'hui. Le facteur de performance par rapport aux mémoires flash serait de 100, ce qui permet d'utiliser ces mémoires pour le stockage de masse, mais aussi comme RAM.

Elles sont également bien moins gourmandes en énergie que les mémoires flash, avec à peine 100µA/MHz (contre trois fois plus pour la flash) et intègrent une réserve d'énergie permettant de terminer les opérations d'écriture lorsque l'alimentation est coupée, évitant ainsi des pertes de données. Enfin, ces mémoires sont aussi particulièrement endurantes. Alors que les mémoires flash supportent de moins en moins de cycles d'effacement au fil de l'augmentation de la finesse de gravure (les dernières générations ne supportent plus que 3000 cycles en MLC), ces FRAM supportent selon TI pas moins de 10^14 cycles... De quoi voir venir !

Ces mémoires ne sont pas encore produites en masse, mais Texas Instruments fournit dès à présent aux constructeurs intéressés des modules de test permettant d'évaluer l'intégration des FRAM dans divers produits électroniques.

Posté par Matt le 10/05/2011 à 08h41
Aucun commentaire
Source : BHMag

Une petite nouveauté a été déployée ce soir sur Infobidouille : il vous est désormais possible de recevoir une notification par e-mail lorsqu'un nouveau commentaire est publié sur le site.

Pour activer ce service, il vous suffit de vous inscrire ou d'aller modifier votre profil.

Posté par Matt le 10/05/2011 à 00h12
Aucun commentaire

Si certains cherchent la performances à tout prix avec leur ordinateur, en y installant des composants haut de gamme et en affinant l'overclocking, d'autres s'intéressent plus au fonctionnement bas niveau de la machine. Et pour ça, rien de tel que d'en construire une soi même !

Big Mess O'Wires

C'est ainsi que Steve Chamberlin a construit le Big Mess O'Wires, un ordinateur assemblé à la main, avec pas moins de 1250 câbles wrapés à la main pour raccorder les composants entre eux. Avec son processeurs 8 bits à 2 MHz, ses 512 Ko de RAM et ces 512 Ko de ROM, cet ordinateur n'est bien entendu pas une foudre de guerre, mais la prouesse mérite le respect.

Big Mess O'Wires

Les entrées/sorties n'ont pas été négligées, puisque l'appareil dispose d'un port clavier PS/2, d'un port USB, d'un afficheur LCD intégré, d'une sortie VGA (512x480 en monochrome ou 128x240 en 256 couleurs) et d'une sortie audio. L'OS est multi-tâche préemptif, comme les OS actuels, et dispose d'un interpréteur BASIC. Steve Chamberlin a même écrit un jeu d'échecs fonctionnant sur sa machine.

Big Mess O'Wires

Voilà qui devrait rappeler quelques souvenirs aux pros de la wrapette !

Posté par Matt le 09/05/2011 à 14h28
2 commentaires
Source : Mac 4 Ever

Oracle

En rachetant Sun, Oracle avait fait tomber dans son escarcelle bon nombre de projets phares de la communauté open-source. Depuis, l'américain est très critiqué par la communauté, qui lui reproche d'avoir une vision trop commerciale... Oracle a ainsi fini par rendre OpenOffice à la communauté, et il en est désormais de même pour le projet Hudson...

Celui-ci avait connu un destin assez similaire à celui d'OpenOffice. Des désaccords entre Oracle et les acteurs historiques du projet (dont son fondateur, Kohsuke Kawaguchi) avaient d'abord mené à un fork du projet, sous le nom de Jenkins, alors qu'Oracle était bien décidé à continuer de développer le projet de son côté. Avant de finalement jeter l'éponge, comme il l'a fait pour OpenOffice.

En effet, le serveur d'intégration Hudson a finalement été offert à la Fondation Eclipse. Une décision saluée par la communauté, d'abord parce que les règles de licences de la Fondation Eclipse sont beaucoup plus ouvertes, en permettant notamment aux contributeurs de rester propriétaires de leur code, ensuite parce que la gestion du projet Hudson par la Fondation Eclipse est techniquement plutôt logique, les outils de la fondation étant souvent utilisés conjointement à Hudson, vu la popularité de ce dernier dans le monde Java.

Il serait temps de rappeler à Oracle que MySQL a lui aussi été forké par son fondateur (MariaDB), et qu'un geste envers la communauté serait donc le bienvenue :-)

Posté par Matt le 09/05/2011 à 12h10
6 commentaires
Source : Clubic

Free Mobile

Dans son rapport concernant la fixation des nouveaux tarifs de terminaisons d'appel, l'ARCEP a laissé apparaitre un petit détail intéressant sur la stratégie de déploiement 3G de Free, confirmant certaines rumeurs : Free s'intéresse aux femtocell.

En effet, le document de l'ARCEP précise que "Free Mobile indique à propos du déploiement des femtocellules que 'ce mode de déploiement, même s'il est à ce jour marginal, pourrait fort bien se développer rapidement dans les années à venir. Cette fonctionnalité étant déjà modélisée, Free Mobile considère qu'il est judicieux de la conserver".

Ceci relance donc les rumeurs sur l'existence future d'un module femtocell pour la Freebox 6. En effet, dès la présentation de la boîte, Xavier Niel avait indiqué qu'il y avait encore des fonctionnalités cachées, qui seront dévoilées petit à petit. Si le démontage de la Freebox 6 n'a pas révélé la présence du matériel nécessaire à une telle fonction, il reste toujours cette mystérieuse baie d'extension, dont personne n'a encore trouvé quelle est l'utilité.

Posté par Matt le 09/05/2011 à 10h49
Aucun commentaire
Source : Numerama

Nintendo

Après avoir dévoilé il y a quelques jours le Projet Café, la prochaine console de salon de Nintendo, qui devrait arriver l'année prochaine, Big N a annoncé une importante baisse de prix sur la Wii, pour tenter de relancer des ventes en forte baisse...

En effet, à partir du 15 mai prochain, la Wii sera proposée à 150$ au lieu de 200$, soit une baisse de 25%. Le président de Nintendo Amérique indique par ailleurs que la Wii continuera à être commercialisée après le lancement de la console de nouvelle génération, qui devrait être positionnée sur un segment beaucoup plus haut de gamme. Une baisse de prix aura également lieu en Europe à partir du 20 mai, avec un nouveau tarif qui devrait se situer aux alentours de 150€.

Par ailleurs, Nintendo va proposer un nouveau bundle pour la console. Jusqu'à présent, celle-ci était vendue uniquement avec Wii Sports, puis Wii Sports Plus. Le nouveau bundle visera la clientèle plus "traditionnelle" de Nintendo, puisque le jeu livré avec la console sera le fameux Mario Kart, accompagné de son volant.

Enfin, confirmant le positionnement entrée de gamme de la Wii, Nintendo va lancer une gamme de jeux "Select", qui comprendra des rééditions à petit prix des titres phares de la console. Les premiers titres seront Wii Sports, Wario Ware : Smooth Moves, Mario Strikers Charged Football et Animal Crossing : Let's go to the City. Ces jeux devraient être vendus environ 20€.

Posté par Matt le 09/05/2011 à 08h30
Aucun commentaire
Source : Gameblog.fr

Intel

Intel avait promis hier à la presse qu'il allait faire une annonce technologique majeure... Chose promise chose due : le fondeur a indiqué que son process de gravure 22nm, qui entrera en service en fin d'année avec les Ivy Bridge, allait adopter des transistors 3D.

Transistor Intel Tri-Gate

Étudiés dans les labos depuis plusieurs années, ces transistors, qu'Intel a baptisé Tri-Gate, ont la particularité d'avoir une porte qui n'est plus posée à plat sur le substrat, mais qui entoure une protubérance du substrat. Cette solution permet d'augmenter sensiblement la surface de contact pour une même finesse de gravure, et ainsi de réduire les courants de fuite au repos (donc de réduire la consommation en idle), ou de réduire la tension de seuil du transistor, ce qui permet une réduction de consommation en charge.

Transistor Intel Tri-Gate

La réactivité des transistors est également améliorée. Selon Intel, cette technologie permettra d'augmenter la vitesse de 18% à 37% selon la tension de fonctionnement, tandis que pour une même vitesse, il sera possible de réduire la tension de 0.2V par rapport à un transistor classique. Les gains seront donc nettement plus élevés que lors du passage de 45 à 32nm, où la vitesse n'avait progressé que de 14 à 22%.

Même si les premiers processeurs qui bénéficieront de cette nouvelle technologie seront les Ivy Bridge, qui remplaceront les actuels Sandy Bridge dans les PC, il y a fort à parier qu'Intel propose assez rapidement des SoC pour smartphones et tablettes exploitant les transistors Tri-Gate. En effet, sur ces marchés, Intel est malmené face aux processeurs ARM à cause de la consommation excessive de ses puces, et une technologie permettant une forte baisse de consommation est donc clairement la bienvenue.

Posté par Matt le 05/05/2011 à 13h41
2 commentaires
Source : Hardware.fr

Spotify

Connu pour l'instant pour son service d'écoute de musique en streaming, le suédois Spotify vient d'annoncer quelques nouveautés qui risquent fort de ne pas être appréciées du côté de Cupertino, puisqu'elles font de Spotify une vraie alternative à iTunes !

En effet, non seulement Spotify a lancé une offre de téléchargement de musique, mais en plus la bibliothèque Spotify pourra désormais être synchronisée avec un iPod (Classic, Nano, Shuffle, Touch), un iPhone ou un iPad sans passer par le logiciel d'Apple. Mieux, cette synchronisation pourra s'effectuer en Wi-Fi pour les iPhone, iPod Touch et iPad, ce qui n'est toujours pas possible avec iTunes, sauf en jailbreakant. Les smartphones Android seront également supportés en Wi-Fi.

Côté téléchargement, Spotify promet que l'intégralité de son catalogue sera prochainement disponible. Et l'offre du suédois pourrait faire mal à Apple en captant les plus gros consommateurs, grâce à des tarifs dégressifs, qui le rendront bien plus attractif qu'iTunes. En effet, si le tarif de base est classique, avec 10 titres pour 9€99, le service proposera également 15 titres pour 12€99, 40 titres pour 30€ et 100 titres pour 60€, soit à peine 60cts le titre. Sur l'iTunes Music Store, les tarifs s'échelonnent entre 69cts et 1€29 en fonction des titres, et les réductions pour les achats groupés ne concernent que les albums et compilations présélectionnées, pas une sélection de titres faite par l'acheteur.

Les téléchargements se feront au format MP3 sans DRM.

Posté par Matt le 05/05/2011 à 10h20
Aucun commentaire
Source : 01net