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Pixel Qi est une jeune start-up qui a conçu un nouveau système d'écran LCD censé pouvoir révolutionner le monde des portables, voir même celui des écrans de bureau et des téléviseurs. Très attendus depuis leur présentation lors du dernier Computex (qui leur a d'ailleurs valu le prix du "Best of Computex" décerné par Laptop Magazine), ils devraient entrer en production en volume dès le mois de décembre.
La particularité de ces écrans est de combiner les avantages des écrans e-paper (réflectif) avec ceux des écrans LCD (transmissif). On obtient ainsi un écran parfaitement lisible dans un environnement de très forte luminosité (en plein soleil par exemple), tout en ayant la réactivité d'une dalle LCD et un affichage en couleurs (mais uniquement en mode transmissif).
De plus, l'utilisation de la lumière ambiante pour assurer l'éclairage de l'écran permet de réduire fortement sa consommation, puisque le rétroéclairage est bien moins intense. Pixel Qi évoque une consommation 4 fois moindre pour un écran de portable, et envisage de produire grâce à cette technologie des téléviseurs HD consommant moins de... 10W !
Cerise sur le gâteau, ces écrans d'un nouveau genre seraient particulièrement économiques à la fabrication. Ce sont d'ailleurs des écrans Pixel Qi qui sont utilisés sur les ordinateurs portables du projet OLPC, des machines vendues moins de 100$ et destinées au pays en voie de développement.
Posté par Matt le 29/11/2009 à 22h28
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Source : PCWorld

Si l'affaire Psystar a fait beaucoup de bruit depuis un an et demi, l'analyse des comptes de la société, effectuée dans le cadre du procès avec Apple, révèle que les ventes de Psystar ont été très inférieures aux attentes de ses dirigeants, et même carrément ridicules...
En effet, alors que les dirigeants de la société avaient pour objectif de vendre 70 000 à 130 000 machines en 2009, les comptes indiquent qu'à peine 768 machines auraient été vendues entre avril 2008 et août 2009. Même si les comptes sont incomplets, ces chiffres sont donc très très loin des prévisions, et on peut se demander s'il était vraiment nécessaire de faire un tel battage médiatique sur le procès, à part peut-être pour dissuader d'autres assembleurs de se lancer eux aussi sur le marché du hackintosh.
Pendant ce temps, Apple continue de battre ses records de vente avec plus de 10 millions de machines par an, et d'engranger des sommes colossales. Ainsi, selon NPD, au mois d'octobre dernier, les parts de marché en valeur d'Apple aux USA auraient atteint 47.71% sur les machines de bureau et 33.44% sur les portables. Sachant que les prix de vente moyens des Mac de bureau et portables sont respectivement de 1338$ et 1410$ contre 491$ et 519$ pour les PC, on peut en déduire que la part de marché d'Apple en unités atteint 25.1% sur les machines de bureau et 15.6% sur les portables.
Le chiffre des machines de bureau devrait toutefois baisser dans les mois à venir, le mois d'octobre ayant vu le lancement des nouveaux modèles d'iMac, qui ont dopé les ventes. Traditionnellement, Apple vend d'ailleurs plus de portables que de machines de bureau, ce qui n'a pas été le cas en octobre.
Posté par Matt le 28/11/2009 à 17h29
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Sources : Tom's Hardware et Macbidouille
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Peu connu dans nos contrés, Kohjinsha est un constructeur japonais spécialisé dans les appareils mobiles compacts (UMPC, netbooks, tablet PC...) et qui est à l'origine du concept du netbook, avant qu'il ne soit repris et popularisé par Asus. Pour se distinguer dans ce marché devenu très concurrentiel, le constructeur vient de lancer sa série DZ, qui fait office d'OPNI sur le marché...
Ce netbook de 10" a la particularité d'embarquer non pas un, mais deux écrans de 10.1", affichant tous deux une résolution de 1024x600. Pour arriver à ce résultat sans trop sacrifier la portabilité, le constructeur a développé un astucieux système permettant de faire glisser les deux écrans l'un au dessus de l'autre, réduisant ainsi la machine à des mensurations quasiment normales pour un netbook : 280x210x19-42mm pour 1.84kg. À titre de comparaison, le EEE PC 1008HA d'Asus fait 262x178x18-26mm pour 1.1kg. C'est donc essentiellement sur le poids et l'épaisseur que se paie le second écran.
La machine peut bien entendu être utilisée avec les deux écrans ou avec un seul, selon l'espace dont dispose l'utilisateur. Côté caractéristiques techniques, on trouve un processeur AMD Neo MV-40 à 1.6 GHz, 1 Go de mémoire (extensible à 4 Go), un disque dur 5400 RPM de 160 Go, 3 ports USB, le WiFi b/g/n, un port Gigabit Ethernet, un lecteur SD et une webcam 1.3 MP. Les deux écrans rétroéclairés par LED sont gérés par une Radeon HD 3200.
Le Kohjinsha DZ6KHE16E est disponible dès à présent sur le marché pour 620€, un prix qui reste raisonnable compte tenu de ses caractéristiques. Il y a par contre relativement peu de chances de le voir arriver en Europe.
Posté par Matt le 27/11/2009 à 18h41
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Source : Le Journal du Geek

En France, depuis de nombreuses années, l'innovation en matières de services associés à la fourniture d'une connexion Internet est à chercher du côté de Free et de SFR/9Télécom, bien plus que du côté de l'opérateur historique, qui dispose pourtant de moyens financiers bien supérieurs. La donne pourrait changer avec la prochain décodeur TV d'Orange.
Prévu pour la fin de l'année prochaine, voir le début de la suivante, cette nouvelle version du décodeur (baptisé Orange Box) apportera le support de jeux vidéos, avec un an de retard sur SFR et Free, mais ajoutera par contre deux nouvelles fonctions actuellement absentes des box concurrentes. Et pas des moindres, puisqu'il s'agira d'un navigateur Internet complet (y compris le support Flash) utilisable sur la TV, grâce à une télécommande bluetooth dotée d'accéléromètres pour simuler une souris, mais aussi et surtout, d'un lecteur blu-ray, permettant ainsi de profiter de la TV par ADSL et des disques HD sans multiplier les appareils connectés à la TV.
Pour la partie jeux, l'Orange Box devrait pouvoir accepter des périphériques bluetooth plus confortables que la télécommande incluse, tandis qu'Orange pourrait s'offrir les services de TransGaming pour développer un catalogue de jeux. Pour rappel, TransGaming est une société spécialisée dans le portage de jeux vidéo d'une plateforme à une autre, en particulier de Windows vers Mac OS X.
Posté par Matt le 26/11/2009 à 09h30
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Source : Generation-NT

Les batteries sont souvent le talon d'Achille des appareils mobiles, non seulement à cause de leur capacité toujours trop faible et de leur durée de vie, mais aussi à cause de leur dangerosité et de leur toxicité, qui en font régulièrement la cible des écologistes. Mais ceci ne sera peut-être qu'un souvenir dans quelques années, grâce à des batteries fonctionnant... à l'air !
Constituées d'une anode en silicium, ces batteries d'un nouveau type utilisent l'oxygène de l'air comme cathode, après l'avoir fait entrer dans la batterie à travers une membrane poreuse. Elles permettraient d'alimenter certains appareils mobiles pendant des milliers d'heures sans la moindre recharge, tout en étant plus légères et moins encombrantes qu'une batterie classique. Au fil de leur utilisation, le silicium de ces batteries se dégrade petit à petit et se retrouve au final sous forme de sable, qui peut être recyclé aisément en fin de vie de la batterie pour recréer du silicium.
Actuellement non rechargeables, ces batteries devraient pouvoir l'être d'ici à moins de cinq ans selon les chercheurs à l'origine de ce principe, et devraient alors pouvoir être produite en volume pour l'alimentation d'appareils électroniques mobiles, en particulier dans le domaine médical. À plus long terme, les chercheurs envisagent même de pouvoir développer des batteries de forte puissance, adaptées à un usage automobile.
Posté par Matt le 25/11/2009 à 22h37
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Source : Tom's Hardware
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Chez Fusion-IO, ils aiment les SSD. Mais pas n'importe quels SSD : seulement ceux qui dépotent grave. Souvenez-vous de la première fois qu'on vous parlait d'eux : c'était déjà pour un SSD qui affichait 800 Mo/s en lecture, il y a plus de deux ans, alors que le marché du SSD en était encore à sa préhistoire...
Alors depuis, chaque fois que Fusion-IO fait une annonce, la réaction de base est du genre "waouh, je veux", jusqu'à ce qu'on soit refroidit par le prix de la solution... Leur dernière œuvre ne déroge pas à la règle, puisque le spécialiste du SSD très haute performance annonce la livraison prochaine à deux agences gouvernementales américaines d'un "petit" SSD qui dépote dont eux seuls ont le secret. Ses performances ? 1 To/s de débit, 100 millions d'opérations I/O par seconde, et un temps d'accès moyen de seulement 50µs. Et le tout sur quelques centaines de To d'espace de stockage...
Bon bien sûr, pour arriver à ça ils ont un peu triché, puisque la bête ne tient pas dans un boîtier 2.5", ni même dans une grosse carte PCI-Express (le format habituel des produits Fusion-IO), mais plutôt dans 6 armoires de serveurs 19"... Dans ces 6 armoirs, le constructeur a installé 220 serveurs d'I/O, contenant chacun une carte ioDrive Octal et interconnectés entre eux via près de 450 liens Infiniband. Le tout est concaténé en une seule unité de stockage via le système de fichiers distribué LUSTRE. Pour obtenir un tel débit avec une architecture similaire mais basées sur des disques durs, il aurait fallu selon le constructeur environ 55 000 disques et 800 serveurs d'I/O répartis sur 132 armoires, soit un encombrement plus de 20 fois supérieur. Et avec des temps d'accès sans commune mesure avec ceux des SSD.
Selon Steve Wozniak, le turbulent co-fondateur d'Apple, qui est actuellement responsable de la R&D chez Fusion-IO, la carte ioDrive Octal devrait également être commercialisée à l'unité pour les entreprises ayant des besoins plus réduits. Cette carte regroupe comme son nom l'indique huit modules SSD travaillant en parallèle. Utilisant une connectique PCI-Express 2.0 16x, elle occupe deux slots et offre jusqu'à 5 To d'espace de stockage, avec un débit de 6 Go/s et 800 000 I/O par seconde sur des accès de 4 Ko.
"Waouh, je veux !!!!! C'est combien ?". Fusion-IO n'a apparemment pas osé révéler le prix de ce produit... On peut s'attendre à ce qu'il atteigne lui aussi des sommets...
Posté par Matt le 25/11/2009 à 09h20
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Source : Macbidouille

Depuis 23 ans, Works constituait la solution bureautique d'entrée de gamme de Microsoft, sous la forme d'un logiciel unique regroupant les fonctionnalités de traitement de texte, de tableur et de base de donnée. Il cohabitait depuis longtemps avec la suite Office, lancée il y a 17 ans sur PC, qui comporte bien plus de fonctionnalités. Désormais, Microsoft ne proposera plus que cette dernière...
Works couvrait toutefois un large marché, celui des suites bureautiques économiques, et était livré pré-installé sur de nombreux PC, et Microsoft ne va donc pas laisser tomber ses clients, ce qui aurait fait les affaires d'OpenOffice.org ou Lotus Symphony... En effet, pour remplacer Works, Microsoft va proposer une nouvelle déclinaison de la suite Office. Baptisée Office 2010 Starter, elle se limitera à Word 2010 et Excel 2010, abandonnant donc les fonctions de base de données qu'offrait Works.
Les deux logiciels seront toutefois légèrement bridés par rapport aux versions de la suite Office normale. Ces bridages concerneront essentiellement la manipulation de formats de fichiers "exotiques", mais aussi le support des macros dans Excel, qui nécessitera de passer à une version supérieure d'Office. En contrepartie, cette suite intégrera la fonction "Office Starter To-Go", qui permettra de l'installer sur une clé USB puis de l'emporter avec soi et de l'exécuter depuis n'importe quelle machine sous Windows Vista ou Windows 7.
Office 2010 Starter sera commercialisée l'année prochaine, mais ne sera pas proposée en version boîte, puisque la suite sera réservée aux constructeurs. On devrait donc pouvoir la trouver sur les PC des constructeurs proposant actuellement Works, à moins que certains ne profitent de l'occasion pour basculer vers une suite bureautique concurrente.
Posté par Matt le 24/11/2009 à 22h47
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Source : Le Comptoir du Hardware

Face à l'explosion de l'utilisation des réseaux de téléphonie mobile 3G, il est de plus en plus nécessaire d'augmenter la capacité de ces réseaux. Mais l'implantation de nouvelles antennes relais est de plus en plus problématique, à cause des craintes vis à vis de leurs effets sur la santé. C'est là qu'interviennent les femtocell.
Sous ce nom se cachent en fait des minis antennes-relais de faible puissance (réduisant donc fortement les risques pour la santé), mais aussi de faible porté, qui pourraient être utilisées pour constituer un maillage dense des zones d'habitations. En France, SFR pourrait être le premier opérateur à se lancer sur ce marché, dès la semaine prochaine.
Dans un premier temps, le but serait de fournir une couverture 3G de leur logement à tous les abonnés ADSL disposant d'une NeufBox et près à y mettre le prix, l'offre se présentant sous la forme d'un boîtier à connecter à la NeufBox et vendu 189€. Le boîtier permettrait l'utilisation de cinq téléphones différents et pré-configurés, dans un rayon d'une quinzaine de mètres. En plus d'être abonné NeufBox, il faudra disposer d'un débit montant d'au moins 512 kbits/s pour profiter de cette offre.
Reste également à voir si cette offre sera facturé dans l'abonnement mensuel, en plus du prix d'achat du boîtier, et comment les communications établies via le boîtier seront facturées. En effet, si elles sont prises en compte dans le cadre du forfait Internet, cette offre peut apporter une souplesse intéressante, en permettant d'utiliser son mobile depuis son domicile comme s'il s'agissait d'un fixe, tandis qu'elle serait beaucoup moins intéressantes si le communications mobiles continuaient à être débitées du forfait mobile...
Mise à jour le 24/11/2009 à 22:17 : L'offre a été officialisée par SFR. Le boîtier sera finalement facturé 199€ et pourra être connecté a n'importe quel réseau relié à Internet, y compris via les FAI concurrents de SFR. Il faut par contre disposer d'un abonnement de téléphonie mobile chez SFR.
Baptisée Home 3G, cette offre aura finalement relativement peu d'intérêt, les communications passées via la femtocell étant facturée de la même façon que via le réseau 3G. La femtocell n'apporte donc rien d'autre qu'une meilleure couverture 3G, et risque donc de peiner à justifier son tarif de près de 200€...
Actu originale : 17/11/2009 à 22:10
Posté par Matt le 24/11/2009 à 22h17
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Source : Presence PC

C'est une information bien surprenante qui nous vient des États-Unis : Apple serait soucieuse pour les poumons de ses machines... Ainsi, fumer à proximité d'un Mac pourrait mener à l'annulation de sa garantie !
C'est en tout cas la mésaventure qu'on connu au moins deux clients américains de la pomme, qui se sont vus refuser des réparations normalement prises en charge par la garantie sous prétexte que leurs machines auraient été utilisées dans un environnement fumeur. Une nouvelle sans doute d'autant plus difficile à avaler pour ces deux clients qu'ils disposaient tous deux d'un contrat d'extension de garantie Apple Care.
Dans les deux cas, Apple a appuyé cette décision par le fait que la nicotine se trouve sur la liste des substances considérées comme dangereuses par l'Occupational Safety and Health Administration, au même titre que le chlore ou l'isopropanol... Les deux clients ont été invités à faire réparer leurs machines à leurs frais.
S'il est indéniable qu'une atmosphère enfumée peut avoir des effets néfastes sur le fonctionnement d'un ordinateur, l'attitude d'Apple est tout de même un peu cavalière. La moindre des choses aurait été de préciser explicitement que la fumée de cigarette annule la garantie, surtout pour ceux qui souscrivent à une extension.
À quand l'annulation de garantie pour les amateurs de hamburgers et de kebabs ?
Posté par Matt le 24/11/2009 à 00h04
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Source : Cowcotland

Annoncé début juillet, le projet Chrome OS de Google commence à se concrétiser, avec une conférence de presse présentant pour la première fois le système, mais aussi la publication de ses sources. Pour rappel, Chrome OS est un système d'exploitation léger, principalement dédié aux netbooks.
Basé sur un noyau Linux, Chrome OS a la particularité d'être exclusivement dédié à l'exécution d'applications web, ce qui tombe plutôt bien, Google étant un gros fournisseur de telles applications. Cette originalité lui permet d'être léger et rapide (7 secondes pour démarrer !), très simple d'utilisation (pas de paramètres système compliqués à régler...), mais aussi sécurisé, puisque toutes les données sont stockées sur les serveurs des applications, ce qui en assure la sauvegarde, mais aussi une protection radicale contre le vol : à moins de disposer des identifiants de l'utilisateur, le voleur ne pourra pas accéder à ses fichiers, tandis que le volé pourra lui continuer d'accéder à ses données depuis n'importe quelle autre machine.
Les applications accessibles ne se limiteront bien entendu pas aux services Google. Ainsi, les premières captures d'écran présentées par Google laissent voir que certains services concurrents sont d'ores et déjà supportés (Hotmail, Yahoo! Mail, Facebook, Twitter...), ce qui est finalement assez peu surprenant, puisque n'importe quel site web est accessible depuis Chrome OS. Google aurait même opté pour la possibilité d'ouvrir un fichier Office reçu par mail avec la suite Office Online de Microsoft, qui serait plus performante que Google Docs. Par contre, il faudra bien entendu disposer d'une connexion Internet pour exploiter pleinement ces applications, ce qui sera parfois problématique dans le cas d'un usage mobile...
Par contre, si vous rêvez de tester Chrome OS au plus vite, vous allez être déçu : Google n'envisage pas de fournir une procédure d'installation du système sur n'importe quelle machine, puisqu'il faudra en fait faire l'acquisition d'une machine disposant de Chrome OS préinstallé. De telles machines devraient être proposées d'ici quelques mois chez Acer, Asus, HP, Lenovo, Toshiba, etc... Il est toutefois parfaitement possible de réaliser une image du système à partir de ses sources, puis de la déployer sur une clé USB, voir de l'installer sur disque dur via une commande dédiée (mais il semblerait que dans ce cas, l'intégralité du disque soit effacée...). Google fournit également un script permettant de convertir l'image en image disque VMWare pour tester dans une machine virtuelle.
Le code source est accessible sur le site de Chromium et peut être compilé à partir de n'importe quel Linux Ubuntu à partir de la version 8.04.








