
À moins que vous viviez dans un pays reculé et coupé d'Internet, vous avez forcément entendu parler de Firefox, LE navigateur alternatif qui a remis en cause la domination sans partage d'Internet Explorer sur le marché des navigateurs web.
Et pourtant, le Panda Roux n'est pas bien vieux ! En effet, celui-ci va bientôt fêter ses cinq ans. Une goutte d'eau à côté des presque quinze ans d'Internet Explorer et d'Opera. Mais là où ce dernier à échoué face à Microsoft, Firefox a réussi, en grignotant près de 30 points de parts de marché à Internet Explorer, et en ce positionnant ainsi comme l'alternative la plus sérieuse.
Une popularité due en grande partie au caractère très ouvert du navigateur. Ouvert au niveau de son code source, mais aussi et surtout, au niveau de ses API, permettant à tout un chacun de développer des plug-ins. Un bon moyen de faire correspondre le navigateur à un maximum d'utilisateur, mais aussi de mieux appréhender les attentes des utilisateurs, en se basant sur la popularité des extensions pour orienter les évolutions du navigateur.
Joyeux anniversaire donc à Firefox, et souhaitons lui de continuer sur sa lancée pour les cinq années à venir ! C'est très bien parti dans certains pays, où le petit navigateur qui monte est désormais le n°1, devant Internet Explorer.
Posté par Matt le 09/11/2009 à 22h31
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Source : Le Journal du Geek

Les amateurs français des produits à la pomme l'attendaient depuis longtemps : le premier Apple Store français va ouvrir officiellement ce samedi 7 novembre 2009, à Paris. Il sera rapidement suivi par d'autres boutiques à Paris et en province.
Le concept des Apple Store a été lancé aux États-Unis en 2001, pour renforcer l'image de la marque auprès du grand public et créer un espace d'échange entre techniciens et utilisateur, via le Genius Bar, présent dans tous les Apple Store. Il aura fallu attendre plus de 270 ouvertures de magasins dans une dizaine de pays avant qu'Apple pense enfin aux français.
Photo : Macworld.fr
Pour l'occasion, Apple a vu les choses en grand, avec une boutique de 700m² située dans la galerie commerciale du Carrousel du Louvre, au pied de la pyramide inversée. Quand on sait à quel point Apple aime les structures de ver et de métal pour ses magasins, on ne pouvait effectivement pas imaginer un meilleur emplacement pour ce premier store français. Il s'organise sur deux niveaux, reliés par un grand escalier de verre similaire à celui du fameux Apple Store de la cinquième avenue à New York.
Photo : Macbidouille.com
À partir du 7 novembre, il sera ouvert sept jours sur sept et de 10h à 20h.
Un second Apple Store ouvrira ses portes dès la semaine prochaine, dans le centre commercial Odysseum, un complexe flambant neuf situé à Montpellier, tandis qu'un troisième magasin est déjà en chantier à Paris, rue Halevy, près de l'opéra Garnier. Ce sera le plus grand des trois, avec une surface trois fois plus grande que celle du magasin du Louvre. D'autres ouvertures seraient également prévues dans différentes villes de France, mais rien n'est officiel pour l'instant.
Posté par Matt le 06/11/2009 à 23h08
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Depuis de nombreuses années, Via se concentre sur le marché des processeurs basse consommation, ses puces étant bien incapables de rivaliser avec celles d'AMD et d'Intel. On peut donc comprendre que le taïwanais voit l'Atom d'un assez mauvais œil et fasse son possible pour le détrôner. Et le futur Nano 3000 a de sérieux arguments pour parvenir à cette fin !
Doté d'un cœur x86 64 bits et utilisant le même packaging que les précédents processeurs de Via, avec lesquels ils est totalement compatible, le Nano 3000 est en effet annoncé comme plus performant et moins gourmand en électricité que son concurrent de chez Intel. Ainsi, à fréquence égale, il serait environ 20 à 25% plus rapide que le Nano actuel et 40 à 50% plus rapide que l'Atom !
Côté consommation, Via n'a pas communiqué sur les valeurs en activité, mais les valeurs au repos sont particulièrement faibles : à peine 100 mW pour la série U3000 (de 1 à 1.4 GHz) et 500 mW pour la série L3000 (de 1.8 à 2 GHz).
Il sera disponible dès le premier trimestre 2010 et devrait logiquement se retrouver dans différents modèles de netbooks et de nettops.
Posté par Matt le 04/11/2009 à 10h46
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Source : Tom's Hardware

Voilà une nouvelle bien insolite qui nous provient de l'Empire du Milieu : le journal en ligne The People's Daily, l'un des journaux officiel du parti accuse le géant de la recherche de pratiquer... la censure !
En effet, la section livres du site web du journal a été catalogué pendant quelques temps comme une menace par le service d'avertissement contre les sites malveillant de Google. L'américain rappelle que la base de données de se service est générée de manière totalement automatisée, alors que le quotidien chinois accuse Google d'avoir volontairement procédé à ce classement par représailles suite à une autre affaire opposant Google et la Chine.
En effet, il y a quelques temps, la Chine avait reproché à Google Books de diffuser 18000 œuvres d'auteurs chinois sans en avoir l'autorisation. Oui oui, la Chine qui défend le droit d'auteur. Ça aussi ça surprend...
Posté par Matt le 03/11/2009 à 08h17
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Source : Generation-NT
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Depuis qu'nVidia a relancé le concept du multi-GPU sur une seule carte, avec sa 7950 GX2, les cartes à deux GPU sont devenus relativement communes, même si elles restent minoritaires dans les ventes. Mais chez EVGA, ils n'aiment pas ce qui est commun... Et le moins qu'on puisse dire, c'est que la dernière carte bi-GPU qu'ils ont présenté n'a rien d'habituel !
En effet, alors que toutes les cartes bi-GPU sorties ces dernières années ont toujours été basées sur une architecture parfaitement symétrique, avec deux GPU identiques, embarquant chacun la même quantité de mémoire et travaillant ensemble via SLI ou Crossfire, la GTX 275 CO-OP PhysX Edition d'EVGA embarque deux GPU très différents, puisque ne provenant même pas de la même génération !
Comme son nom l'indique, cette carte embarque un GPU GeForce GTX 275 (GT200b) qui va prendre en charge tous les calculs d'affichage 3D. Il est cadencé à 633 MHz (1296 MHz pour ses 240 SP) et épaulé par 896 896 Mo de DDR3 à 2268 MHz. À côté, la carte embarque un GPU GeForce GTS 250 (G92b) cadencé à 738 MHz (1836 MHz pour les 128 SP) et disposant de 384 Mo de DDR3 à 2200 MHz. Ce second GPU est entièrement dédié au calcul physiques, via l'API PhysX supportée par tous les GPU nVidia depuis quelques temps.
EVGA nous propose donc là une carte plutôt originale. Reste à voir si elle connaitra plus de succès que les solutions bi-GPU classiques. Elle risque toutefois de ne pas être aidé par son prix, qui devrait se situer aux alentours de 350$ : pour ce prix, on peut s'offrir une paire de cartes globalement bien plus puissantes...
Posté par Matt le 02/11/2009 à 23h41
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Source : Cowcotland
Quand deux équipes de pro-gamers de très haut niveau s'affrontent, il est souvent difficile de les départager, tant le niveau de jeu est élevé dans les deux équipes. Que faire alors pour pimenter le jeu et tenter de départager plus aisément les équipes ? Il suffit de les distraire, par exemple en transformant la salle en piste de danse et en y lâchant quelques strip-teaseuses !
C'est en tout cas l'idée qu'ont eu les organisateurs d'une partie opposant forZe et Virtus.pro, deux équipes russes de renommée internationale. Libérées en pleine partie de Counter-Strike 1.6, les trois demoiselles ont eu bien du mal à se faire remarquer par les joueurs, visiblement très concentrés sur leur jeu, malgré des sous-vêtements très geek... De là à renforcer certaines idées reçues au sujet des gamers...
D'autres photos sur English Russia.
Posté par Matt le 02/11/2009 à 22h20
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Source : NoFrag via Ptit_boeuf

Après avoir contribué à populariser le concept du netbook, Asus va-t-il réussir à imposer le smartbook ? Le taïwanais devrait en tout cas tenter sa chance sur ce marché dès le premier trimestres 2010.
Smartbook ? Kezako ? Le smartbook est en quelque sorte au netbook que que le netbook est à l'ultra-portable : une machine moins chère, mais aux performances réduites. Pour arriver à faire encore moins cher que les netbooks, l'astuce consiste en fait à faire un croisement de smartphone et de netbook : on prend l'électronique d'un smartphone (mais sans la partie réseau cellulaire) et on la met dans un châssis de netbook, voir dans un châssis plus petit.
On obtient ainsi une machine peu coûteuse (certains sont vendus moins de 150$), offrant des fonctionnalités similaires à celles d'un netbook, mais avec une autonomie bien supérieure et des performances réduites. L'emploi de processeurs de smartphones a toutefois un inconvénient, qui pourrait freiner l'adoption de tels appareils par le grand public : ils ne peuvent pas faire tourner les versions standard de Windows.
Asus devrait proposer plusieurs modèles de smartbook, utilisant probablement le système d'exploitation Androïd de Google, et vendu moins de 200$.
Posté par Matt le 02/11/2009 à 11h09
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Source : Crunchgear via Ptit_boeuf

Depuis plusieurs années déjà, les parts de marché d'Internet Explorer ont entamé un lent déclin, face au succès grandissant de Firefox, mais aussi grâce à l'arrivée de nouveaux concurrents de qualité, comme Safari ou Chrome. Ce déclin est tel que la navigateur de Microsoft a désormais perdu sa place de numéro un dans deux pays de l'Union Européenne !
C'est la Hongrie et la Slovaquie qui ont l'honneur d'être les deux premiers. En effet, selon le dernier rapport de AT Internet (ex-Xiti), les parts de marché de Firefox dans ces deux pays seraient respectivement de 47.4% et 43.3%, contre 44.1% et 41% pour Internet Explorer. Dans les deux cas, le navigateur de Microsoft a pris une véritable claque ces six derniers mois, en perdant respectivement 17.4% (-9.3pts) et 14.4% (-6.9pts) de sa part de marché !
Au niveau de l'ensemble de Union Européenne, Firefox a toutefois encore du chemin à faire, sa part de marché étant encore inférieure à 30%, même si elle est toujours à la hausse. Elle atteint 28.4%, soit une progression de 2.2% (+0.6pt) sur six mois, tandis que Internet Explorer perd 4% (2.6pts), à 62%.
Mais les plus grands gagnants dans ce déclin d'Internet Explorer sont les deux outsiders : Safari, qui progresse de 30.3% (+1pt) et atteint 4.3% de part de marché et Chrome, qui double sa part de marché pour atteindre 2.8%. Il en profite ainsi pour prendre la quatrième place à Opera, dont la part de marché n'a pas bougé d'un poil, à 2.2%.
À ce train, Internet Explorer restera toutefois probablement le leader pendant de longues années. À moins que l'écran de choix du navigateur imposé à Microsoft par l'Union Européenne n'accélère les choses. Pour rappel, cet écran doit s'afficher lors du premier lancement du navigateur sur les versions européennes de Windows 7, et il propose à l'utilisateur de faire son choix parmi les cinq principaux navigateurs : Safari, Chrome, Internet Explorer, Firefox et Opera. Il devrait également être proposé sous Windows XP et Windows Vista dans quelques temps.
Posté par Matt le 01/11/2009 à 21h04
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Source : AT Internet
Au mois d'octobre, les visites ont a nouveau légèrement progressé par rapport au mois de septembre (+4.9%). Les pages vues ont pour leur part augmentées de 6.1%.
Infobidouille lui même est en légère régression (-1.4%), tandis que Pimp My iPhone progresse de plus de 15%.
Les parts de marché des navigateurs restent assez proches de celles du mois précédent. Firefox 3.5 continue de grignoter Firefox 3.0, mais à un rythme moins soutenu. Un ralentissement également notable au niveau de la migration de IE 7 à IE 8. On notera tout de même une nette progression de Google Chrome (+17%).
Windows 7 étant disponible depuis une grosse semaine, sa part de marché augmente fortement (9.9%, +3pts). Il représente déjà 12.6% des visites sous Windows. On peut s'attendre à une progression rapide de cette part durant les semaines à venir : le dernier jour du mois, Windows 7 représentait 15.8% des visites, soit 20.4% des visites sous Windows
Posté par Matt le 01/11/2009 à 18h40
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Source : AT Internet

Avec la popularité grandissante des supports de stockage à mémoire flash (SSD, clés USB, cartes mémoire...), les fabricants de semi-conducteurs travaillent d'arrache-pied pour rendre leurs produits de moins en moins chers à produire et de plus en plus performants. Deux critères d'amélioration qui ne vont pas toujours de paire...
Mais les laboratoires d'Intel pourraient bien parvenir d'ici quelques années à combiner les deux critères, en associant deux technologies. Tout d'abord, la technologie PRAM/PCM (Phase-change RAM / Phase Change Memory). Comme son nom l'indique, il s'agit d'une mémoire de type RAM, c'est-à-dire que chaque mot mémoire peut être accédé indépendamment, contrairement à ce qu'il se passe avec les mémoires flash (qui sont des ROM), ou l'accès se fait par pages de plusieurs Ko et lecture/écriture et par blocs de plusieurs centaines de Ko en effacement. Mais contrairement à la plupart des types de RAM, les PRAM ont l'énorme avantage de pouvoir conserver les données ans alimentation, comme les mémoire flash. Elles promettent donc des performances et une souplesse d'utilisation très supérieures à celles des mémoires flash, tout en conservant l'avantage de la non volatilité (les données stockées durent plus longtemps que sur une mémoire flash !) et en offrant une durée de vie supérieure (certains constructeurs avancent des chiffres de plusieurs centaines de milliers de cycles).
Mais ces mémoires souffrent aussi d'un défaut actuellement commun à tous les types de mémoire électroniques : leur densité relativement faible (par rapport aux supports magnétiques) les rendent très chères et peu compétitives face aux disques durs, malgré leurs performances élevées. Du côté de la mémoire flash, la solution à ce problème consiste actuellement à stocker plus de bits dans une même cellule, mais ceci se fait au détriment des performances et de la fiabilité. Difficile à accepter pour les SSD. Pour les mémoires du futur, Intel lorgne donc vers une autre technologie : les puces 3D, où plusieurs couches de circuits sont entassées les unes sur les autres pour augmenter la densité. Certains constructeurs de mémoire flash ont déjà expérimenté avec succès cette technique, mais Intel veut aller plus loin, en l'appliquant aux PRAM. Les premiers prototypes de cette technologie ont été développés en collaboration avec Numonyx, et les résultats seraient très prometteurs, les deux entreprises étant particulièrement optimistes sur l'avenir de cette nouvelle technologie, baptisées PCMS (Phase Change Memory and Switch).
Si tout se passe bien, on pourrait donc d'ici quelques années avoir à notre disposition des SSD de haute capacité ridiculisant les modèles actuels sur le plan des performances, et ne coûtant pas plus cher qu'un disque dur. Espérons que d'ici là Intel aura un peu plus de rigueur dans les tests de ses firmwares...















