
OVH est une société française relativement peu connue, mais qui est parmi les leaders mondiaux de l'hébergement de serveurs (On Vous Héberge), à tel point qu'elle est aujourd'hui la 6ème entreprise mondiale en nombre de serveurs. Petit à petit, OVH s'est diversifié, en proposant de nouveaux services, destinés principalement aux entreprises, comme par exemple des services de VoIP. Et après Free, OVH prépare désormais aussi sa petite révolution...
En effet, OVH souhaite désormais passer à la vitesse supérieure, en profitant de son expertise et de son réseau pour se lancer sur le marché de l'ADSL en France. Destinée principalement aux entreprises, l'offre d'OVH pourrait s'avérer très attrayante pour ceux qui veulent simplement une connexion Internet, sans téléphone, sans TV, sans box...
En effet, cette offre devrait être proposée à seulement 10€ TTC par mois en dégroupage partiel et 20€ TTC en dégroupage total. Elle devrait être proposée selon deux modalités : soit avec une facturation annuelle de 120€, sans engagement et sans frais d'installation, soit avec une facturation mensuelle, mais des frais d'installation de 100€ TTC. La téléphonie SIP devrait être proposée en option, tout comme le prêt d'un équipement de connexion en échange d'une caution.
Pour ce qui est de la couverture, elle risque malheureusement d'être relativement faible. En effet, alors qu'Orange couvre 95.6% des NRA avec son offre ADSL (14 297 NRA sur 14 930), OVH ne devrait en couvrir que 150 au lancement de son offre et un demi millier d'ici à la fin de l'année... Notons toutefois qu'en ciblant bien les NRA à dégrouper en priorité, le taux de couvertures en nombre de lignes peut grimper rapidement : Completel (DartyBox, Numericable ADSL) couvre par exemple plus de 41% des lignes téléphoniques avec seulement 761 NRA équipés (5.1%).
Posté par Matt le 06/01/2011 à 13h30
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Source : Tom's Hardware

Après un aperçu cet été, Asus a profité du CES 2011 pour présenter officiellement sa gamme de tablettes, qui va être lancée au premier semestre 2011. Elle comportera dans un premier temps 4 modèles allant de 7" à 12".
Modèle le plus haut de gamme, l'Eee Slate EP121 est une tablette 12.1" 1280x800 sous Windows 7, à la configuration plutôt musclée : processeur Intel Core i5, SSD de 32 ou 64 Go, 4 Go de RAM, ports USB 2.0, Bluetooth 3.0, Wi-Fi N, caméra 2MP en façade, lecteur de cartes mémoires... L'écran est est de type IPS et est doté d'une couche tactile multi-touch capacitive. Un stylet sera fourni pour les manipulations précises. Pesant 1.16 kg pour des dimensions de 312x207x170mm, l'Eee Slate EP121 sera commercialisée dès le mois de janvier, pour 999 à 1099$ selon la configuration.
D'un design plutôt original, l'Eee Pad Slider est une tablette 10.1" 1280x800 sous Android 3.0. Elle embarque un clavier coulissant, permettant plus de confort pour la saisie. Construite autour d'une plateforme nVidia Tegra 2, elle est équipée de 512 Mo à 1 Go de RAM, d'un SSD de 16 ou 32 Go, d'une caméra 1.2MP en façade, d'une caméra 5MP au dos, de ports USB 2.0, d'un port mini-HDMI, d'un lecteur de cartes micro-SD, du Wi-Fi N et du Bluetooth 2.1. L'écran est également un IPS capacitif multi-touch, mais l'Eee Pad Slider devrait être livrée sans stylet. Le poids tombe à 886 grammes, pour des dimensions de 273x180x172mm. Elle sera lancée en mai, pour des prix allant de 499 à 799$.
Reprenant la même configuration que la Slider, l'Eee Pad Transformer perd le clavier coulissant, au profit d'une finesse accrue (273x180x130mm) et d'un poids réduit (680g), avec en prime des haut-parleurs intégrés et un SSD pouvant monter jusqu'à 64 Go. Un clavier amovible peut se fixer sur le bord long de l'écran pour transformer la tablette en netbook. Elle sera vendu entre 399 et 699 dollars à partir du mois d'avril, mais vu la différence de tarif par rapport à la Slider, il est possible que le clavier soit vendu séparément.
Avec seulement 7" (1024x600, toujours en IPS capacitif multi-touch), l'Eee Pad MeMo est la plus petite de la gamille (199x117x12mm), mais également la plus légère (390g). Ce qui ne l'empêche pas d'être bien équipée, avec son processeur Qualcomm Snapdragon à 1.2 GHz, ses deux caméras identiques à celles des modèles 10". Elle offre également les mêmes connectiques et les mêmes moyens de communication sans fil que ses grandes sœurs, avec en prime la 3G offerte par la puce Snapdragon. Grâce à un combiné Bluetooth, elle pourra être utilisée pour téléphoner, tandis que le stylet livré avec facilitera la prise de notes. Elle sera commercialisée en juin pour des prix allant de 499 à 699$.
Posté par Matt le 06/01/2011 à 10h30
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Source : PCInpact
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Proposé depuis quelques années par Seagate sur certains de ses disques durs 2.5", le concept de support hybride disque dur/mémoire flash n'a pas eu un grand succès dans un premier temps, mais connait un regain d'intérêt depuis que Seagate propose 4 Go de flash, qui offrent un gain de performances plus conséquent qu'avec les 512 Mo des premiers modèles. Avec sa puce HyperDuo, Marvell promet des gains encore plus importants, et tout en souplesse.
Basée sur un contrôleur SATA 6 Gbits/s, cette puce permet en effet de créer son propre support hybride, en y connectant n'importe quel SSD et n'importe quel disque dur. Du côté de l'OS, seul un volume sera visible, et c'est le contrôleur Marvell qui va automatiquement déterminer les données à placer sur le disque dur et celles à placer sur le SSD, en fonction notamment de la fréquence des accès.
Selon Marvell, ce système permettrait de maintenir jusqu'à 80% des performances d'un SSD, tout en offrant la capacité d'un disque dur et une grande souplesse dans le choix du modèle et de la capacité du disque dur et du SSD. Cette puce pourrait à terme être intégrée directement à certaines cartes mères haut de gamme.
Posté par Matt le 06/01/2011 à 00h08
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Source : Le Comptoir du Hardware
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Alors que Crucial détient toujours la palme du SSD SATA le plus rapide du marché (en débits séquentiels) avec son Real SSD C300, qui atteint 355 Mo/s en lecture grâce à son contrôleur Marvell, le constructeur s'apprête à en remettre une couche avec le Real SSD C400.
Utilisant une nouvelle révision du contrôleur Marvell, ce nouveau modèle atteint 415 Mo/s en lecture (+17%) et 260 Mo/s en écriture (+21%). Étant également l'un des premiers du marché à utiliser de la mémoire gravée en 25nm, contre 34nm pour le C300, le C400 profite également d'un meilleur rapport capacité/prix, permettant à Crucial de proposer une déclinaison 512 Go.
La consommation est également en progrès, avec 3W (-23%) en activité et 80mW (-20%) au repos. Le TRIM est bien entendu de la partie, et le packaging se fera en 2.5" classique, 2.5" "slim" (7mm d'épaisseur au lieu de 9.5) et 1.8". Les tarifs n'ont pas encore été communiqués, mais devraient être inférieurs à ceux du C300 à capacité égale.
Posté par Matt le 05/01/2011 à 12h45
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Source : Tom's Hardware
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Vous êtes tenté par une tablette, mais vous les trouvez encore trop chère par rapport à leur usage ? AOC a pensé à vous, avec sa tablette Breeze, qui devrait débarquer avant la fin du mois aux États-Unis pour moins de 200$ !
Bien entendu, à ce prix, il ne faudra pas s'attendre à des miracles. Il faudra se contenter d'un écran 8" (800x600) et de 4 Go de mémoire flash interne (extensible via le slot microSD ou le port USB 2.0). Le WiFi sera tout de même à la norme 802.11n, mais l'OS ne sera pas de première fraîcheur, puisqu'il s'agira d'Android 2.1. En provenance du constructeur Rockchip, le processeur ne devrait pas être une foudre de guerre, le chinois n'ayant à son catalogue que des Cortex A8 simple cœur à moins d'1 GHz, alors que la plupart des tablettes Android sont annoncées avec des processeur Cortex A9 dual core (ce sera d'ailleurs un prérequis pour Android 3.0).
L'autonomie semble par contre correcte, avec 12h en lecture audio et 6h en lecture vidéo, mais il faudra vérifier ce qu'il en est en pratique, et ce que le constructeur entend par lecture vidéo, une tablette à ce prix ayant peu de chance d'être équipée d'une puce de décodage HD...
Posté par Matt le 05/01/2011 à 10h30
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Source : Tom's Hardware

Si les différents organismes mesurant les partes de marché des navigateurs ont parfois des chiffres très différents, en raison de différences méthodologiques et de sites de référence distincts, une grande tendance se retrouve généralement chez tous : la baisse d'Internet Explorer, essentiellement au profit de Chrome. Signe fort de cette tendance, StatCounter vient pour la première fois d'annoncer qu'Internet Explorer n'est plus en tête en Europe !
En effet, en décembre 2010, avec un peu moins de 38% (-8 points par rapport à décembre 2009) de parts de marché en Europe, Internet Explorer serait désormais second, derrière Firefox (un peu plus de 38%, en baisse de 3 points sur un an) et devant Chrome, auteur d'une progression spectaculaire, puisque sa part de marché a triplé en un an, passant de 5% à 15%. Opera et Safari terminent quasi ex-aequo, avec entre 4 et 5% du marché européen.
En France par contre, le navigateur de Redmond conserve la tête, avec environ 42% du marché (-15 points sur un an), suivi de Firefox avec 36% (+2 points) et Chrome avec 14% (+10 points). Avec 6% du marché, Safari se démarque nettement d'Opera, qui stagne à) moins de 2%.
Même constat au niveau mondial, où IE reste largement en tête (47%), devant Firefox (11%), Chrome (15%), Safari (5%) et Opera (2%).
Posté par Matt le 04/01/2011 à 22h41
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Source : Generation NT

Le passage à l'année 2011 n'a pas épargné le petit monde de la téléphonie mobile, avec la révélation de bugs concernant les iPhone et les smartphones Android, mais aussi un gros cafouillage du réseau Orange...
Du côté de l'opérateur, ce sont les vœux par SMS qui ont occasionné quelques problèmes. Alors que la France battait son record de SMS pour la nouvelle année, avec près d'un milliard de messages échangés, certains abonnés Bouygues ont reçu plusieurs vois les messages de leurs amis abonnés Orange. Abonnés qui pour leur part ont vu ces SMS être facturés parfois plusieurs dizaines de fois... Si l'erreur de facturation a bien entendu été corrigée, on ne connait par contre pas encore la vraie cause du problème, les deux opérateurs se renvoyant la balle...
Côté iPhone, c'est le fonction réveil qui a, encore une fois, fait des siennes. Ainsi, le 1er et le 2 janvier, les alarmes non récurrentes n'ont pas sonné. Un problème reconnu par Apple, et qui s'est résolu de lui même le 3 janvier. Rappelons que lors du changement d'heure, ce sont les alarmes récurrentes qui avaient été affectées par un bug, et se sont mises à sonner une heure plus tard que la normale.
Enfin, côté Android, ZDNet a dévoilé un bug plutôt gênant : dans certains cas, le système de Google se tromperait de destinataire lors de l'envoi de SMS, sans que l'utilisateur n'ait le moindre moyen de s'en rendre compte... Google serait au courant du problème depuis plus de six mois, mais le considère comme non prioritaire, malgré les lourdes conséquences que peut avoir une erreur de destinataire.
Posté par Matt le 04/01/2011 à 21h27
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Sources : Clubic, Macworld et Tom's Guide

C'est aujourd'hui que s'est terminé le NDA sur la nouvelle plateforme Intel, nom de code Sandy Bridge, qui succède à la plateforme Lynnfield, tout en conservant les noms commerciaux Core i3, Core i5 et Core i7. Comme à son habitude, Intel a dévoilé d'un coup toute une gamme, allant des processeurs de bureau aux processeurs pour ultra-portables, et accompagnée de différents chipsets.
Techniquement, il n'y a pas grand chose à reprocher à cette nouvelle architecture, qui tient toutes ses promesse, et offre une progression bien plus grande que le précédent changement d'architecture. En effet, les processeurs Sandy Bridge sont à la fois performants et particulièrement sobre. Ainsi, selon les mesures de notre confrère Hardware.fr, Sandy Bridge se révèle en moyenne 13% plus rapide que Lynnfield à fréquence égale (2.8 GHz), alors qu'une machine animée par la puce la plus haut de gamme proposée pour l'instant, le Core i7 2600K, un quadri-cœur cadencé à 3.4 GHz consomme près de 90W de moins en charge et 46W de moins au repos par rapport à une machine équivalente construite autour d'un Core i7 975 (quadri-cœur à 3.33 GHz). Même un simple Core i5 750 (quadri-cœur à 2.66 GHz) consomme plus que le tout nouveau Core i7 2600K !
Côté graphique, le contrôleur intégré évolue également. Toujours doté de 6 à 12 unités de calcul selon les versions, il est désormais intégré directement dans le même die que le processeur (sur Lynnfield, il y avait deux die distincts, réunis dans un même packaging) et donc est gravé avec la même finesse, c'est-à-dire 32nm. Ceci permet de revoir les fréquences nettement à la hausse, avec jusqu'à 1300 MHz sur les versions les plus rapides, contre 900 MHz précédemment. En pratique, la version la plus haut de gamme devient utilisable pour certains jeux, en offrant un niveau de performances proche de celui des Radeon HD 5450. Enfin, les unités de traitement vidéo ont été améliorées, avec l'ajout d'un encodeur vidéo (H.264 et MPEG2), d'unités de traitement de la colorimétrie et du contraste. Le support de la norme HDMI 1.4 et de la 3D sont également de la partie.
Alors, y a-t-il des choses à reprocher à Sandy Bridge ? Techniquement, pas vraiment. Par contre, côté marketing... Le manque de concurrence face à Intel commence à se faire cruellement sentir ! Premier reproche : les chipsets. Il faudra choisir entre les possibilités de configuration avancées offertes par le chipset P67 ou l'utilisation de la partie graphique intégrée, réservée au chipset H67. Impossible d'avoir les deux pour l'instant.
Deuxième reproche : l'overclocking payant. Si les versions K permettent de profiter de processeurs débridés pour bien moins cher que les séries Extremes, qui étaient les seuls débridés il y a quelques années, les version non-K sont par contre très fortement bridées, et donc très difficiles à overclocker. Il faudra donc mettre la main à la proche pour profiter de l'overclocking (une vingtaine de dollars). Si ce choix n'est pas forcément mauvais sur le strict point de vue du rapport performances/prix, celui d'un processeur K overclocké étant bien meilleur, il est dommage que l'overclocking soit réservé aux plus fortunés, alors que l'essence même de l'overclocking a toujours été de permettre aux petites bourses d'accéder aux performances du haut de gamme...
Enfin dernière mesquinerie, la puce graphique à 12 unités de calculs est également réservée au versions K. Logique, puisque ces versions sont plus chères. Mais pas très cohérent avec la lignes de chipsets proposés par Intel, puisque les possesseurs de versions K devront donc choisir entre un chipset H67 leur permettant de profiter de leur cœur graphique amélioré et un chipset P67 leur permettant de profiter des capacités d'overclocking. Mais pas les deux... Il est également assez paradoxal de n'offrir la meilleure puce graphique qu'aux processeurs haut de gamme, alors que ce sont eux qui seront le plus souvent utilisés avec une carte graphique dédiée bien plus performante...
Posté par Matt le 04/01/2011 à 00h22
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Sources : PCWorld et Hardware.fr

Très critiqué pour le système de DRM qu'il utilisait sur bon nombre de ses jeux récents, Ubi Soft a pris la sage décision de revenir en arrière en passant à un système de DRM plus souple, non seulement pour les jeux à venir, mais aussi pour les jeux existants, qui seront mis à jour pour éliminer certains des mécanismes de protection.
Il faut dire que les dernières évolutions de cette protection étaient devenues extrêmement contraignantes, et avaient de quoi énerver plus d'un jour, de quoi leur faire passer l'envie d'acheter des jeux... En effet, ce système imposait une connexion Internet, non seulement pour installer, activer et lancer le jeu, mais aussi pendant tout la session de jeu, puisque certaines portion du code du jeu (gérant par exemple certains calculs économiques dans Settlers 7) restaient sur les serveurs d'Ubi Soft, qui ne faisaient que renvoyer les résultats des opérations...
Ainsi, la moindre micro-coupure de la connexion Internet pouvait entrainer un blocage temporaire des jeux, et il était bien entendu hors de question d'envisager une petite partie au cours d'un long déplacement en train...
Posté par Matt le 03/01/2011 à 23h21
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Source : Revioo
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Lors de la présentation de sa nouvelle Freebox, Free a également présenté ses nouvelles publicités, plus "classe" et sérieuses que les actuelles publicités mettant en scène Rodolphe. Ce dernier va devoir prendre sa retraite, tout comme le slogan "Il a Free, il a tout compris", qui ne sera bientôt plus du tout adapté aux offres de Free...
En effet, comme il l'avait promis, l'opérateur a opté pour une stratégie originale pour la répercussion de la hausse de la TVA sur les abonnements Internet. Alors qu'Orange et SFR ont d'ores et déjà annoncé que les tarifs de nombreuses offres vont être revus à la hausse de 1 à 3€, voir même jusqu'à 10€ pour certaines offres mobiles haut de gamme, Free va en effet adopter une répercussion plus originale de la hausse : au lieu d'augmenter automatiquement la facture de tous ses abonnés, Free va maintenir le tarif de base de 29€99 (pour les dégroupés), mais en supprimant le service de télévision ! Celui-ci deviendra alors une option payante, facturée 1€99/mois, à partir du 1er février 2011.
En plus de permettre une petite économie aux abonnés ne voulant pas utiliser la TV, ou n'étant pas techniquement éligibles (lignes trop longues), cette solution pourrait également permettre à Free de faire quelques économies sur les taxes destinées au monde de l'audiovisuel, qui pourraient ne s'appliquer qu'au prix de l'option TV, et non plus au prix total de l'abonnement.
Cette nouvelle option pourra être sélectionnée à partir du 20 janvier 2011. Pour ceux qui n'auront pas validé l'option, le service de télévision sera coupé à partir du 1er février 2011. Mais pas de panique en cas d'oubli : Free promet une gestion très souple de cette option, avec la possibilité de l'activer ou de la désactiver aisément.















