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Free Mobile

Ça y est, Free a enfin lancé les invitations pour la conférence de presse durant laquelle l'opérateur va présenter ses offres mobiles. Il ne restait plus que trois dates possibles, et c'est finalement la première qui est la bonne : la conférence de presse aura lieu demain matin à 8h30.

Invitation Free Mobile

La présentation aura lieu dans le nouveau siège de Free, à Paris et sera retransmise en direct sur live.free.fr et sur Aktu TV, la chaîne Freebox dédiée à l'actualité de Free (canal 198). Clairement, Free a vu les choses en grand pour ce lancement, et il ne reste donc plus qu'à espérer que les offres seront à la hauteur des attentes et du buzz orchestré par l'opérateur.

Les plus pressés de quitter leur opérateur actuel pourront s'inscrire sur mobile.free.fr pour s'abonner dès 9h30... à condition bien sûr d'avoir été satisfait par les annonces faites une heure plus tôt.

Si vous envisagez de souscrire dès demain en migrant votre numéro de mobile actuel, nous vous recommandons d'appeler (c'est gratuit) le 3179 dès maintenant, pour obtenir votre numéro RIO. Il se pourrait en effet que les serveurs des opérateurs soient saturés demain matin...

Posté par Matt le 09/01/2012 à 21h20
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Source : PCInpact

Numéricable

Après "la révolution du mobile" en mai dernier, Numéricable a promis en décembre d'annoncer le 10 janvier "la révolution du numérique". Selon les dernières fuites, elle prendrait la forme d'une nouvelle box, couplée à un forfait proposant jusqu'à 200 Mbit/s en téléchargement.

La révolution du numérique

L'opérateur devrait en effet lancer un nouveau boîtier multimédia, baptisé One Power Box, qui remettra l'offre de Numéricable à niveau par rapport à l'offre Révolution de Free. Le One Power Box intégrera un disque dur de 160 Go, couplé en option à un second disque de 500 Go, extractible. Elle proposera pas moins de 4 tuners (!!!) et permettra de surveiller une chaîne tout en en regardant une autre, grâce à une fonction Picture in Picture. Elle intégrera aussi des applications, comme Dailymotion, Facebook ou Twitter, et sera livrée avec une télécommande dont le dos comporte un clavier azerty. Un lecteur Blu-ray extractible sera également de la partie, mais en option.

Numéricable One Power Box

Côté réseau, on retrouve bien sûr le Wi-Fi N pour diffuser l'accès Internet dans tout le logement, mais aussi et surtout un nouveau modem à la norme DOCSIS 3.0, qui va permettre à Numéricable de proposer des débits encore plus élevés. Alors que l'offre de l'opérateur est actuellement à 100 Mbit/s en réception et 5 Mbit/s en envoi, le passage à DOCSIS 3.0 permet en théorie d'atteindre 400 Mbit/s en réception et 108 Mbit/s en envoi. Numéricable se contentera toutefois dans un premier temps d'une offre à 200 Mbit/s en réception et 50 Mbit/s en envoi, ce qui est suffisant pour en faire officiellement l'accès Internet le plus rapide du marché français (officieusement, l'offre Révolution de Free dépasse parfois les 700 Mbit/s en réception).

Posté par Matt le 09/01/2012 à 08h16
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Source : PCInpact

Google

Sans doute pour mieux se défendre dans la guerre des brevets qui fait rage en ce moment dans le monde de la téléphonie mobile, Google vient de nouveau de faire l'acquisition d'environ 217 brevets auprès d'IBM, pour un montant tenu secret.

La transaction concerne 188 brevets déjà validés et 29 brevets en cours de validation. Selon le communiqué de Google, ils sont tous en lien avec ses activités dans la téléphonie mobile. Plus précisément, il s'agirait de brevets ayant trait à la voix sur IP, à la localisation, ou encore au ciblage publicitaire. Des brevets qui pourront être utilisés pour défendre Android, soit de manière directe dans les plaintes contre Google, soit de manière indirecte en les cédant aux partenaires de Google impliqués dans des batailles judiciaires, comme l'a déjà fait Google l'année dernière avec HTC.

Google, qui contrairement à ses concurrents dans la téléphonie mobile, n'avait pas l'habitude de breveter la moindre petite idée, souffrait d'un portefeuille de brevets plutôt réduit, lui offrant peu de possibilité de pression dans les batailles judiciaires. Mais sa politique de rachat commence à lui apporter un nombre significatif de brevets. Ces 200 brevets rachetés à IBM s'ajoutent en effet à plus de 2 000 brevets déjà achetés au même IBM l'année dernière, tandis que le rachat de Motorola Mobility, s'il est validé, devrait ajouter à la liste 17 000 brevets supplémentaires et 7 500 demandes en cours.

Posté par Matt le 06/01/2012 à 10h30
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Source : Numerama

Google Chrome

L'algorithme PageRank de Google, qui sert à classer les résultats de recherche en fonction de leur popularité (nombre de liens pointant vers eux), dispose d'un mécanisme permettant de limiter l'impact du spam : si le nombre de liens vers une page augmente subitement sans que ces liens contiennent un attribut bien particulier ("nofollow", qui indique aux robots de ne pas suivre le lien), le PageRank de cette page est dégradé au lieu d'augmenter... Une défense qui vient de pénaliser le navigateur de Google !

En effet, le moteur de recherche a récemment lancé une campagne publicitaire pour promouvoir son navigateur. Dans ce cadre, 400 blogs ont publié un article publi-rédactionnel faisant la promotion de Chrome, et contenant un lien vers sa page de téléchargement (http://www.google.com/chrome). Mais les responsables de cette campagne ont oublié de préciser aux blogueurs de placer l'attribut "nofollow" sur ces liens...

Du coup, Google se retrouve victime de sa propre campagne publicitaire : l'algorithme de calcul du PageRank l'a considéré comme du spam, et à donc automatiquement diminué le PageRank de la page concernée. Ballot...

Outre son côté cocasse, cette anecdote apporte tout de même une information intéressante d'un point de vue neutralité : les pages du domaines google.com seraient donc traitées par les algorithmes de Google de la même façon que n'importe quelle autre page... Reste à voir si Google ne va pas faire une petite exception dans le cas présent : la dégradation du PageRank est normalement appliquée pour une durée de 60 jours à partir de la détection d'une campagne de spam. Google va-t-il attendre ces 60 jours, ou modifier manuellement le PageRank de la page de téléchargement de Chrome pour la faire remonter à nouveau dans les résultats ?

Posté par Matt le 05/01/2012 à 08h09
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Source : Clubic

Si la Française des Jeux a perdu son monopôle sur les jeux d'argent en ligne, ce secteur n'est toutefois pas totalement déréglementée, seuls les sites labellisés par l'ARJEL étant autorisés à exercer en France. Le gouvernement vient de publier la méthode de blocage qui sera utilisée pour empêcher l'accès aux sites contrevenant.

L'État s'étant engagé à payer aux fournisseurs les frais liés à la mise en place de ces blocages, il a choisi pour la technique de blocage la plus simple, mais aussi la moins efficace : une simple liste noire de domaines au niveau des serveurs DNS des FAI, qui ne devront plus répondre aux requêtes concernant ces domaines...

Cette méthode a effectivement l'avantage d'être très peu coûteuse, puisqu'il suffit de modifier quelques fichiers de configuration au niveau des serveurs DNS, mais est aussi extrêmement facile à contourner, puisqu'il suffit à un utilisateur d'utiliser des serveurs DNS étrangers ou de spécifier manuellement ces domaines dans son fichier hosts pour continuer d'accéder aux sites "bloqués".

Ces mesures de blocage pourront donc être efficaces pour éviter qu'un néophyte tombe accidentellement sur un site frauduleux, mais n'empêcheront pas les joueurs invétérés de continuer à utiliser des sites non autorisés.

Il s'agit toutefois d'une bonne nouvelles pour la neutralité : si les fournisseurs d'accès avaient dû mettre en place pour ces blocages des infrastructures lourdes à base de DPI, il aurait été plus facile dans le futur de faire passer d'autres types de filtrage s'appuyant sur ces mêmes infrastructures...

Posté par Matt le 03/01/2012 à 11h50
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Apple

Dans les batailles de brevets qui les opposent à différents constructeurs d'appareils sous Android, Apple et Microsoft ont opté pour deux stratégies très différentes. Si Microsoft reste relativement pacifique, en proposant des licences, Apple préfère pour sa part la guerre totale, devant les tribunaux. Une stratégie qui n'est pas forcément la meilleure...

En effet, selon Kevin Rivette, spécialiste en propriété intellectuelle, Apple aurait plutôt intérêt à s'inspirer de la stratégie de Microsoft. Il estime en effet qu'Apple pourrait de cette manière toucher jusqu'à 10 dollars par appareil vendu. De quoi rendre les appareils Android un peu moins compétitifs, tout en rapportant plusieurs milliards de dollars par an à Apple.

Cette stratégie serait également moins risquée que la stratégie judiciaire, qui peut mener à des annulations de brevets, voir même à des pénalités pour Apple en cas de défaite et de condamnation pour procédure abusive. Sans parler de l'impact de ces procédures sur l'image d'Apple, qui passe de plus en plus pour un "patent troll" particulièrement agressif...

Posté par Matt le 02/01/2012 à 11h10
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Source : Smartphone France

OVH

Après des mois de beta test, OVH vient de lancer officiellement HubiC (Hub in the Cloud) son offre de stockage en ligne. Face à des concurrents déjà bien installés sur le marché, comme Dropbox ou Box.net, OVH compte se distinguer par le tarif de son offre, particulièrement agressif.

L'hébergeur français propose en effet trois paliers tarifaires, tous bien plus avantageux que ceux proposés par exemple par Dropbox :

  • un espace de 25 Go gratuit,
  • un espace de 100 Go pour 10€ HT/an,
  • un espace illimité pour 70€ HT/an.

À titre de comparaison, l'offre gratuite de Dropbox ne propose que 2 Go et les 100 Go sont facturés 20$/mois, tandis que Box.net propose 5 Go gratuitement, mais facture 50 Go 20$/mois. Même Google est aujourd'hui plus cher, avec une offre à 20$/an pour 80 Go.

Basée sur le protocole WebDAV, l'offre d'OVH est toutefois techniquement moins avancée que celle de ses concurrents. Le client HubiC sur PC ne permet par exemple pas de cloner localement le stockage en ligne, ce qui limite les performances lors de l'accès aux fichiers. Les clients mobiles, proposés pour l'instant pour Android et iOS sont également plus restreints, puisqu'ils ne permettent que la consultation et la suppression de fichiers, mais pas leur envoi.

Le service d'OVH interdit par ailleurs le partage public des données stockées, mais permettra par contre un partage privé, avec un cercle restreint de contacts, avec la possibilité de laisser un accès en lecture seule ou d'autoriser également l'écriture. Plus tard, OVH promet d'enrichir le service, en apportant des fonctionnalités de synchronisation de documents et même de lecture de médias en streaming. De quoi devenir un sérieux concurrent à Dropbox, voir Google Music ?

Posté par Matt le 29/12/2011 à 16h00
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Source : PCInpact

République Française

Rares sont aujourd'hui les offres d'accès Internet "illimitées" qui ne comportent pas un certain nombres de clauses limitatives, restreignant le volume de données transmissible, les débits, les protocoles autorisés, voir tout à la fois. Une situation qui pourrait changer à l'avenir si les députés se rangent à l'avis des sénateurs...

Un projet de loi est en effet actuellement en cours d'élaboration, avec notamment des articles visant à encadrer l'usage du terme "illimité" pour les offres de télécommunications, et en particulier les accès Internet. Après avoir été largement édulcoré par les députés de l'Assemblé Nationale (majorité de droite) en première lecture en septembre dernier, le texte voté hier par le Sénat (majorité de gauche). Ainsi, alors que les députés validaient le principe d'une offre "illimitée" limitée, tant que les clauses limitatives sont précises et mentionnées à côté du terme "illimité", les sénateurs demandent l'interdiction de l'emploi du terme illimité dès lors que l'offre comporte des clauses prévoyant "une coupure temporaire, une facturation supplémentaire des services ou une dégradation excessive de débits ou de la qualité de service". Le principe du "fair use", largement répandu dans les offres Internet "illimitées" mobiles devient ainsi proscrit : il faudra cesser de qualifier ces offres d'"illimitées", ou ne plus appliquer la restriction de débit après un certain volume.

Les sénateurs autorisent toutefois la conservation de certaines clauses limitatives, lorsqu'elles ont pour but de protéger les opérateurs de certains abus, comme par exemple le partage (ou la revente) de l'abonnement avec d'autres personnes. Ainsi, des clauses limitant le nombre de correspondants par mois dans le cadre d'une offre de téléphonie illimitée restent admises. Enfin, la notion d'"Internet illimité" ne pourra plus être mise en avant lorsque certains protocoles ou ports sont bloqués par l'opérateur. Un premier pas en avant vers la neutralité.

Le texte voté par les sénateurs étant différent de celui voté en septembre par les députés, ce nouveau texte devra toutefois passer en seconde lecture devant l'Assemblée Nationale avant de pouvoir éventuellement être inscrit dans la loi française, et il n'est pas impossible que les députés modifient à nouveau ces amendements...

Posté par Matt le 28/12/2011 à 11h19
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Source : Freenews

Lors de la mise en vente des lots de fréquences dans la bande de 800 MHz pour l'exploitation de réseaux mobiles 4G LTE, les opérateurs étaient conscients d'un fort risque d'interférence avec les émission TNT, et s'étaient engagés à investir les sommes nécessaires à assurer le bon fonctionnement de toutes les transmissions. Vu les résultats des premières expérimentations, ils pourraient toutefois avoir à payer bien plus que prévu...

Menées notamment à Laval durant l'automne, ces expérimentations, effectuées en collaboration avec les opérateurs, ont en effet mis en évidence des perturbations "plus importantes que prévues", et impactant tous les canaux de la TNT, pas seulement ceux situés dans les plus hautes fréquences. Pire, les ajustements effectués pendant ces expérimentations pour tenter de remédier au problème se sont révélés insuffisants, et il n'a pas été possible de pousser l'expérimentation jusqu'au bout, en activant les huit émetteurs LTE qui devaient normalement être utilisés.

D'après les résultats de ces expérimentations, il se pourrait que les opérateur soient obligés d'aller intervenir directement sur les installations TNT des utilisateurs pour résoudre les problèmes, en y installant des filtres suffisamment sensibles pour éliminer tous les parasites. Le coût pourrait dépasser la centaine d'euros par installation à mettre en conformité.

Au regard de ses résultats, on peut se demander si Free n'aurait pas finalement fait LA bonne affaire en n'obtenant aucun bloc de la bande 800 MHz. En n'exploitant la 4G que sur la bande 2.6 GHz, l'opérateur estime en effet être en mesure de couvrir 80% de la population, ce qui limitera le coût du roaming 800 MHz, tout en n'ayant pas à payer pour résoudre les problèmes d'interférence avec la TNT (même si ce coût sera probablement en partie répercuté sur le montant des accords de roaming). Dans une moindre mesure, Bouygues aussi réalise une bonne opération. L'opérateur a en effet payé son bloc de 10 MHz nettement moins cher qu'Orange et SFR, car ce bloc était présumé être le plus problématique. D'après ces expérimentations, les autres blocs sont autant affectés, et donc, en plus d'avoir coûté plus cher à l'achat, seront aussi coûteux en mise aux normes des installations TNT.

Posté par Matt le 28/12/2011 à 09h19
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Source : Tom's Hardware

Mozilla Foundation

Depuis de nombreuses années, Google est le plus gros contributeur aux revenus de Mozilla, dont il représente plus de 80% du chiffre d'affaire. Depuis que Google s'est lancé sur le marché des navigateurs, beaucoup craignaient que le contrat, expirant en novembre dernier, ne soit pas renouvelé. Qu'on se rassure, Google a signé un nouveau contrat.

Google et Mozilla ont en effet publié mardi un communiqué de presse annonçant qu'un nouvel accord a été trouvé entre les deux entités. Comme le contrat précédent, il court pour une durée de trois ans, pendant laquelle Google sera configuré comme moteur de recherche par défaut à l'installation de Firefox, en échange d'espèces sonnantes et trébuchantes.

En 2010, l'accord avec Google représentait 103 millions de dollars sur les 123 millions encaissés par Mozilla. Mozilla et Google n'ont pas communiqué sur les montants en jeu dans ce nouveau contrat, et il faudra donc probablement attendre le rapport d'activité 2012 de la fondation pour connaitre le montant exact négocié.

Mozilla est donc désormais tranquille pour 3 ans, avant de devoir à nouveau négocier à Google. Une négociation qui risque de devenir plus compliquée si Chrome continue de grappiller des parts de marché.

Mise à jour le 27/12/2011 : Si Mozilla et Google ont refusé de communiquer le montant de l'accord, certaines sources évoquent un montant très en faveur de Mozilla, qui aurait réussi à convaincre Google de signer pour 300 millions de dollars par an, soit trois fois plus que dans le précédent accord, en le menaçant d'aller voir du côté de Yahoo! et de Bing (rappelons d'ailleurs qu'une version de Firefox avec Bing comme moteur de recherche par défaut est diffusée depuis quelques temps par Microsoft). Si ce montant se confirme, la fondation Mozilla va donc pouvoir se lancer sereinement dans ses projets les plus ambitieux, avec un budget en très nette hausse.

Actu originale : 22/12/2011 à 11h20

Posté par Matt le 27/12/2011 à 18h00
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Sources : Silicon.fr et PCInpact