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Gmail

Gmail, le service de messagerie de Google, utilisé par environ 200 millions de personnes dans le monde, à connu hier soir une panne mineure sur le nombre de comptes touchés, mais majeure par son impact : certains comptes ont tout simplement été vidés de l'intégralité des messages qu'ils stockaient ! Google travaille activement à restaurer les messages effacés, ce qui semble heureusement être possible dans la plupart des cas...

Gmail

Au plus fort de la crise, le 27 février à 22h20 heure française, Google estimait que moins de 0.29% des comptes étaient impactés. Une estimation revue à seulement 0.08% quatre heures plus tard, soit environ 150 000 comptes, puis 0.02% le 28 février à 19h. À cette heure, Google précisait aussi qu'environ un tiers des comptes affectés avaient déjà été réparés, ce qui ne laissait donc que 0.013% de comptes concernés et promettait une résolution complète dans un délai de 12 heures. Si vous êtes concerné, vous pouvez suivre l'évolution de la résolution sur l'Apps Status Dashboard.

Si cet incident devrait heureusement bien se terminer pour les utilisateurs, qui vont récupérer l'ensemble de leurs données, il constitue une bonne piqure de rappel sur la pérennité des données, à l'heure où les services de stockage en ligne se multiplient : lorsque vous stockez des données en ligne, n'oubliez jamais que vous êtes alors à la merci du fonctionnement de serveurs sur lesquels vous n'avez pas le contrôle, et dont vous n'avez pas forcément connaissance de la fiabilité et de la fréquence des procédures de sauvegarde. De quoi changer d'avis quand envisage de mettre toutes ses données dans le nuage.

Gmail avec Thunderbird

Il ne faut toutefois pas non plus tomber dans la paranoia : les services de stockage les plus populaires sont globalement plutôt fiable, et sauvegardés régulièrement, ce qui devrait éviter des pertes de données. Mais les utilisateurs avisés prendront garde à toujours garder une (voir plusieurs) copie locale des données qu'ils stockent sur des serveurs distants. Dans le cas d'un compte Gmail par exemple, il suffit d'un client mail compatible IMAP et de quelques Go d'espace disque pour effectuer une sauvegarde complète des données de son compte, qu'il suffira ensuite de synchroniser à intervalles réguliers pour récupérer les modifications.

Posté par Matt le 01/03/2011 à 09h30
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Source : Le Journal du Geek via Ptit_bœuf

Intel

Notre confrère Hardware.fr a testé la nouvelle gamme de SSD Intel 510, que le fondeur a lancé aujourd'hui même, avec un modèle 120 Go à 284$ et un modèle 250 Go à 584$. Le testeur n'a pas résisté à la tentation de démonter la bête. Ce qui ne s'est pas fait sans surprise...

SSD Intel 510

Photo : Hardware.fr

En effet, alors que jusqu'à présent, Intel a toujours fabriquée ses SSD en couplant sa propre mémoire flash avec ses propres contrôleurs, le fondeur a opté sur sa gamme 510 pour un contrôleur client, le 88SS9174-BKK2 de Marvell, une évolution du contrôleur qu'on trouve dans le très connu Crucial C300.

Malheureusement, cette évolution n'a pas que des avantages... Les débits en accès séquentiels, très utilisés par le marketing, sont en net progrès, surtout par rapport aux Intel X25-M, qui n'étaient pas très véloces en écriture séquentielle. Mais on ne peut pas en dire autant des débits en accès aléatoires, qui sont pour leur part nettement moins bons que sur les Crucial C300, mais aussi que sur les X25-M ! Et pas qu'un peu, puisque dans certains cas, les performances sont quasiment divisées par trois par rapport au C300 !

Cette découverte tendrait à confirmer le fait qu'Intel rencontre des problèmes avec son nouveau contrôleur développé pour ses futurs SSD exploitant de la mémoire 25nm, ces Intel 510 ressemblant vraiment à un produit sorti à cause du retard de la nouvelle génération, pour occuper le marché en attendant que les problèmes soient résolus.

Posté par Matt le 01/03/2011 à 08h13
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Source : Hardware.fr

Google

Pour faciliter le travail collaboratif sous Microsoft Office, mais aussi pour promouvoir l'utilisation de son service Google Docs, Google a lancé un plug-in pour Microsoft Office, baptisé Cloud Connect, qui permet de faire travailler Microsoft Office et Google Docs de concert.

Google Connect

Une fois le plug-in installé, une nouvelle barre d'outils apparait dans les différents logiciels de la suite Office. Elle permet d'ouvrir un document stocké sur Google Docs, ou, au contraire, d'envoyer sur Google Docs le document actuellement ouvert.

Google Connect : Synchronisation

Le plug-in s'assure aussi de la cohérence des données entre plusieurs utilisateurs travaillant sur le même document en parallèle. Ainsi, tous les utilisateurs ayant ouvert un même fichier sont notifiés lorsque la version en ligne est modifiée, et peuvent alors choisir de récupérer la nouvelle version et y intégrer leurs modifications dans la mesure du possible.

Posté par Matt le 28/02/2011 à 22h30
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Source : Le Site du Zéro

Sony

Ces derniers mois, les protections de la PlayStation 3 ont été fortement mises à mal par les hackers, et Sony semble un peu dépassé par les événements, en ne répondant pas toujours de la meilleure façon possible...

Après les attaques en justice contre les auteurs des hacks et le bannissement des services en lignes pour les utilisateurs de ces hack, Sony préparerait désormais une riposte plus "douce" : une nouvelle version de la console. En effet, les hackers ont atteint les profondeurs de la PlayStation 3, à tel point qu'il est quasiment impossible pour Sony de colmater les failles sur les consoles existantes. La conception d'une nouvelle console à la protection révisée est donc un choix logique, qui permettra de freiner le piratage sur les nouvelles consoles, à défaut de le freiner sur le parc existant.

Les nouvelles protections devraient s'appuyer sur des composants empêchant l'exécution de firmwares modifiés, mais aussi sur un système de clés associées aux jeux, comme on en trouve souvent sur PC.

Posté par Matt le 28/02/2011 à 18h20
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Source : Tom's Hardware

SandForce

SandForce a officialisé il y a quelques jours sa nouvelle gamme de contrôleurs pour SSD, dont les références sont de la forme SF-2xxx. Pas moins de sept nouveaux contrôleurs sont au programme, avec trois marchés cible (grand public, entreprises, industrie).

Contrôleurs SSD SandForce SF-2000

Côté grand public, quatre références sont au programme : SF-2141, SF-2181, SF-2281 et SF-2282. Elles se distinguent par la vitesse de l'interface SATA (3 Gbit/s sur le SF-21xx et 6 Gbit/s sur les SF-22xx), avec un impact direct sur les performances en lecture/écriture séquentielle (250/250 Mo/s contre 500/500 Mo/s), les performances sur les petits accès de 4 Ko en écritures (10 KIOPS sur le SF-2141, 20 KIOPS sur les trois autres, contre 60 KIOPS en lecture avec les quatre modèles), le nombre de canaux et la largeur de bus (4 canaux et 4 octets sur le SF-2141, 8 canaux et 16 octets sur le SF-2282 et 8 canaux et 8 octets sur les deux autres). Ils gèreront jusqu'à 512 Go de mémoire MLC ou 128 Go de SLC (sauf le SF-2141, limité à 64 Go dans les deux cas) et supporteront le chiffrement AES en 128 et 256 bits. L'over-provisioning minimal passe à 0%, contre 7% sur les SF-1000. Il faudra donc se méfier des SSD les moins chers, qui risquent d'être radins sur ce point...

Pour l'usage industriel, SandForce propose le SF-2382. Il reprend les mêmes caractéristiques que le SF-2282, mais supporte 512 Go de mémoire MLC, propose plus d'attributs SMART et offre une fonction d'effacement sécurisé aux normes militaires.

À destination des entreprises, le SF-2582 reprend les caractéristiques du SF-2382, mais offrira de meilleurs performances sur les petits accès en écriture (60 KIOPS en 4 Ko) et supportera l'ajout d'un circuit dédié à éviter les pertes de données en cas de coupure de courant. Le SF-2682 pourra en plus fonctionner avec des secteurs logiques d'une taille supérieure à 512 octets. Ces deux modèles imposent un over-provisioning d'au moins 28%.

Les premiers SSD basés sur ces nouveaux contrôleurs devraient arriver à partir du mois d'avril. Avant d'acheter, il faudra veiller à bien se renseigner sur le contrôleur utilisé, vu le nombre de références proposées et la marge de manœuvre laissée par SandForce sur l'over-provisioning. Espérons également que les choses ne seront pas encore compliqués par des firmware exclusifs réservés à certains constructeurs pour débrider les performances...

Posté par Matt le 28/02/2011 à 08h21
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Source : Hardware.fr

Intel

Jeudi dernier, pendant qu'Apple mettait discrètement à jour sa gamme de MacBook Pro, en y ajoutant notamment le support de la connectique Thunderbolt, Intel tenait une conférence de presse pour dévoiler officiellement cette nouvelle technologie, jusqu'ici connue sous le nom de LightPeak.

Thunderbolt

Tout d'abord, Intel a, sans surprise, précisé que cette technologie ne sera pas réservée à Apple. Elle a été seulement développée en collaboration avec Apple, ce qui explique que les machines équipées de Thunderbolt soient sorties le jour même de l'annonce. Un nouveau design de carte mère étant nécessaire pour installer le contrôleur Thunderbolt et le raccorder aux bus dont il a besoin, il y a toutefois peu de chance de voir un tel connecteur arriver sur d'autres machines dans les mois à venir.

Thunderbolt

D'un point de vue technique, l'interface Thunderbolt offre deux canaux 10 Gbit/s full duplex, qui peuvent être utilisés pour véhiculer différents protocoles. L'implémentation actuelle en utilise un pour transporter un bus PCI-Express 2.0 4x et un pour un signal DisplayPort 1.1. Ce débit est garanti sur une distance de 3m avec un câble en cuivre. Cette distance devrait augmenter à l'avenir, avec l'arrivée de la version optique du Thunderbolt. Le port fourni également une alimentation de 10W et peut gérer jusqu'à 7 périphériques mis en chaîne.

D'autres implémentation devraient permettre d'utiliser les canaux différemment, par exemple pour véhiculer un signal PCI-Express 8x, ce qui permettrait de proposer des cartes graphiques externes pour portables sans pertes de performances.

Posté par Matt le 27/02/2011 à 12h20
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Source : Macbidouille

Wacom

Bien avant qu'Apple ne lance son Magic Trackpad, Wacom proposait déjà dans sa gamme grand public Bamboo des tablettes graphiques pouvant être utilisées soit avec un stylet, comme une tablette graphique classique, soit du bout du doigt, comme un trackpad.

Tablette Wacom Bamboo Pen & Touch

Mais alors que le Magic Trackpad est capable de gérer des gestes impliquant jusqu'à quatre doigts, les tablettes Wacom Bamboo devaient se contenter de deux doigts (mais en contrepartie, l'apport du mode stylet est un gros plus). Une limitation qui était initialement à mettre sur le compte d'un matériel trop limité.

Or, depuis quelques temps, Wacom a sorti de nouvelles révisions de ses tablettes. Officiellement, elles offrent strictement les mêmes fonctionnalités, mais elles utilisent désormais du matériel capable de gérer plus de deux doigts, la limitation à deux doigts étant alors imposée par le driver.

Wacom a finalement décidé de débrider son driver, débloquant ainsi des gestes à trois ou quatre doigts sur les versions récentes de ses tablettes Bamboo. Les modèles compatibles sont identifiables d'après leur numéro de série, se terminant par /K(A) ou /S(A).

Posté par Matt le 27/02/2011 à 00h55
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Source : Tom's Hardware

Archos

Il y a quelques semaines, Archos présentait l'Arnova Web Radio & TV, une boîtier web radio d'entrée de gamme, inaugurant ainsi sa nouvelle marque low cost. Celle-ci se diversifie désormais vers les tablettes, avec l'Arnova 10.

Archos Arnova 10

Comme son nom l'indique, il s'agit d'une tablette tactile dotée d'un écran 10.1" (1024x600). Low cost oblige, elle n'embarque que 4 Go d'espace de stockage et la dalle tactile est résistive (et donc non multi-touch). Elle dispose d'une connectique mini-USB et USB host, d'un lecteur de cartes micro SD, d'une webcam 0.3 MP et du Wi-Fi 802.11g, mais fait par contre l'impasse sur le Bluetooth.

Elle fonctionne sous Android 2.1 et dispose d'une autonomie de 6h en lecture vidéo et 10h en utilisation mixte. Son design et ses dimensions sont quasiment les mêmes que celles de l'Archos 10.1 Internet Tablet, avec 27.2 x 15.2 x 1.35 cm, mais elle est par contre sensiblement plus lourde (570g contre 480g).

Elle est disponible immédiatement, pour environ 200€, soit tout de même 100€ de moins que sa grande sœur chez Archos.

Actu originale : 23/02/2011 à 12h50

Mise à jour le 25/02/2011 : Arnova a finalement annoncé toute une gamme de tablettes, de 7 à 10", pour des prix allant de 99€ à 249€. Elles seront lancées au second trimestre et certaines références seront dotées d'écrans capacitifs.

Posté par Matt le 25/02/2011 à 17h35
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Source : Le Journal du Geek

HTC

Présentée lors du Mobile World Congress, la tablette HTC Flyer s'annonçait plutôt coûteuse, surtout pour une tablette de seulement 7", Amazon la proposant par exemple à près de 670€. Le taiwanais a heureusement pensé aux acheteurs moins fortunés.

Tablette HTC Flyer Wi-Fi

En effet, bien qu'elle n'ai pas été annoncée officiellement par le constructeur à l'occasion de la présentation de sa tablette tactile, une version sans 3G de la tablette a fait son apparition chez certains constructeurs. Et l'absence de 3G a un impact direct sur le prix, qui devient nettement plus raisonnable, puisque la Flyer Wi-Fi est proposée à moins de 500€.

Un tarif qui reste élevé, surtout par rapport à certaines concurrentes 10", comme les tablettes Asus, Archos ou même Apple, mais qui est tout de même nettement plus abordable que le prix de la version 3G.

Posté par Matt le 25/02/2011 à 17h30
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Source : Revioo

Apple

En parallèle du lancement de ses nouveaux MacBook Pro hier, Apple a mis à disposition des développeurs la première beta semi-publique de la prochaine version de Mac OS X, la 10.7, baptisée Lion. Chose originale, elle est distribuée via le Mac App Store. Un moyen d'indiquer que la version finale sera également distribuée de la sorte ?

Mac OS X Lion : Mission Control

Rapidement, les premiers testeurs de cette beta ont révélé quelques détails sur les nouveautés de cette version :

  • intégration native du Mac App Store,
  • mode plein écran,
  • Mission Control, sorte de mélange d'Exposé, Spaces et Dashboard pour centraliser les nouvelles applications plein écran,
  • Launchpad, le nouveau lanceur d'applications, reprenant la présentation du springboard d'iOS,
  • Mail 5, avec une nouvelle interface proche de celle de la version iPad,
  • AirDrop, qui simplifie le partage de fichiers entre Mac,
  • Versions, une sorte de Time Machine prenant en charge la sauvegarde automatique des documents en cours d'édition,
  • Reprise, qui permet de retrouver l'environnement de travail (y compris les applications ouvertes) après un redémarrage de l'ordinateur,
  • FaceTime intégré (payant pour Snow Leopard),
  • intégration d'OS X Server dans OS X (choix lors de l'installation).

Mac OS X Lion : Mail 5

Du côté du matériel, on notera particulièrement le support du TRIM sur le SSD, réclamé depuis très longtemps (mais fonctionnant pour l'instant uniquement avec les SSD Apple...), et l'abandon du support des processeurs 32 bits. Mac OS X 10.7 sera donc incompatible avec les Mac dotés de processeurs Core Solo et Core Duo, dont certains étaient encore commercialisés il y a moins de quatre ans.

La version finale de Mac OS X 10.7 "Lion" devrait être lancée cet été ou au début de l'automne.

Posté par Matt le 25/02/2011 à 16h40
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Source : PCInpact