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Si vous avez fréquenté Internet ces dernières années, vous êtes quasi forcément tombés plus d'une fois sur des codes captchas, ces systèmes qui vous demandent de recopier un texte parfois quasiment illisible. Leur but est de tromper les logiciels de reconnaissance de caractère, pour empêcher les inscriptions automatisées, souvent utilisées par les spammeurs...

Exemples de captchas

L'intérêt de ces systèmes de plus en plus complexes est que, même si la reconnaissance de caractères reste éventuellement possible, elle nécessite une certaine puissance de calcul, qui peut rendre le cassage peu rentable, en devenant plus coûteux que ce que peut rapporter le compte utilisateur ainsi créé...

Mais les spammeurs auraient finalement trouvé une parade à ces problèmes, en exploitant la pauvreté de certains pays : puisque les captchas sont censés être facilement déchiffrables pour un humain, ils les font déchiffrer par des humains, payés pour le faire... Ainsi, en Chine ou en Inde, des gens sont prêts à passer leur temps à déchiffrer des captchas pour toucher quelques dollars.

Selon le New York Times, les captchas déchiffrés se négocieraient ainsi entre 80cts et 1$20 les mille sur des sites spécialisés dans la mise en relation de travailleurs freelance avec des clients potentiels. Certains auraient même créé des entreprises spécialisées dans le domaine, mais sans grand succès pour l'instant.

Mais loin de remettre en cause l'efficacité des captchas, ces pratiques seraient au contraire la preuve de leur efficacité selon un ingénieur de chez Google : le but des captchas est de rendre la création automatisée de comptes moins rentable pour les spammeurs, ce qui est forcément le cas dans la mesure où ils doivent payer pour pouvoir créer ces comptes.

Posté par Matt le 28/04/2010 à 16h40
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Source : Generation NT

Sony

C'est un fait bien connu : les consoles de jeu commencent bien souvent leur carrière en étant vendues à pertes, pour faciliter leur pénétration sur le marché, le constructeur faisant ensuite sa marge sur les jeux et les accessoires, puis, une fois que la production tourne à plein régime, les économies d'échelle et la baisse de prix des composants permettent de vendre sans perte. La PlayStation 3 aurait désormais atteint ce stade, grâce à une nouvelle révision.

Sony Playstation 3 Slim

Portant la référence CECH-2100A (contre CECH-2000A pour la première PS3 Slim), cette nouvelle révision de la console nippone se distingue de la précédente par son GPU nVidia RSX, qui est désormais gravés en 40nm, contre 65nm précédemment, le CPU Cell restant pour sa part en 45nm. En plus de permettre une réduction du coût de fabrication de la puce elle-même, ce procédé de gravure plus fin permet une réduction de consommation de l'ordre de 15%, ce qui induit indirectement des économies sur d'autres composants, comme par exemple le système de refroidissement et le bloc d'alimentation, qui ont tous deux vu leur poids réduit de moitié par rapport à la PS3 première du nom.

Grâce à ces économies, la console actuellement vendue 300$ serait donc enfin rentable. Il est loin le temps où Sony vendait 500$ une Playstation 3 20 Go qui lui en coûtait 800 !

Posté par Matt le 28/04/2010 à 11h21
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Source : Tom's Hardware

AMD

À peine quelques semaines après le lancement des premiers processeurs Intel à six cœurs, le Core i7 980X et les Xeon C3600/5600, c'est au tour d'AMD de lancer ses deux premiers processeurs hexacore, les Phenom II X6 1055T et 1090T.

Positionnés à des tarifs très agressifs (190€ le 1055T, 290€ le 1090T), ils ne permettent toujours pas à AMD de reprendre la main sur le haut de gamme, mais l'autorisent à espérer des jours meilleurs, en attaquant Intel sur le plan du rapport performances/prix pour certains usages. En effet, si le 1090T offre des performances moyennes un peu plus faibles que celles du Core i7 920, vendu un peu moins cher, il le surpasse parfois assez nettement, lorsque l'application utilisée est capable de tirer parti des six cœurs. Le Core i7 980X reste bien entendu inatteignable, mais il ne faut pas oublier qu'il est vendu plus de trois fois plus cher...

AMD a également fait de gros efforts sur la consommation de ses nouveaux processeurs, notre confrère PCWorld ayant mesuré sur un X6 1090T à 3.2 GHz une consommation très légèrement inférieure à celle d'un Phenom II X4 965 à 3.4 GHz, soit un rapport performance/consommation en net progrès.

Ces deux processeurs introduisent également chez AMD la technologie Turbo Core, clone du Turbo Boost d'Intel, qui permet d'augmenter automatiquement la fréquence du processeur quand peu de cœurs sont utilisés. Ainsi, le 1055T pourra passer de 2.8 GHz à 3.3 GHz lorsqu'au moins trois cœurs se tournent les pouces, tandis que le 1090T pourra passer de 3.2 à 3.6 GHz.

Notons également que le Phenom II X6 1090T est un processeur "Black Edition", ce qui permet de modifier son coefficient multiplicateur à la hausse, facilitant l'overclocking. Un domaine où il excelle d'ailleurs, PCWorld ayant atteint 4.4 GHz en refroidissement à air (+37.5%) et 6 GHz en refroidissement à l'azote liquide (+87.5% !).

Après être sorti de l'eau côté cartes graphiques, avec les ATI Radeon 5000, le constructeur texan pourrait donc bien être enfin en train d'approcher de la surface du côté des processeurs.

Posté par Matt le 27/04/2010 à 21h59
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Source : PCWorld

W3C

Non, ne vous inquiétez pas, nous n'allons pas vous parler d'un nième projet de flicage d'Internet, nous allons vous parler ici de polices de caractère. Ceux qui ont un jour voulu faire un site web au design un peu original ont sans doute déjà eu affaire à la problématique des polices : comment s'assurer que le visiteur du site disposera sur sa machine de toutes les polices nécessaires ? C'est le but du format WOFF 1.0, récemment soumis au W3C.

Ce format concurrent du bon vieux TrueType, ou du plus récent OpenType, vise à définir un format standard et libre pour les polices sur Internet (WOFF est l'acronyme de Web Open Font Format). L'idée est de pouvoir référencer dans une page web des polices à ce format, qui seront téléchargées (sous forme compressée) automatiquement par le navigateur de l'utilisateur pour assurer un rendu fidèle des pages visitées.

Microsoft avait déjà tenté de répondre à cette problématique des polices Web il y a deux ans avec son Embedded OpenType, propriétaire et DRMisé, heureusement sans succès. Mais le WOFF pourrait bien réussir là où l'Embedded OpenType avait échoué, grâce à des soutiens de premier choix. En effet, le format WOFF 1.0 a été soumis au W3C par Microsoft, Mozilla et Opera, qui à eux trois cumulent près de 90% du marché des navigateurs... Ils pourraient également être rejoints par Google, qui aurait déjà commencé à implémenter le WOFF dans Chromium, la base open source de Chrome.

Si ce standard venait à être validé, il pourrait également avoir une influence sur le format Flash, qui était justement parfois utilisé pour la réalisation de sites utilisant des polices exotiques, qui étaient alors incluses dans l'application Flash.

Posté par Matt le 27/04/2010 à 16h21
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Source : Generation NT

E-Ink

Stars des lecteurs d'e-books, les écran e-paper ont de nombreux avantages pour la lecture, mais ont été quelques peu éclipsés par les écrans LCD depuis l'annonce de l'iPad et autres tablettes tactiles multimédia du même acabit. Mais E-Ink, le constructeurs des écrans e-paper, n'a pas dit son dernier mot...

En effet, il devrait proposer en fin d'année une nouvelle génération d'écrans, affichant des spécifications un peu plus avancées, avec par exemple un taux de contraste pouvant monter jusqu'à 12:1 (le double du taux de contraste d'un journal imprimé, alors que les anciens écrans avaient un contraste inférieur au papier), un affichage sur 16 niveaux de gris et un temps de rafraichissement amélioré, atteignant "seulement" 0.74 secondes...

Écran E-Ink

Des caractéristiques qui peuvent paraitre un peu légère comparées à celles des écrans LCD (les meilleurs approchent les 3000:1 de contraste, avec des temps de réaction de quelques ms et sont capables d'afficher des millions de couleurs...). Mais il ne faut pas oublier qu'ils sont avant tout destinés à la lecture, un domaine dans lequel ils excellent, grâce à un rendu très proche du papier, sans rétro-éclairage, parfaitement lisible en pleine lumière et ne consommant de l'énergie que lors des changements d'image.

Reste à voir si les lecteurs d'e-books parviendront à tirer parti de ces atouts pour garder leur place sur le marché, où s'ils seront totalement dominés par les tablettes, moins adaptées à la lecture mais bien plus polyvalentes. À moins que ce soient finalement les solutions hybrides qui s'imposent, avec des écrans tels que ceux proposés par Pixel-Qi, qui peuvent fonctionner au choix en mode LCD ou en mode e-paper, pour profiter des avantages des deux technologies.

Posté par Matt le 27/04/2010 à 11h01
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Source : Presence-PC

europe.png

Depuis plusieurs années, les fournisseurs d'accès Internet français proposant des offres TV payent une taxe pour contribuer à l'industrie audiovisuelle, taxe en contrepartie de laquelle ils sont autorisés à ne payer la TVA qu'à 5.5% au lieu de 19.6% sur la moitié de leur chiffre d'affaire. Une réduction qui n'est pas au goût de la Commission Européenne...

En effet, la commission a mis la France en demeure de supprimer cet avantage fiscal, qui contreviendrait selon elle à sept articles de la directive européenne sur la TVA. En particulier, la commission critique le fait que certains FAI appliquent ce taux réduit à tous leurs abonnés, y compris ceux qui ne sont techniquement pas en mesure de profiter d'une offre TV.

Cette missive européenne pourrait donc déclencher le mouvement haussier des tarifs d'abonnements Internet, dont l'arrivée prochaine avait déjà été évoquée par Xavier Niel. À noter que, même sans celà, les abonnements auraient probablement augmentés, puisque Nicolas Sarkozy avait déjà évoqué une modification des tranches (45% à 5.5% et 55% à 19.6%) dans le but de financer la Carte musique jeunes.

Posté par Matt le 26/04/2010 à 22h30
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Source : Generation NT

Lancé il y a quelques mois, le tuner Elgato EyeTV Netstream DTT joue la carte de l'originalité, en se connectant via le réseau au lieu de l'habituel port USB, ce qui permet de le partager entre plusieurs machines et de le placer au plus près des prises antennes.

Mais ce mode de connexion n'a-t-il pas un impact négatif sur la qualité d'image ou sur la facilité d'utilisation ? C'est ce que nous avons vérifié dans notre test.

Posté par Matt le 26/04/2010 à 10h11
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Dell

Après une entrée timide sur le marché du smartphone chinois avec le Mini 3, l'américain Dell, jusqu'ici surtout connu pour ses ordinateurs, s'apprêterait à lancer une grosse offensive sur le marché des smartphones et des MID (Mobile Internet Devices), avec pas moins de six appareils dans ses cartons.

Dell Lightning

Du côté des smartphones, ce sont quatre modèles qui seraient prévus. Tout d'abord, le Lightning, qui devrait être un smartphone sous Windows Mobile 7, occupant le haut de gamme Dell. Il embarquera un écran 4.1" OLED WVGA (800x480) cachant un clavier physique coulissant en mode portrait (façon clavier BlackBerry). Il serait animé par un processeur Qualcomm Snapdragon QSD8250 à 1 GHz, couplé à 512 Mo de RAM et 1 Go d'espace de stockage (extensible par micro-SD). La connectivité réseau sera bien entendu 3G+ (HSDPA et HSUPA), mais aussi Wi-Fi N et Bluetooth 2.1. Comme tout smartphone récent qui se respecte, il sera également doté d'un appareil photo numérique 5 millions de pixels, d'un GPS, d'un magnétomètre (boussole), d'accéléromètres, de capteurs de luminosité et de proximité, mais aussi, et c'est plus rare, d'un tuner FM. Il est attendu pour le dernier trimestre 2010.

Dell Thunder

Les trois autres smartphones seront dotés d'Android 2.2 et seront compatibles Flash 10.1, mais ils n'arriveront que début 2011. Le plus haut de gamme sera le Dell Thunder, qui devrait reprendre les caractéristiques du Lightning, mais avec un APN 8 MP et sans le clavier coulissant.

Dell Flash

Le Flash occupera pour sa part le milieu de gamme. Plus compact avec son écran LCD de seulement 3.5" (mais toujours en 800x480), il se contentera d'un processeur Qualcomm MSM7230 à 800 MHz et de 512 Mo d'espace de stockage, le reste des caractéristiques étant inchangées.

Dell Smoke

Enfin, le Dell Smoke reprendra les caractéristiques du Flash, mais avec un écran 2.8" et un clavier complet, en mode portrait, comme sur le Lightning, mais non coulissant, ce qui donne un téléphone au design assez original, avec un combiné très allongé.

Tablettes Dell

Du côté des MID, le texan prévoit deux tablettes sous Android 2.1. La première, qui devrait être disponible au troisième trimestre 2010 s'appellera Streak, et se présentera sous la forme d'une tablette 5". Dotée d'un processeur Snapdragon 1 GHz, elle proposera une connectivité 3G et Wi-Fi, mais un modèle Wi-Fi uniquement serait également prévu. Elle proposera également un capteur photo 5MP et un GPS.

Plus grande, la tablette Looking Glass 7" est prévue pour le dernier trimestre 2010. Elle s'appuiera sur la plateforme nVidia Tegra 2 T20 épaulée par 4 Go de RAM. Le stockage se fera dans les 4 Go de mémoire flash interne ou sur une carte SD. La connectivité inclura la 3G+, le Wi-Fi N et le Bluetooth 3.0, mais aussi un port USB 2.0 maître, qui devrait par exemple permettre la connexion d'une clé USB. Elle sera également dotée d'une camaré 1.3 MP en façade pour la visioconférence, d'accéléromètres, d'un magnétomètre et d'un récepteur GPS. Le tout dans seulement 12.8mm d'épaisseur (pour 20cm de long et 13 de large) et 500 grammes. En option, elle pourra également accueillir un tuner TV numérique compatible avec l'ATSC (Amérique du Nord) et le DVB-T (Europe, Russie, Moyen-Orient, Afrique, Asie du Sud, Océanie...).

Posté par Matt le 23/04/2010 à 11h31
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Sources : PC Inpact et Clubic

Google

Il y a deux ans, Apple s'offrait P.A. Semi, un petit constructeur de processeur, alors spécialisé dans les processeurs PowerPC basse consommation, et qui est probablement à l'origine du processeur A4 qu'Apple a développé pour son iPad.

Mais ce rachat n'avait pas été au goût de tout le monde, et plusieurs cadres importants de P.A. Semi avaient alors quitté le navire pour créer une nouvelle entreprise, Agnilux. Sans qu'on sache réellement sur quoi travaille cette jeune entreprise (les rumeurs évoquent toutefois une activité dans le domaine des serveurs), celle-ci a discrètement été rachetée par Google. Le nouveau meilleur ennemi d'Apple vient donc de mettre la main sur quelques perles, dont le fondateur de P.A. Semi, qui s'était illustré par le passé en étant le designers des processeurs StrongARM, qui ont été très utilisés dans les PDA.

Reste maintenant à voir pourquoi Google a réalisé cette acquisition. Le site d'Agnilux est désormais hors ligne, mais celui-ci ne renseignait pas particulièrement sur l'activité de la société, puisqu'il se contentait de signaler son changement d'adresse et l'origine de son nom, comme en atteste le cache de Google :

Site web d'Agnilux

L'étymologie du nom Agnilux pourrait toutefois laisser imaginer quelque chose dans le domaine de la fibre optique ou peut-être même des processeurs optiques, mais ce n'est là que pure spéculation de notre part.

Indépendamment du domaine d'activité d'Agnilux, Google pourrait être intéressé par les compétences des anciens employés de P.A. Semi : les processeurs basse consommation et les architectures ARM. De quoi imaginer que Google pourrait, comme Microsoft, s'intéresser au puces ARM pour optimiser la consommation de ses nombreux serveurs, ou encore que le géant de la recherche envisage de se lancer dans une concurrence encore plus frontale avec Apple, en se mettant à fabriquer ses propres téléphones et tablettes Android, dotés de processeurs Google.

Espérons que Google annoncera rapidement la couleur.

Posté par Matt le 22/04/2010 à 22h19
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Source : PC Inpact

Intel

Alors qu'Intel dispose d'une marge confortable sur son concurrent AMD sur le plan du rapport performances/consommation de ses processeurs, le fondeur de Santa Clara ne semble pas vouloir se reposer sur ses lauriers, puisqu'il annonce de nouvelles baisse de TDP pour ses futurs processeurs.

Ainsi, du côté de la plateforme Atom, la prochaine génération (nom de code "Cedar"), qui sera gravée en 32nm et qui est prévue pour 2011 ne consommera plus que 5W pour la plateforme complète (CPU avec son GPU et son northbridge intégrés + southbridge), contre 7 à 8W pour l'actuelle plateforme Pine Trail et 12W pour la première génération d'Atom. En plus de permettre une augmentation sensible de l'autonomie des netbooks, cette consommation en baisse devrait permettre de multiplier les configuration entièrement passives.

Du côté des machines de bureau, les progrès pourraient être encore plus importants. En effet, le processeurs Sandy Bridge quadri-cœur, les successeurs des actuels Nehalem (Core i3, Core i5 et Core i7) devraient voir leur TDP réduit à 45W, et même 35W en version S. La gamme Nehalem actuel est proposée avec des TDP allant de 73W à 95W, tandis que les Core 2 étaient pour la plupart à 95W en quadri-cœur et 65W en double cœur. Cette baisse importante pourrait toutefois être due à une baisse de la marge que s'accorde Intel à ce niveau, qui est parfois importante. Par exemple, la plupart des Core 2 Quad consommaient en pratique moins de 65W en pleine charge, bien qu'Intel les ait annoncés avec un TDP de 95W.

Si ces chiffres se confirment, AMD risque d'avoir bien du mal à recoller à Intel, et pourrait être contraint à se contenter de proposer des puces d'entrée de gamme.

Posté par Matt le 22/04/2010 à 11h00
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Source : Tom's Hardware