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YouTube

L'éternel débat sur la répartition des coûts de peering vient de refaire surface en France avec YouTube, et encore une fois, ce sont les internautes qui sont les premiers à en faire les frais. YouTube étant de plus en plus fréquenté, les liens des FAI vers le site de partage de vidéo sont saturés, et personne ne semble vouloir payer pour augmenter leur capacité...

En effet, les FAI considèrent que YouTube gagne de l'argent avec ses visiteurs, et devrait donc mettre la main à la poche pour financer une partie de la bande passante. Pour Google, propriétaire de YouTube, c'est par contre au FAI de prendre toute cette bande passante à leur frais. En conséquence, l'augmentation de capacité des liens n'a pas lieu, et les liens saturent peu à peu... Des gros soucis de performances ont ainsi été notés chez les abonnés Orange et SFR, mais aussi et surtout, chez Free, où les problèmes sont les plus marqués. Depuis quelques jours, de nombreux utilisateurs se plaignent de l'impossibilité de pouvoir lire une vidéo sur YouTube sans la précharger, et ce même dans les définitions les plus faibles.

Si la demande des FAI peut avoir une certaine légitimité, il n'est toutefois absolument pas normal que ce soient les abonnés qui soient pris en otage. Ils paient pour un service, et il est de la responsabilité du FAI d'assurer ce service dans des conditions acceptables. Le site Korben.info, qui a publié un article détaillé sur la situation, appel donc les abonnés à se rebeller, en leur suggérant de contacter la hot-line de leur FAI pour se plaindre de ces performances déplorables.

En attendant que la situation soit résolue, il faudra donc mettre les lectures de vidéo en pause, le temps que la vidéo soit intégralement chargée.

J'ai également trouvée une solution alternative, qui, curieusement, me permet d'accéder au vidéos YouTube avec un débit proche de la capacité maximale de ma ligne : télécharger les vidéos via un utilitaire dédié. Il semblerait en effet que les restrictions appliquées par Free ne s'appliquent pas au téléchargement des vidéos via HTTP. Le téléchargement direct des vidéos YouTube peut se faire via des logiciels dédiés, comme par exemple JDownloader, dans lequel il suffit de recopier le lien vers la page YouTube pour obtenir toutes les versions de la vidéo.

Posté par Matt le 03/05/2011 à 10h28
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Source : Freenews

Free

Free a publié hier deux nouveaux firmware pour ses boîtiers Freebox Server et Freebox Player, qui passent respectivement à la version 1.0.5 et à la version 1.0.4, mais aussi une mise à jour du firmware de la télécommande.

Freebox Server

Feeebox Server

Malgré le passage en 1.0.5 et non en 1.0.4.1, le boîtier Server ne bénéficie que d'une mise à jour mineure : le firmware 1.0.5 ne sert qu'à supporter les enregistrements récurrents en fonction du jour de la semaine, désormais possibles à partir du boîtier Player.

Freebox Player

Freebox Player

Nouveautés

  • Plateforme de jeux vidéo à la demande GameTree TV
  • Support des sous-titres SubRip (SRT) et SubStation Alpha (ASS, SSA)
  • Programmation d'enregistrements en fonction du jour de la semaine.

Corrections

Système
  • La configuration des sorties audio empêche l’upmix sur certains amplis
  • Paramètres non sauvegardés après le scan TNT lors du premier allumage de la box.
Télévision
  • Retour au menu Free lors d'un zapping avec P +/-
  • Zapping sur TF1 intempestif
Lecteur de Blu-ray
  • Utilisation du mode 1080p sur un écran qui ne le supporte pas

Améliorations

Télévision
  • Affichage d’une vignette dans les informations sur le programme
Système
  • Ajout des pages Mentions légales et Informations dans la rubrique Système
Lecteur de Blu-ray
  • Utilisation du mode 1080p24 lorsqu’il est supporté par la télévision
Messagerie vocale
  • Mise à jour de l'interface
Client Zimbra
  • Champ de recherche rapide dans la liste des contacts
  • Recherche/complétion automatique des adresse email
  • Ascenseur horizontal pour la lecture des mails
  • Retour au client mail à la sortie des contacts
Navigateur
  • Support de la méthode HTTP AUTH

Télécommande

Corrections

  • La colonne contenant les touches Haut, 2, 8 … pouvait se désactiver dans certains cas
  • Difficultés lors de la première tentative de réappairage après appui sur Free + AV
  • Voie verticale du gyroscope deux fois plus sensible que la voie horizontale sur certaines télécommandes
  • Curseur se désactivant de manière aléatoire lorsque le navigateur est utilisé
  • Correction de la saturation des voies horizontales et verticales sur mouvements brusques

Améliorations

  • La consommation de la télécommande est fortement diminuée lors des appuis touches
  • L’utilisation des touches en mode gyroscope est plus fiable et consomme moins de bande passante radio
  • Lorsque le gyroscope est parfaitement immobile, aucun envoi radio n’est effectué pour préserver la batterie
  • Certaines touches en mode gyroscope pouvaient être répétées à tord, ce problème est corrigé
Posté par Matt le 03/05/2011 à 08h22
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Source : L'actualité de la Freebox

Hadopi

À l'approche de la campagne pour les présidentielles, et alors que plusieurs responsables de l'opposition ont déjà exprimé leur volonté de toucher à l'Hadopi en cas d'accession au pouvoir en 2012, même Nicolas Sarkozy retourne un peu sa veste en admettant que des erreurs ont été commises...

Il y a quelques jours déjà, le président avait indiqué que, si le Conseil National du Numérique (CNN) avait existé à l'époque, la loi n'aurait sans doute pas pris la forme qu'elle a actuellement. Hier, lors de la mise en place officielle du CNN, Nicolas Sarkozy s'est dit prêt à mettre en chantier une loi Hadopi 3, qui pourrait être l'une des premières missions du CNN. Le président a même reconnu avoir sa part de responsabilité dans les erreurs commises par les deux premières loi Hadopi. Rappelons qu'à l'époque des débats, il était particulièrement déterminé à imposer son projet, et à "aller jusqu'au bout", comme il le disait à l'époque.

Le CNN est composé de vingt professionnels du secteur de l'Internet, dont le médiatique directeur général de Free, Xavier Niel, mais aussi des représentants de SFR, Bouygues Telecom, Orange, Deezer et Dailymotion (donc en fait 3 représentants d'Orange, Deezer et Dailymotion appartenant à l'opérateur historique...). Il n'a pas de pouvoir direct, mais sera consulté sur les questions liées à Internet, et en particulier sur les épineux dossiers de la neutralité, du respect de la vie privée et du piratage. Il est toutefois déjà critiqué à cause de sa composition, qui fait la part belle aux industriels du secteurs, en ignorant toute représentation des utilisateurs...

Posté par Matt le 28/04/2011 à 14h52
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Source : Tom's Guide

Apple

Quelques jours après le début du "locationgate", Apple a publié sur son site une page expliquant ce que fait et ce que ne fait pas Apple avec les informations de localisation de l'utilisateur, et en particulier sur le contenu du fameux fichier "consolidated.db", accessible sur tout ordinateur synchronisé avec un iPhone.

iPhone Tracking

Tout d'abord, Apple indique qu'elle ne trace pas la localisation des iPhone et n'a aucune intention de le faire. Le fichier incriminé ne stockerait en fait pas la position de l'iPhone lui même, mais uniquement celle des antennes GSM et Wi-Fi à proximité de lui. Ces positions peuvent ensuite être utilisées par l'iPhone pour calculer sa position approximative plus rapidement que s'il fallait télécharger les informations à chaque fois. L'iPhone envoie également certaines informations à Apple, pour compléter la base de données des hot-spots Wi-Fi et pour préparer le lancement d'une application de navigation prenant en compte l'historique du trafic, mais ces données sont envoyées de façon anonyme et uniquement à Apple. Apple indique par ailleurs que le fait que l'iPhone continue à remplir ce fichier même lorsque le service de localisation est désactivé est un bug.

Enfin Apple promet une mise à jour du système iOS pour modifier la gestion de ce fichier :

  • réduction du nombre de positions conservées,
  • désactivation de la sauvegarde de ce fichier lors de synchronisation avec iTunes,
  • suppression du fichier lorsque le service de localisation est désactivé.

Dans la prochaine version majeur du système, le fichier stocké sur l'iPhone sera chiffré.

Posté par Matt le 28/04/2011 à 12h41
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Source : Le Journal du Mac

Free

Alors que beaucoup attendent la fibre, un abonné de Free a eu l'idée de créer une carte Google Maps permettant de suivre l'avancement du déploiement du réseau de Free, en recensant les Nœuds de Raccordement Optique de l'opérateur.

Basée sur des témoignages, et non pas sur des données officielles de Free, cette carte n'est pas d'une parfaite précision, mais permet tout de même de se faire une idée de l'avancée des travaux. Et malheureusement, ce n'est justement pas encore très avancé... En effet, pour l'instant, seuls 137 NRO ont été confirmés pour l'instant, à Paris, Lille, Rennes, Nantes, Valenciennes, Lyon, Nice, Marseille, Montpellier et Toulouse, et seuls une minorité d'entre eux accueillent déjà des abonnés (un à Valenciennes, un à Lyon, quatre à Montpellier, une petite quarantaine en région parisienne, rien dans les autres villes).

La carte recense également une quarantaine de NRO qui n'ont pas encore été confirmés, mais qui étendraient la couverture aux villes de Strasbourg, Besançon et Grenoble.

Il reste donc encore beaucoup de travail à Free pour déployer une réseau fibre optique digne de ce nom, d'autant plus que la présence d'un NRO n'est pas forcément synonyme d'une bonne couverture jusqu'aux abonnés. À titre de comparaison, le réseau ADSL de Free se compose de plus de 3400 NRA, et Free en ouvre en moyenne une soixantaine par mois...

Posté par Matt le 27/04/2011 à 12h21
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Source : Univers Freebox

Google

Il y a quelques semaines, Google avait annoncé avoir mis au point une nouvelle version de ses algorithmes de recherche, baptisée Panda, dont le but était d'améliorer la pertinence des résultats de recherche, en privilégiant les sites dotés d'un vrai contenu, plutôt que les fermes de contenus sans valeur ajoutée, qui polluent largement les résultats de recherche. Le premier bilan semble confirmer l'efficacité de ces nouveaux algorithmes !

Google Panda : chute de trafic

Différentes études publiées par des sociétés spécialisées dans le monitoring du trafic Internet montrent en effet d'importantes baisses de trafic sur certains sites, la plupart correspondant bien aux types de sites que Google ciblait avec sa mise à jour. Bon nombre de sites ont ainsi vu leur trafic dégringoler de plus de 80%, avec des cas extrêmes ou la chute dépasse les 99%.

Google Panda : hausse de trafic

À l'inverse, certains sites offrant une véritable valeur ajouté ont désormais les faveurs de Google, et voient donc leur trafic augmenter fortement. C'est le cas par exemple de TechCrunch, qui progresse de plus de 40%, ou encore de Mozilla qui gagne près de 20%. On notera au passage que YouTube et BlogSpot, deux plateformes d'hébergement appartenant à Google progressent, respectivement de 22.8% et 18.9%. C'est plus que leurs concurrents Vimeo, Wordpress et Dailymotion, qui profitent respectivement de 18.9%, 18.6% et 17.8% d'augmentation. Google pourrait également être critiqué sur le fait que les comparateurs de prix ont été fortement pénalisés avec Panda, ce qui pourrait favoriser Google Shopping...

Par ailleurs, des informations ont filtré sur les données prises en compte par ces nouveaux algorithmes pour détecter les fermes de contenu :

  • le nombre de publicités par page : plus il est grand, plus le site risque d'être blacklisté,
  • la présence de texte caché,
  • l'affichage d'un contenu différent aux robots Google par rapport à un visiteur classique.

Par ailleurs, une seule page suspecte suffit à blacklister le site entier, et, une fois un site blacklisté, il sera visité moins souvent par le robot Google, ce qui augmentera le temps nécessaire à la propagation des mises à jour.

Utilisé pour l'instant uniquement aux États-Unis et en Angleterre, Panda devrait arriver sur la version française de Google d'ici à quelques semaines.

Posté par Matt le 25/04/2011 à 13h00
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Source : PCInpact

Depuis quelques jours, une affaire fait beaucoup de bruit sur Internet : une petite application permet depuis n'importe quel ordinateur synchronisé avec un iPhone d'afficher une carte parfois très précise des déplacements de l'utilisateur de l'iPhone. Avec un historique portant parfois sur plusieurs années...

iPhone Tracking

L'existence de ce fichier dans l'iPhone avait déjà été découverte et révélée cet été, mais à l'époque, il ne semblait accessible que sur l'iPhone, et n'était pas lisible sans jailbreak. Le fait qu'il soit accessible depuis n'importe quel ordinateur synchronisé avec l'iPhone pose de gros problèmes en termes de respect de la vie privée : possibilité de tracer un conjoint, risque que le fichier soit accédé à distance par un pirate, etc...

De nombreuses voix se sont donc élevées contre l'existence de ce fichiers, avec à la clé plusieurs demandes d'explication à Apple, émanant de sources très officielles (la CNIL en France, des sénateurs aux État-Unis...). Pour l'instant, l'explication serait que ce fichier sert de cache pour le service de localisation, et permettrait d'accélérer la localisation par triangulation GSM. Mais il est impossible de désactiver la mise à jour de ce fichier, même si le service de localisation est désactivé ! Le contrat de licence d'iOS prévoit également que ces données peuvent être envoyées à Apple, de manière anonyme.

Mais l'affaire ne s'arrête pas là. En effet, vu ces indiscrétions de l'iPhone, certains ont eu l'idée de vérifier ce qu'il en est sous son principal concurrent : Android. Et il n'a pas fallu bien longtemps pour découvrir que l'OS de Google trace lui aussi l'utilisateur. Le fichier stocké par les smartphones Android est toutefois beaucoup moins complet : il se limite aux 50 dernières antennes relais auxquelles l'appareil s'est connecté, ainsi que les SSDI des 200 derniers réseaux Wi-Fi qui ont été à porté de l'appareil. Il est également un peu moins problématique en termes de vie privée, car il n'est pas accessible sans rooter le téléphone et utiliser le mode debug, et n'est pas transféré sur l'ordinateur. On peut toutefois craindre que des applications malveillantes parviennent un jour à l'exploiter.

Si vous avez des déplacements à cacher, méfiez vous de votre smartphone !

Posté par Matt le 25/04/2011 à 09h01
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Electronic Frontier Foundation

Alors que chaque jour apparaissent de nouvelles menaces sur la sécurité des services en ligne ou le respect de la vie privée, l'Electronic Frontier Foundation, qui œuvre à la défenses des droits des internautes, se lance dans une campagne de sensibilisation du public à l'usage du protocole HTTPS.

En effet, si bon nombre de sites renommés supportent le HTTPS, peu l'activent par défaut, et le chiffrement n'est donc appliqué qu'aux utilisateurs l'ayant spécifiquement demandé en saisissant l'URL du site. Or, pour l'EFF, le protocole HTTPS est le strict minimum requis pour garantir un minimum de sécurité lors de l'échanges de données avec un site Internet.

Via sa campagne de sensibilisation, l'EFF recommande ainsi aux utilisateurs d'Internet d'utiliser les navigateur Firefox couplé à l'extension HTTPS Everywhere, développée par l'EFF et des membres du projet Tor (un réseau d'anonymisation). Cette extension permet de passer automatiquement en HTTPS sur un grand nombre de site supportant ce protocole mais fonctionnant par défaut en mode non chiffré.

L'EFF a également publié plusieurs documents à destination des administrateurs, pour les inciter à opter pour le HTTPS et les aider à le mettre en œuvre. Enfin, un wiki permettra aux internautes de constituer une base de données des options de sécurité proposées par divers sites. On y repère ainsi quelques bons élèves, comme PayPal, qui impose le HTTPS et respecte la plupart des bonnes pratiques, mais aussi des mauvais élèves, comme le moteur de recherche Ask.com, qui n'offre aucune fonction de sécurité.

Posté par Matt le 22/04/2011 à 14h30
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Source : Clubic

Free

En déportant le disque dur de la Freebox Révolution dans le boîtier ADSL, Free espérait pouvoir échapper à la taxe copie privée. Mais les critères d'exemption ont été modifiés pour que la Freebox Révolution ne soit plus exemptée... Free a alors argumenté, sans convaincre, sur le fait que la Freebox est simplement prêtée et non pas vendue à l'abonné...

Toujours pas officiellement exempté, Free opte finalement pour une autre stratégie : accepter le principe de la taxe, mais pas son montant. Le compte rendu d'une récente réunion de la commission copie privée indique en effet que Free n'est pas opposé à cette taxe, mais que le montant réclamé pour les 250 Go de la Freebox Révolution (35€) et trop élevé par rapport au prix de vente du service.

Free sera donc invité à venir négocier avec les membres de la commission le 28 avril prochain. Si tout va bien pour Free, cette réunion donnera lieu à un nouveau barème réclamant une somme moins élevée pour ce type d'appareil. Au sein de la commission, Free devrait normalement bénéficier de l'appui du SECIMAVI, qui représente les constructeurs. En effet, celui ci a déjà évoqué dans une réunion le fait qu'un disque dur de grande capacité coûte aujourd'hui moins cher à produire qu'un petit modèle, ce qui pousse les constructeurs à intégrer des disques de plus en plus gros. Et une taxe proportionnelle à la capacité annule donc toutes les économies ainsi réalisées...

Posté par Matt le 22/04/2011 à 10h10
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Source : PCInpact

Apple

Après Intel, Apple a publié hier soir ses résultats de son second trimestre fiscal 2011 (correspondant à quelques jours près au 1er trimestre civile). Et comme chez Intel, les records sont au rendez-vous...

Ainsi, si le chiffre d'affaire est, logiquement, en légère baisse par rapport au trimestre précédent, à 24.67 milliards de dollars contre 26.74, il est en hausse de 83% par rapport à l'année dernière (13.5 milliards). La marge brute reste stable à 41.4% (contre 41.7% il y a un an), mais la marge nette progresse, ce qui permet quasiment de doubler le bénéfice net : il passe de 3.07 milliards à 5.99 milliards sur un an (+95%). Mieux, malgré la baisse de CA par rapport au trimestre précédent, le bénéfice net est quasiment le même, ne diminuant que de 10 millions de dollars.

Côté produits, les ventes sont en hausse sur tous les produits phares de la pomme. Les Mac progressent de 28% sur un an, pour atteindre 3.76 millions d'unités (dans le détail, les Mac de bureau baissent de 1.15 à 1.01 millions, tandis que les portables passent de 1.8 à 2.75 millions). Avec 18.65 millions d'unités, les iPhone ont plus que doublés leurs ventes (+113%), tandis que l'iPad atteint 4.69 millions d'exemplaires sur le trimestre. Seul produit en baisse, à cause de la concurrence de l'iPhone, l'iPod s'est encore écoulé à 9.02 millions d'exemplaires (-17%).

Si ces résultats montrent encore une fois qu'Apple gagne beaucoup d'argent avec ses produits, et pourrait donc les rendre beaucoup plus accessibles, ils devraient faire plaisir aux actionnaires de la pomme. En hausse de 1.35% à la cloture du NASDAQ, quelques minutes avant l'annonce, l'action Apple a pris plus de 4% sur l'after-market après l'annonce...

Pour l'anecdote, le chiffre d'affaire de ce trimestre est légèrement supérieur à celui de l'année 2007 entière (24.58 milliards), la dernière année "pré-iPhone". Le bénéfice est par contre supérieur de 36%...

Posté par Matt le 21/04/2011 à 13h01
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Source : MacGénération