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La Poste

Lundi prochain, La Poste va diversifier son activité, en devenant opérateur mobile virtuel. Dès aujourd'hui, les employés de La Poste peuvent souscrire aux futures offres, ce qui donne un premier aperçu de ce à quoi on peut s'attendre pour le 23 mai.

La Poste Mobile

Comme chez la plupart des opérateurs et MVNO, la gamme sera divisée en quatre groupes d'offres :

  • des forfaits bloqués offrant 45min à 1h30 de voix, 60 SMS (illimités dès le forfait 1h) et 200 Mo de data sur les deux forfaits les plus haut de gamme,
  • des forfaits classiques, de 30min à 4h sans SMS ni data (les forfaits 2h et 4h disposeront au début des SMS illimités, mais il s'agit d'une offre de lancement). Des options permettront d'ajouter des SMS illimités et de la data illimités (fair use de 500 Mo),
  • des forfaits tout compris avec 2 à 10h de voix, SMS illimités, data illimitée (fair use 500 Mo),
  • des cartes prépayées de 5 à 75€.

Les forfaits bénéficient tous du report des minutes, et celui-ci a le bon goût de ne pas être limité dans le temps, les minutes non consommées pouvant être reportés plusieurs mois de suite, dans la limite de la durée mensuelle du forfait et les forfaits peuvent être pris avec subventionnement d'un mobile et engagement de 12 ou 24 mois ou sans subvention et sans engagement. Les tarifs de l'offre postier sont plutôt agressifs, avec un premier prix à 8€ pour le forfait 30min sans mobile à 39€20 pour le forfait 10h/SMS/data avec mobile subventionné. Attention toutefois, il s'agit sans doute de tarifs réduits pour les employés, donc on peut s'attendre à des offres un peu plus chères pour le grand public.

La Poste Mobile s'appuiera sur le réseau de SFR et pourrait bien venir perturber sensiblement le marché mobile, en profitant de sa notoriété et de ses nombreux points de vente pour attirer les clients plus efficacement que les autres MVNO.

Posté par Matt le 16/05/2011 à 12h18
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Source : Freenews

Google Chrome

Alors que Chrome OS va très bientôt arriver sur le marché, on en apprend un peu plus sur le modèle économique choisi par Google. Ainsi, en plus des netbooks sous Chrome OS ("Chromebooks"), prévu depuis fort longtemps, la Google I/O a été l'occasion de dévoiler aussi des nettops sous ce nouvel OS ("Chromebox").

Chromebox

Comme pour les Chromebooks, Samsung serait sur les rang pour lancer ce type d'appareil, le Coréen étant à l'origine du boîtier présenté à la Google I/O. Google n'a toutefois dévoilé aucun détail supplémentaire sur l'appareil. Il y a toutefois fort à parier que la configuration soit très similaire à celle des Chromebooks, l'écran et la batterie en moins...

Par ailleurs, Google a indiqué qu'il ne distribuerait pas Chrome OS. Cela signifie donc qu'il sera impossible pour le grand public de se procurer une image du système à installer sur sa propre machine, il faudra obligatoirement passer par une des machines distribuées officiellement avec Chrome OS. Il restera par contre possible d'obtenir une image de Chromium OS, la base open-source du système, mais il manquera alors probablement quelques fonctionnalités.

Posté par Matt le 16/05/2011 à 11h11
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Sources : Le Journal du Geek

Numéricable

Depuis quelques jours, le buzz de "La Révolution Mobile" montait progressivement, annonçant d'abord un forfait mobile tout illimité à moins de 50€, puis à moins de 35€... Rapidement, les soupçons sur l'origine de cette "révolution" s'étaient tourné vers Numericable, même si la communication aurait pu faire penser à Free (dont les avocats ont d'ailleurs réagit rapidement...). Mais l'annonce officielle est finalement assez loin des promesses...

En effet, si Numericable a bel et bien lancé un forfait tout "illimité" (appels, data et SMS "illimités", mais avec les limitations classiques en nombre de correspondants, durée d'appel, débit...) à seulement 25€ par mois, ce tarif nécessite d'être aussi abonné chez Numericable pour l'accès Internet fixe et de s'engager sur 24 mois (aussi bien pour le mobile que pour l'accès Internet), et ce tarif n'inclus pas de subvention sur l'achat d'un mobile.

Avec un engagement sur 12 mois, le tarif passe à 30€ par mois, tandis que l'abonnement mobile seul sera facturé 50€ par mois avec un engagement de 24 mois s'il n'est pas couplé à un abonnement Internet fixe. Dans ce cas, il faudra de plus s'acquitter de frais d'ouverture de ligne d'un montant de 50€ (soit l'équivalent de 2€ mensuels en plus sur un engagement de 24 mois...) Un tarif assez proche de ceux d'autres MVNO. Côté réseau, c'est sans surprise celui de Bouygues Telecom qui sera mis à disposition, les deux opérateurs étant déjà liés, puisque Bouygues exploite le réseau Numericable pour son offre d'accès Internet fixe.

Posté par Matt le 12/05/2011 à 14h40
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Source : Tom's Guide

Facebook

Ces dernières semaines, on a beaucoup entendu parler du vol de données personnelles et bancaires suite au piratage du PlayStation Network. C'est désormais au tour de Facebook de faire les frais d'une faille de sécurité...

En effet, selon Symantec, une faille de sécurité permettrait à n'importe quelle application Facebook de récupérer toutes les données privées de tous les utilisateurs qui ont installé une des 100 000 applications touchées par la faille de sécurité. Pire, la faille permet même de prendre le contrôle sur le mur de l'utilisateur, en y postant des messages en son nom.

Si Facebook a bien reconnu et corrigé le problème, le réseau social tente toutefois d'en minimiser l'impact, en indiquant qu'il n'y a aucune preuve que des données ont été exploitées ainsi (en l'absence de preuve, Sony avait préféré indiquer qu'il y avait un risque que des données aient été volées...), et que les développeurs d'applications et annonceurs sur le réseau Facebook sont tenus par contrat à ne pas obtenir et exploiter des données personnelles obtenues par un moyen ne respectant pas les règles d'utilisation de Facebook... Une bien maigre protection donc...

Bien que la faille soit corrigée, Symantec recommande tout de même aux utilisateurs de changer leur mot de passe, afin d'invalider les clés d'accès aux données personnelles que certaines applications auraient pu obtenir de façon illégitime.

Posté par Matt le 12/05/2011 à 11h00
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Source : 01Net

Avec la multiplication des radars automatiques d'un côté et l'explosion du nombre de GPS et de smartphones de l'autre, est apparu un marché très lucratif : celui des avertisseurs de radar basés sur la localisation GPS. En effet, si les détecteurs de radars ont toujours été interdits, ce n'est pas le cas de ces avertisseurs, basés sur la connaissance de la position des radars, et non pas sur leur détection dynamique. Ou plutôt, ce n'était pas le cas...

En effet, alors que les premiers chiffres de la délinquance routière pour 2011 ne sont pas satisfaisants, le gouvernement a adopté hier de nouvelles mesures visant à réduire ces chiffres. Outre le retrait de 8 points pour un taux d'alcoolémie supérieur à 0.8 g/ℓ, le gouvernement a décidé de mettre un terme aux avertisseurs de radars.

Avertisseur de radar Mini-Coyote

Désormais, tous les dispositifs visant à prévenir de la présence d'un radar seront interdits, quelque soit la technique de "détection" utilisée, et quelque soit l'appareil sur lequel ils fonctionnent. Si les spécialistes du GPS, comme TomTom ou Navigon ne devraient pas être trop affectés par cette mesure, puisqu'ils auront juste à désactiver cette fonction dans leurs produits, les sociétés spécialisés dans les avertisseurs risquent par contre de très mal accueillir la nouvelle, qui signifie la fin de leur activité en France. Plusieurs d'entre elles ont d'ailleurs annoncé une conférence de presse commune. La carte des radars fixe, qui était visible sur le site du Ministère de l'Intérieur a par ailleurs été supprimée, et les panneaux signalant les radars automatiques devraient connaitre le même sort.

Avertisseur de radar Wikango sur iPhone

Reste à voir en pratique comment la présence de tels avertisseurs sera vérifiée. En effet, s'il est facile lors d'un contrôle de vérifier que le véhicule ne contient pas un boîtier avertisseur dédié, il sera bien plus compliqué de vérifier les GPS, et, encore plus, les smartphones... Et avant leur disparition, on constate d'ailleurs une forte hausse des ventes des applications d'avertissement radar sur l'App Store...

Puisqu'on parle de smartphone, notez aussi que l'usage du téléphone au volant sera désormais puni bien plus sévèrement : de 22€ d'amende et 1 point retiré, on passe à 135€ et 3 points. Il faut dire que selon les statistiques, l'usage du téléphone portable au volant serait responsable d'un accident sur dix sur les routes française. Ceci concerne toutefois uniquement l'utilisation du téléphone à la main. Les sanctions pour l'utilisation d'un téléphone avec kit mains-libres, un temps évoqué, n'ont finalement pas été retenues.

Posté par Matt le 12/05/2011 à 09h06
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Cnil

Suite à l'affaire des données de localisation stockées par les appareils iOS et Android, la Cnil a cru bon de rappeler quelles sont les règles concernant en vigueur en France concernant ce genre de données. L'occasion aussi pour le consommateur de connaitre ses droits. Un rappel qui concerne à la fois les base de données de hot-spots Wi-Fi et les données de localisation des appareils mobiles.

Concernant les hot-spots Wi-Fi :

  • la Cnil considère qu'un SSID peut être considéré comme une donnée à caractère personnel, et les bases de données de SSID doivent donc être déclarées à la Cnil si elle a été constituée à partir de données collectées automatiquement par des appareils mobiles ou des véhicules,
  • il n'est pas nécessaire d'informer les propriétaires des hot-spots,
  • les propriétaires de hot-spots doivent pouvoir s'opposer à la collecte des informations sur leur hot-spot,
  • les données de localisation associées à un hot-spot ne devraient pas être conservées plus de cinq ans.

Concernant les localisation des appareils mobiles :

  • les éventuels identifiants uniques associés à un appareil lors de requêtes à une base cartographique doivent être aléatoires et conservés au maximum 24 heures. Si une raison valable nécessite de les conserver plus longtemps, l'utilisateur doit donné son accord. L'identifiant ne doit pas être associé à un identifiant de l'utilisateur ou de l'appareil,
  • les utilisateurs doivent être clairement informés de tous les traitements effectués sur les données collectées et sur leurs droits relatifs à ces données,
  • les utilisateurs doivent pouvoir effacer les données les concernant, quelque soit leur lieu de stockage.
Posté par Matt le 11/05/2011 à 10h30
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Source : Universfreebox

Parmi les nombreuses sources d'énergie alternative qui se développent, en voici une fort originale : l'utilisation du bruit pour produire de l'électricité. C'est ce que promettent certains chercheur, en mettant à profit les nanotechnologies.

Pour arriver à ce résultat, les chercheurs ont mis au point un dispositif consistant en une fine lamelle de zinc placée entre deux électrodes. Lorsqu'un son atteint la lamelle, les efforts mécaniques induisent un courant électrique. Mieux, le son est en partie absorbée (principe de base de la physique, si de l'énergie sonore est convertie en électricité, l'énergie sonore restante diminue forcément), ce qui permet d'envisager par exemple la construction de murs anti-bruit producteur d'électricité à installer le long des autoroutes.

Mais avant d'envisager une industrialisation du procédé, il faudra d'abord parvenir à améliorer son rendement, pour qu'il soit rentable. En effet, les appareils actuels ne produisent qu'une tension de 50 millivolts à partir d'un son de 100 dB. Les chercheurs espèrent toutefois améliorer ce rendement en utilisant d'autres matériaux.

Posté par Matt le 10/05/2011 à 12h49
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Source : Clubic

Alors que trois des quatre opérateurs 3G ont émis des critiques sur la procédure d'attribution des futures licences 4G, craignant qu'Orange parvienne à s'attribuer le gros des fréquences, le ministère de l'Industrie et de l'Économie Numérique n'a quasiment pas revue sa copie.

Eric Besson a en effet annoncé hier que le processus allait bien démarrer très prochainement, avec un appel à candidature prévu pour la fin du mois. Les licences devraient être attribuées en fin d'année, et les premiers réseaux LTE pourraient ouvrir dès la fin de l'année prochaine.

Concernant les modalités d'attribution, le ministère est resté sur le principe d'une vente aux enchères, principe qui est à l'origine des critiques des opérateurs. Toutefois, afin d'éviter qu'un opérateur n'obtienne toutes les fréquences, chaque opérateur n'aura droit qu'à un maximum de 15 MHz sur les 30 MHz mis en vente. Avec un tel plafond, il se pourrait que seul deux opérateurs n'obtiennent des fréquences 4G, même si le ministère souhaiterait en voir 4. Les analystes s'accordent à penser qu'Orange et SFR pourraient obtenir 10 MHz chacun, tandis que Free et Bouygues obtiendraient 5 MHz.

Dans un tel cas, les deux derniers pourraient être handicapés, en ne pouvant pas fournir un réseau aussi dense et performant que les deux premiers. Mais tout ne sera pas fixé via cette procédure d'attribution. En effet, elle ne concerne que l'attribution de fréquences actuellement disponibles dans les bandes 800 MHz et 2.6 GHz. Plus tard, des fréquences issues des bandes 900 MHz et 1800 MHz, actuellement utilisées pour la 2G, pourront être réaffectées à la 4G. De quoi permettre d'élargir la bande passante des opérateurs qui ne seront pas sortis vainqueurs de la procédure d'attribution.

Posté par Matt le 05/05/2011 à 08h41
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Source : Génération NT

PlayStation

Depuis quelques jours, le PlayStation Network souffrait de très gros dysfonctionnements, le rendant le plus souvent totalement inutilisable. Sony a indiqué aujourd'hui par le biais du blog de la PlayStation que ces indisponibilités étaient la conséquence d'une attaque de hacker... Mais ce n'est pas tout...

En effet, selon le nippon, cette attaque, qui concerne le PlayStation Network, mais aussi le service de musique Qriocity, aurait permis aux pirates d'accéder à des informations non chiffrées liées aux comptes des utilisateurs. Parmi elles, de nombreuses informations personnelles, comme le nom, le prénom, l'adresse postale, l'adresse e-mail, la date de naissance, les historiques d'achats... Pire, pour ceux qui l'ont communiqué à Sony, le numéro de carte bancaire et sa date de validité font également partie des données potentiellement volées... Le code de sécurité est heureusement à l'abri, mais toutes les données extraites permettraient de mettre aisément au point une attaque de phising pour récupérer ces quelques chiffres manquants...

Sony conseille donc à ses utilisateurs de changer leurs mots de passe sur leurs comptes PlayStation Network et Qriocity, mais aussi sur tous les services tiers sur lesquels ils utiliseraient les mêmes identifiants. Le constructeur rappelle également qu'il ne faudra pas donner suite à tout e-mail prétendument envoyé par Sony et qui demanderait des informations personnelles.

Ceci est également l'occasion de rappeler qu'il faut se méfier de tous les services en lignes qui offrent la possibilité de stocker un numéro de carte bancaire (les services de Sony donc, mais aussi iTunes, Amazon, ou encore PayPal). En effet, alors que les mots de passe peuvent être stockés dans les bases de données sous forme de signatures ne permettant pas de retrouver le mot de passe, les informations bancaires sont forcément stockées avec un chiffrement réversible (voir en clair...), pour pouvoir être utilisées. Elles sont donc souvent très exposées en cas de piratage...

Mise à jour le 03/05/2011 : Les choses ne s'améliorent pas pour Sony... Alors que le nippon n'a toujours pas réussi à relancer son PlayStation Network et offre un dédommagement ridicule (un mois d'abonnement, soit environ 5€) aux utilisateurs, c'est au tour du service Sony Online Entertainement d'être la victime des hackers. Ce service, qui héberge les MMO pour PC de Sony, contient des données personnelles sur près de 25 millions d'utilisateurs, et selon Sony, ces données pourraient avoir été volées. Une ancienne base de données datant de 2007 et contenant près de 25 000 numéros de cartes de crédit a également été volée (heureusement, dans une base aussi ancienne, on peut espérer que la plupart des numéros de carte ont expiré depuis).

Actu originale le 28/04/2011 à 08h41.

Posté par Matt le 03/05/2011 à 23h42
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Source : PCInpact

La taxe copie privée continue de faire parler d'elle... Alors que Free est toujours en négociation sur la réduction du montant de la taxe à laquelle serait soumise la Freebox Révolution, la Sorecop et Copie France sont accusées d'avoir indûment taxé certains modèles de GPS, qui étaient normalement exemptés de taxe.

En effet, la circulaire adressée par les deux organismes aux commerçants aurait utilisée une formation quelque peu "simplifiée" du texte officiel définissant la taxe s'appliquant aux GPS. Une formulation qui a induit les commerçants en erreur. En effet, alors que la décision de la Commission Copie Privée ne prévoit que la taxation des "mémoires et disques durs dédiés à l’enregistrement et à la lecture d’œuvres fixées sur des phonogrammes intégrés à des systèmes de navigation et/ou à des autoradios destinés à des véhicules automobiles" (Journal Officiel du 28 janvier 2011), la circulaire adressée au commerçants indique que la taxe s'applique aux "memoires et disques durs intégrés à un système de navigation (GPS) et/ou autoradio".

Ainsi, alors que seule une minorité des GPS et auto-radio (ceux permettant de lire ET d'enregistrer et destinés à un usage automobile), les commerçants ont appliqué la taxe à tous les GPS, dotés ou non des deux fonctions causant assujettissement à la taxe, et y compris les modèles de GPS destinés à la randonnée. C'est le cas notamment du site RueDuCommerce, qui s'est rendu compte après coup de l'erreur et a donc réclamé le remboursement des sommes versées.

Un remboursement accepté par Sorecop et Copie France, qui reconnaissent leur erreur et promettent une modification des documents incriminés. Reste à voir si les remboursement seront systématiques, ou si chaque commerçant devra aller réclamer son dû, mais aussi si les commerçants rembourseront ensuite les consommateurs, qui ont indirectement payé cette taxe.

Mise à jour le 03/05/2011 : RueDuCommerce a annoncé aujourd'hui que les clients concernés allaient être remboursés de la taxe indûment payée. Environ 150 acheteurs de GPS devraient donc bénéficier d'un remboursement d'un peu moins de 10 euros. Ce remboursement sera effectué automatiquement, sans que les acheteurs aient à le réclamer.

Actu originale : 02/05/2011 à 8h14

Posté par Matt le 03/05/2011 à 20h09
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Source : 01Net