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Apple

Il y a un peu plus d'un an, Apple a attaqué HTC en justice pour violation d'une vingtaine de brevets. Nokia avait rapidement rejoint HTC sur le banc des accusés. Mais cette procédure pourrait bien être un coup d'épée dans l'eau pour Apple, suite au premier rapport de l'ITC sur le sujet.

En effet, alors qu'Apple réclamait l'interdiction de l'importation des smartphones HTC et Nokia sur le territoire américain, l'ITC, l'agence fédérale américaine en charge de conseiller la justice sur les affaires commerciales, a publié un rapport préliminaire sur cette affaire, dans lequel l'un des avocat de l'ITC recommande au juge de rejeter la demande d'Apple.

Bien entendu, le tribunal n'a aucune obligation de se ranger à l'avis de l'avocat de l'ITC, dont le rôle est de protéger l'intérêt des consommateurs, et non ceux de l'une des deux parties du procès. Il y a toutefois de fortes chances que le juge, qui rendra son verdict le 5 août prochain, privilégie lui aussi l'intérêt du consommateur, en laissant la concurrence entre les constructeurs de smartphone s'exercer librement.

Posté par Matt le 21/04/2011 à 09h00
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Source : Tom's Hardware

Archos

Fort d'une importante croissance de ses ventes ces derniers mois, grâce à l'explosion du marché des tablettes, le français Archos souhaite se développer en investissant massivement dans son avenir. Et pour ça, Archos à besoin d'argent !

Ainsi, le français a lancé une procédure d'augmentation de son capital, en émettant 4 millions d'actions nouvelles. Ceci correspond à une augmentation d'environ 20% du capital de la société. En vendant ces nouveaux titres pour 6€50 (l'action Archos se négocie aujourd'hui un peu plus de 7€), Archos espère ainsi récupérer 30 millions d'euros d'argent frais.

Cette somme sera utilisé tout d'abord pour diminuer l'endettement de l'entreprise, en remboursant un emprunt de 5 millions d'euros contracté en 2008, mais aussi à financer le développement de la société et de sa filiale Arnova, créée il y a peu pour conquérir le marché de l'entrée de gamme.

Posté par Matt le 20/04/2011 à 09h12
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Source : PCWorld

Google

Annoncé par les rumeurs depuis plus d'un an et visiblement déjà bien avancé dans son développement, le service Google Music pourrait bien ne jamais voir le jour, ou en tout cas pas sous la forme que Google envisageait...

En cause, les industriels de la musique, avec lesquels Google n'aurait pas réussi à s'entendre sur les modalités tarifaires de son service. Selon certaines sources, Google envisageait, en plus de la vente de musique, de proposer un service de stockage en ligne, comme le fait Amazon avec Cloud Player, où l'utilisateur pourrait stocker ses propres fichiers musicaux pour y accéder de n'importe où en streaming. Alors que Google comptait offrir gratuitement une première tranche d'espace, les majors souhaiteraient que Google facture cet espace à l'utilisateur dès le premier octet...

Ces réticences des majors pourraient même pousser Google à changer totalement le principe de son service, en en faisant un simple service de stockage de données en ligne, sans orientation particulière pour la musique.

Posté par Matt le 19/04/2011 à 14h50
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Source : Le Journal du Geek

République Française

Très controversée lors de son élaboration, la loi Hadopi pourrait bien être au cœur des débats lors de prochaines présidentielles, qui se tiendront en avril et en mai 2012. Ainsi, après que le Parti Socialiste ait évoqué son abrogation dans son projet de programme, c'est au tour de Dominique de Villepin, candidat République Solidaire et ancien Premier Ministre d'évoquer une adaptation de l'Hadopi...

Ainsi, pour DdV, "la culture doit être un bien public accessible à tous les citoyens grâce à un service public de la culture". En clair, l'ancien Premier Ministre souhaite mettre en place un système de licence globale. Pas question toutefois pour lui de supprimer l'Hadopi, qui serait conservée pour éviter certains abus.

L'idée de DdV serait en fait d'autoriser le téléchargement gratuit des œuvres sur les réseaux P2P et sur des sites à caractère non lucratif (dépourvus de publicités), mais uniquement après un certain délai d'exploitation commerciale. Pour les films par exemple, le candidat évoque une libre diffusion sur les réseaux P2P à partir de 4 mois après la sortie en salle. Ce délai correspond actuellement au minimum légal séparant la sortie en salle de la sortie den DVD et VOD.

L'Hadopi serait donc là uniquement pour réprimer les échanges d'œuvres récentes et pour traquer les sites de téléchargement à caractère lucratif, tandis que le système de licence globale collecterait des fonds reversés aux ayant-droits pour compenser le manque à gagner. DdV ne semble par contre pas avoir évoqué comment la répartition des sommes prélevées serait calculé. Ce point pourrait pourtant être crucial pour faire accepter un tel système par les ayant-droits.

Du côté du PS, le projet est un peu plus clair à ce sujet, puisque, sans évoquer le mode de répartition, il précise le mode de prélèvement (sur les factures Internet), mais aussi et surtout, le caractère non systématique de cette licence : les ayant-droits auraient le choix entre accepter le système de licence globale, et donc autoriser le libre échange de leurs œuvres en échange d'une part de la rémunération, ou interdire ce libre échange, mais renoncer à toute rémunération autre que les ventes.

Il sera intéressant de voir les positions des autres candidats sur le sujet, qui sera probablement très difficile à éviter pendant la campagne, et pourrait même être un point particulièrement important pour attirer des électeurs. Mais encore une fois, il ne faudra pas oublier que les promesses de campagne n'engagent généralement que ceux qui y croient...

Posté par Matt le 19/04/2011 à 10h31
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Source : PCInpact

République Française

Introduit il y a une quinzaine d'années, le format actuel de la Carte Nationale d'Identité ne donne plus satisfaction en terme de sécurité, ce qui donne lieu à de nombreuses fraudes et usurpations d'identité. Le gouvernement travail donc à un nouveau format, plus sécurisé.

Celui-ci devrait faire la part belle à l'électronique. Le gouvernement projette en effet d'incorporer dans la future carte d'identité une puce qui stockera différentes informations sur l'identité du titulaire de la carte : nom, prénom et date de naissance bien sûr, mais aussi photo numérisée et informations biométriques, comme les empreintes digitales, la taille, la couleurs des yeux et des cheveux, etc.... Si cette puce est correctement sécurisée, il sera donc très difficile de falsifier les cartes à ce format.

Plus intéressant pour les internautes, la carte pourrait, en option, contenir une signature numérique. Celle-ci permettrait par exemple de s'identifier de façon sécurisée sur un site Internet pour effectuer des achats, consulter ses comptes, ou encore échanger des courriers sécurisé. Ceci nécessiterait bien entendu de disposer d'un lecteur de cartes à puces sur l'ordinateur, mais ce genre d'appareil est d'ores et déjà disponible à très bas prix (la société de transport en communs de Grenoble en propose par exemple à ses usagers pour à peine 3€).

Posté par Matt le 18/04/2011 à 12h50
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Source : 01Net

Free Mobile

Pour obtenir sa précieuse licence 3G, Free Mobile s'était engagé à fournir une couverture de 25% pour le lancement de l'offre en 2012, puis d'étendre cette couverture à 90% avant 2018. L'opérateur souhaite toutefois aller plus loin, et dépasser les taux de couverture actuels de ses concurrents.

En effet, Maxime Lombardini, directeur général d'Iliad, a indiqué que Free Mobile ambitionne une couverture de 99% en 2018. Selon les dernières mesures publiées par l'ARCEP en début d'année, les taux de couverture actuels d'Orange, SFR et Bouygues Télécom sont respectivement de 91%, 88% et 75%.

Pour arriver à ce résultat, Free Mobile envisage le déploiement d'au moins 9000 antennes-relais. Ces déploiement pourraient notamment se faire sur les sites actuellement exploités par Orange, ou encore ceux utilisés par Télédiffusion de France pour la diffusion de la TNT.

Avec un tel taux de couverture, Free Mobile aurait un bel argument pour vendre son offre. Reste à voir si l'opérateur sera capable d'atteindre ce niveau... Rappelons également qu'en téléphonie mobile les taux de couverture se mesurent en pourcentage de la population, et non en pourcentage du territoire, donc un taux de 99% peut tout de même laisser de larges zones blanches dans les campagnes.

Posté par Matt le 18/04/2011 à 08h47
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Source : Tom's Guide

Intel

Peu de temps après avoir lancé sa plateforme Atom Oak Trail, visant principalement le monde des tablettes tactiles, Intel confirme son intérêt pour ce secteur de marché, en s'associant avec le chinois Tencent pour un centre de recherche et développement dédié aux tablettes.

Doté dans un premier temps d'une équipe d'une soixantaine d'ingénieurs issus des deux partenaires, le centre de recherche, installé en Chine, s'occupera aussi bien des aspects matériels et système, sous la houlette d'Intel, que de la partie logicielle, de l'interface utilisateurs et des services associés, sous la direction de Tencent. Ce centre de recherche devrait notamment travailler sur la plateforme MeeGo, pour laquelle l'implication de Nokia pourrait aller décroissant suite au partenariat avec Microsoft.

À terme, l'effectif du centre de recherche pourrait dépasser 200 personnes, tout en étendant le champ d'application de ses travaux. Toujours en Chine, Intel travaillerait aussi main dans la main avec l’équipementier ZTE, spécialisé dans les technologies pour réseau cellulaire. Ce partenariat pourrait mener à la commercialisation du premier smartphone à base d'Atom Oak Trail.

Posté par Matt le 14/04/2011 à 12h56
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Source : Génération NT

République Française

Il y a quelques temps, un projet de loi sur la neutralité du net avait été bloqué au motif qu'un rapport sur le sujet était en préparation par deux députés, Laure de la Raudière (UMP) et Corinne Erhel (PS). Ce rapport ayant été présenté, les débats sur le sujet vont pouvoir être ré-ouverts.

Bonne nouvelle, ce rapport semble plutôt en faveur d'une neutralité garantie par la loi, avec des propositions allant dans le sens de la liberté d'expression de la protection de l'innovation et du financement du réseau. Par exemple, alors que la récente loi LOPSSI permet de blocage de sites sans intervention d'un juge, les deux députés préconisent plutôt le recours systématique à un juge pour valider ou non une demande de blocage. Elles invitent aussi à ne demander aux opérateurs de bloquer les communications qu'en dernier recours, pour éviter de restreindre la liberté d'expression, mais aussi pour éviter une escalade dans les mesures techniques de contournement des filtrages.

Le rapport évoque aussi le problème de la qualité de service. En effet, face à l'explosion de la consommation de bande passante, certains opérateurs, en particulier les opérateurs mobiles, ont commencé à mettre en place des règles de priorité, voir des blocages, pour favoriser certains services au détriments des autres. Dans de tels cas, le rapport propose d'interdire aux opérateurs d'utiliser le terme "Internet" pour décrire leur offre, ce terme devant être réservé aux offres fournissant un accès "neutre", où tous les services sont à égalité. C'est l'ARCEP qui serait chargé de surveiller ces pratiques.

Une version préliminaire de ce rapport est disponible en ligne. La version définitive devrait mener à l'élaboration de nouvelles lois, mais aussi à la modification de certaines lois existantes.

Posté par Matt le 14/04/2011 à 10h40
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Source : Clubic

Google

Gros consommateur d'électricité avec ses nombreux datacenters, Google a depuis longtemps compris qu'investir dans les économies d'énergie et les énergies renouvelables pouvait faire réduire ses frais de fonctionnement. De nombreux locaux de Google sont donc couverts de panneaux solaires ou dotés d'éolienne. Mais ce n'est rien à côté du dernier projet de la firme...

En effet, Google a investi 168 millions de dollars dans un projet majeur, la centrale Ivanpah Solar Electric Generating System. Construite dans le désert de Mojave, en Californie, cette centrale sera parmi les plus puissantes centrales solaires du monde, avec une puissance de 392MW. Les rejets de CO2 économisés par cette centrale sur les 25 ans minimum de son exploitation sont selon Google l'équivalent du retrait de 90 000 voitures du parc automobile américain. En construction depuis octobre 2010, la centrale devrait entrer en production en 2013.

Centrale solaire thermique

Pour arriver à une telle puissance, la centrale va s'appuyer sur une technologie solaire thermique, dont la fabrication est nettement moins polluante que celle du photovoltaique, tout en offrant des rendements et une durée de vie supérieurs. L'installation va se baser sur un réseau de 173 000 miroirs motorisés pour suivre le déplacement du Soleil (héliostats), qui vont concentrer les rayons solaires au somment d'une tour de 140m de hauteur. Là, un fluide sera porté à haute température (540°C) pour générer de la vapeur sous pression, qui entrainera une turbine.

Bien moins connue que le photovoltaïque, cette technologie est toutefois largement éprouvée, avec plusieurs centrales expérimentales ou industrielles dans le monde depuis plus de dix ans, y compris en France, où a été construite l'une des premières centrales solaire de ce type, la centrale expérimentale Thémis dans les Pyrénées, qui fêtera bientôt ses 30 ans.

Desertec

Avec cet investissement, Google apporte donc sa contribution au développement d'une des technologie de production d'électricité les plus prometteuses pour l'avenir, le solaire thermique étant l'une des solutions les plus propres, au cœur de nombreux projets à venir : les projets en cours totalisent une puissance de près de 3GW, dont la moitié aux États-Unis, et, sur le plus long terme, le projet Désertec-Eumena prévoit de fournir la moitié de l'électricité nécessaire pour l'Europe et quasiment toute celle consommée par les pays d'Afrique du Nord via un gigantesque réseau de centrales solaires thermiques installées en Afrique du Nord et dans la péninsule arabique, complété par des centrales éoliennes, hydrauliques, géothermiques, photovoltaïques et biologiques disséminées en Afrique du Nord en Europe et au Moyen-Orient.

Posté par Matt le 13/04/2011 à 15h00
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Source : Clubic

Hadopi

C'est en tout cas ce que promet le Parti Socialiste dans son projet pour la présidentielle 2012, à condition bien sûr que le candidat choisi à l'issu des primaires conserve cette idée dans son programme, et qu'il soit élu le 6 mai 2012...

En effet, le projet du PS indique que "l'adaptation du droit d'auteur à la révolution numérique passe plus que jamais par l'émergence d'un nouveau modèle économique réellement rémunérateur et redistributif pour les ayant-droits et non par des lois pénales que nous abrogerons". Rapidement, des journalistes ont supposé que les "lois pénales" mentionnées étaient le volet répressif de l'Hadopi et les dispositifs de filtrage autorisés par la loi LOPPSI.

Notre confrère PCInpact a donc contacté Christian Paul, député PS, qui a confirmé que ce sont bien ces textes qui sont visés par le projet PS. Lors des débats devant l'assemblé et le sénat, le PS avait déjà marqué son opposition à ces textes, jugés liberticides, et leur abrogation en cas de retour de la gauche au pouvoir est donc relativement logique. Rappelons d'ailleurs que certains de nos voisins ont eux aussi renoncés à ce type de répression ou au filtrage du réseau, comme par exemple en Allemagne, où un projet de loi autorisant le filtrage a été abandonné sans avoir jamais été validé, après plus de deux ans de débat.

Avec une telle promesse, le PS risque fort d'avoir les faveurs de la communauté Internet française. Mais attention, il faut tout de même garder à l'esprit que les promesses des politiciens n'engagent souvent que ceux qui y croient...

Posté par Matt le 12/04/2011 à 19h40
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Source : PCInpact