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E-Ink

L'e-paper pourrait bien être amené à remplacer petit à petit le papier pour certains usages, ce qui ne fait pas forcément les affaires des fabricants d'imprimantes. Tout naturellement, Epson s'intéresse donc au papier électronique pour préparer son futur, en collaboration avec E-Ink, le leader du secteur. Une collaboration qui semble porter ses fruits...

Papier électronique Epson/E-Ink

En effet, en travaillant de concert, les deux entreprises sont parvenues à mettre au point un nouvel e-paper offrant une résolution très supérieure à l'existant, avec 300dpi contre environ 150dpi pour les e-paper utilisés actuellement, ce qui offre une définition de 2400x1650 pixels pour un écran e-paper de 9.7". C'est deux fois plus précis que l'écran e-paper utilisé par la lecteur Kindle d'Amazon, qui plafonne à 1200x824.

Avec une telle précision, le papier électronique devrait grandement se rapprocher du rendu du papier classique, bon nombre d'imprimantes travaillant par défaut en 300dpi, même si elles sont souvent capables de monter beaucoup plus haut. Epson et E-Ink n'ont par contre pas communiqué sur la date de commercialisation et n'ont indiqué pour l'instant aucun futur produit dont le constructeur envisagerait d'adoption de ces nouvelles dalles.

Posté par Matt le 19/05/2011 à 14h20
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Source : Le Journal du Geek

Panasonic

Quelques jours après l'annonce de la FeRAM chez Texas Instruments, c'est au tour de Panasonic d'annoncer une mémoire RAM non volatile, la ReRAM (Resistive Random Access Memory), qui devrait entrer en production de masse dès l'année prochaine.

Destinée en premier lieu à des appareils pouvant se contenter de faibles quantités de RAM, en raisons de puces limitées à 2 Mbits, cette nouvelle RAM est capable selon son constructeur de conserver des données pendant 10 ans sans alimentation, à des températures allant jusqu'à 85°C.

Côté performances, le gain par rapport à la mémoire flash serait d'un facteur dix, tandis que l'endurance ne diminuerait pas avec l'augmentation de la finesse de gravure. Les ReRAM seront également beaucoup moins gourmandes en énergie que les RAM classiques. Panasonic espère que le recours à la ReRAM permettra de réduire de deux tiers la consommation de certains appareils, comme les téléviseurs.

D'autres constructeurs envisagent aussi de commercialiser des ReRAM, basés sur d'autres technologies. HP envisage par exemple une commercialisation en 2013 pour des ReRAM à base de memristors, tandis que Fujitsu et Numonyx sont aussi sur les rang, sur la base de différents matériaux.

Posté par Matt le 19/05/2011 à 11h00
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Source : Tom's Hardware

Microsoft Windows Vista

Prévu pour l'année prochaine, Windows 8 se dévoile petit à petit. On savait déjà depuis quelques temps que le prochaine OS de Microsoft pourrait fonctionner avec un processeur ARM, mais on pouvait se poser des questions sur la compatibilité avec les applications x86 existantes...

Renee James, vice-présidente d'Intel a répondu indirectement à cette question, en dévoilant que le prochain Windows sera bien décliné en quatre versions ARM, mais que celles-ci ne permettront pas d'utiliser les anciens programmes.

La version x86 disposera par contre d'un mode "Windows 7", qui permettra d'assurer la compatibilité avec les applications x86 prévues pour les versions actuelles de Windows, aussi bien en 32 bits qu'en 64 bits. Ceci est bien entendu considéré par Intel comme un gros avantage par rapport à la version ARM, et il est vrai que sans cette rétro-compatibilité, la version ARM pourrait avoir du mal à décoller.

Posté par Matt le 19/05/2011 à 08h40
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Source : Génération NT

République Française

En 2010, la Cours de Justice de l'Union Européenne a rendu un arrêt (dit arrêt Padawan) indiquant que, pour être en conformité avec le droit européen, les systèmes de redevance pour la copie privée sur les supports d'enregistrement doivent exempter les supports utilisés par des professionnels. Ce qui n'est pas le cas en France...

Ainsi, s'appuyant sur cet arrêt, le rapporteur du Conseil d'État réclame l'annulation des barèmes de la redevance copie-privée depuis fin 2008. Ceci obligerait les commission copie-privée à une refonte totale du mode de calcul et de l'assiette de la redevance, pour s'assurer du respect des règles européennes.

L'impact pourrait également aller au delà des professionnels, puisque les barèmes pour le grand public devront aussi être revus pour prendre en compte ces nouvelles contraintes et il semblerait que la demande du rapporteur aille dans le sens d'une baisse des tarifs en vigueur.

Le Conseil d'État devrait indiquer dans les semaines à venir (il dispose d'un mois) s'il donne suite à la demande du rapporteur et annule les barèmes en vigueur.

Posté par Matt le 19/05/2011 à 01h03
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Source : Univers Freebox

NXP Semiconductors

Filiale de Philips spécialisée dans les puces électroniques, NXP Semiconductors vient de présenter GreenChip, une solution originale permettant de piloter l'éclairage de votre domocile à distance, par exemple depuis un smartphone.

NXP GreenChip

Consommant à peine 50 mW et communicant sans-fil et de façon sécurisée (AES 128 bits) avec un contrôleur central connecté au réseau, la puce est suffisamment petite pour pouvoir être installée dans chaque ampoule. NXP indique qu'il sera ainsi possible de commander l'allumage et l'extinction de chaque ampoule, mais aussi piloter finement le niveau de luminosité, pour personnaliser au mieux l'éclairage.

"Green"Chip oblige, NXP avance bien entendu aussi l'argument de l'économie d'énergie, mais on peut tout de même s'interroger sur ce point. Si le système peut effectivement permettre de grosses économies dans certaines situations, par exemple en éteignant à distance une lampe laissée allumée alors qu'on est parti en vacances, les économies au quotidien ne seront probablement pas bien grandes par rapport à des solutions plus classiques (interrupteurs et variateurs...) et comme souvent avec les produits électroniques "verts", les coûts de production ne sont probablement pas pris en compte dans le bilan...

Posté par Matt le 18/05/2011 à 15h10
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Source : Génération NT

Android

Une équipe de chercheurs en sécurité de l'université d'Ulm (Allemagne) a dévoilé une faille majeure de sécurité concernant tous les appareils sous Android 2.3.3 ou antérieur, c'est-à-dire l'écrasante majorité des smartphones Android (99.7% selon Google...).

Lorsqu'elle est exploitée, cette faille permet d'accéder à toutes les données personnelles que l'utilisateur a stockées dans son compte Google. Et malheureusement, les chercheurs expliquent que la faille est assez simple à exploiter. Le problème prévient d'un manque de sécurisation de certaines communications avec les serveurs de Google. Lors de l'accès au calendrier, aux contacts ou encore à Picasa, l'appareil se voit attribuer un jeton d'identification, valable 14 jours, qui est transmis en clair.

Ainsi, il suffit de récupérer ce jeton pour pouvoir ensuite se connecter au compte Google via une autre machine et accéder à toutes les informations qui y sont stockées, en lecture et en écriture. Ce jeton peut être particulièrement simple à récupérer lorsque l'appareil Android est connecté à un réseau Wi-Fi public, puisqu'il suffit alors d'analyser le traffic sur ce réseau pour voir passer le jeton.

Par ailleurs, la faille n'est que partiellement corrigée dans Android 2.3.4 et 3.0 : le jeton est désormais chiffré via une connexion HTTP pour les accès aux contacts et au calendrier, mais reste en clair pour l'accès à Picasa (l'application de synchronisation Android n'a pas été développée par Google).

Google a bien entendu indiqué travailler à la correction définitive du problème, mais il faudra ensuite que les constructeurs de smartphones et opérateurs diffusent les mises à jour, ce qui n'est pas toujours très rapide. Il est donc urgent que Google mette en place des procédures de mises à jour indépendantes de ses partenaires, comme évoqué lors de la Google I/O.

Posté par Matt le 18/05/2011 à 12h30
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Source : Clubic

Hadopi

Depuis que le système de la riposte graduée a été mis en place, l'Hadopi s'appuie sur Trident Media Guard pour la surveillance des réseaux P2P et la collecte des IP en infractions. Mais, en raison de grave manquements de sécurité, des informations personnelles stockées sur un serveur de TMG ont été accessibles publiquement. Une affaire qui fait beaucoup de bruit sur Internet.

En effet, si TMG prétend pour sa défense qu'il s'agissait d'un serveur de test et que la plateforme de production n'a pas été corrompue, on peut tout de même se demander si les IP rendues publiques n'avaient pas été collectées sur les réseaux P2P lors d'une campagne de test. Les informations disponibles permettaient par exemple de connaitre les films téléchargés à partir d'une IP donnée, avec les heures de téléchargement. Pour en avoir le cœur net, la CNIL a ouvert une enquête sur le sujet et a dépêché des agents dans les locaux de TMG pour auditer les systèmes.

De son côté, l'Hadopi a indiqué qu'elle allait elle aussi participer à l'inspection de TMG, en collaboration avec la CNIL et que, en attendant, la liaison avec TMG a été temporairement suspendue, mais que la riposte graduée n'est pas interrompue, l'Hadopi disposant d'une "réserve" d'IP déjà collectées mais dont les propriétaires n'ont pas encore notifiées...

Posté par Matt le 18/05/2011 à 11h10
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Sources : Univers Freebox et Génération NT

Microsoft

La semaine dernière, Microsoft faisait sensation en annonçant le plus gros rachat de son histoire, celui de Skype. Selon certains, il se pourrait que le géant du logiciel vise désormais encore plus gros, avec la division téléphones mobiles de Nokia !

En effet, alors que le finlandais s'est beaucoup rapproché de Microsoft depuis qu'il est dirigé par un ancien cadre de Redmond, l'analyste Eldar Murtazin, qui a souvent révélé des informations exactes sur Nokia bien avant leur officialisation, parle désormais de la possibilité que Nokia cède sa division mobile à Microsoft. Rien que ça...

Délaissant le marché grand public, Nokia se contenterait alors de son activité d'équipementier réseau, via sa filiale Nokia-Siemens Networks, tandis que Microsoft pourrait modifier en profondeur sa stratégie sur le marché des smartphones, en devenant à la fois constructeur de téléphones et éditeur d'OS mobiles, peut-être même en réservant son OS à ses terminaux, comme le fait Apple.

Pour l'instant, cette information est démentie par Nokia. Mais ce ne serait pas la première fois qu'une information révélée par Eldar Murtazin serait démentie par Nokia avant d'être finalement officialisée... C'était le cas par exemple pour le passage à Windows Phone et l'abandon de la marque Ovi.

Posté par Matt le 18/05/2011 à 08h22
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Source : Smartphone France

Après des années et des années d'attente, les fans de Duke vont bientôt pouvoir reprendre les commandes, avec l'arrivée de Duke Nukem Forever, toujours prévue pour le 10 juin prochain, soit dans un peu moins de quatre semaines. Et les pré-commandes ont été ouvertes.

L'éditeur vient en effet de mettre en ligne une nouvelle vidéo, annonçant avec humour que le jeu est bien terminé et passe actuellement les étapes de validation, et devrait donc bien arriver le 10 juin prochain. Les pré-commandes ont été ouvertes, notamment sur la plateforme Steam, qui offre même déjà une réduction de 10%.

Duke Nukem Forever sur Steam

Et pour les plus impatients, une démo jouable sera disponible à partir du 3 juin, mais elle sera réservée à ceux qui auront pré-commandé le jeu auprès d'un des revendeurs partenaires. Mais après les multiples rebondissement qui ont émaillé son développement, mieux vaut peut-être attendre la sortie effective du jeu, on ne sait jamais...

Posté par Matt le 17/05/2011 à 21h47
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Source : PCInpact

Intel

En annonçant il y a quelques jours son intention de passer aux transistors 3D dès la fin de l'année, Intel a surpris beaucoup de monde. Y compris ses concurrents, qui ne sont visiblement pas prêts pour adopter cette évolution aussi rapidement.

Ainsi, TSMC, l'un des plus gros fondeurs du marché, a indiqué qu'il ne serait pas en mesure d'utiliser ces nouveaux transistors avec son processus de gravure 20nm, qu'il prévoit de commercialiser à partir de la fin de l'année prochaine (TSMC travaille actuellement au mieux en 28nm). En effet, si TSMC a déjà réussi à fabriquer des transistors 3D, le fondeur est encore loin d'être capable de les produire en masse, comme le fera Intel pour l'Ivy Bridge.

Et de l'aveu de TSMC, ce n'est pas une question de mois, mais plutôt d'années. Au mieux, le taïwanais envisage pour l'instant la production en masse lorsqu'il lancera son offre de gravure en 14nm, une finesse qui devrait arriver dans trois ou quatre ans.

Posté par Matt le 17/05/2011 à 12h50
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Source : Tom's Hardware