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La Poste

L'information circule sur Internet depuis quelques temps : La Poste souhaiterait se lancer dans la téléphonie, comme au bon vieux temps des PTT, avant la séparation de La Poste et de France Télécom en deux entités. Ce retour aux sources se ferait via la téléphonie mobile, en mettant en place un MVNO.

Mais sur ce dossier, une information pour le moins surprenante a fait son apparition : parmi les quatre opérateurs mobiles (les trois déjà en place, Orange, SFR et Bouygues Télécom, et le nouveau, qui arrivera en 2012, Free Mobile) dont le réseau peut servir de base à l'établissement d'un MVNO, La Poste aurait finalement porté son choix vers... Free Mobile ! C'est-à-dire vers l'opérateur qui non seulement n'a pas encore de réseau, mais qui en plus fera passer une partie de son trafic par l'un des trois autres réseaux.

On peut supposer que l'opérateur a décidé de faire un cadeau à La Poste en rognant fortement sur ses marges, avec à la clé la possibilité d'amortir plus rapidement son réseau grâce au parc d'abonné de La Poste, qui vise jusqu'à 2 millions d'abonnés mobiles d'ici à 2015, avec une offre qui serait lancée en 2011.

Pour rappel, un MVNO (Mobile Virtual Network Operator) est un opérateur mobile "virtuel", qui ne dispose pas de réseau cellulaire propre. Pour assurer son service, il fait circuler l'intégralité de son trafic via les réseaux des "vrais" opérateurs. En France, tous les opérateurs mobiles autres que Orange, SFR et Bouygues sont des MVNO. Free Mobile aura pour sa part une position intermédiaire : il s'est engagé à couvrir un certain pourcentage de la population avec son propre réseau, et passera par le réseau d'un autre opérateur pour couvrir l'ensemble de la population, en attendant de développer suffisamment son propre réseau.

Posté par Matt le 09/04/2010 à 10h39
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Source : Tom's Hardware

Freecom

Freecom, le spécialiste allemand des supports de stockage externes vient de lancer un service qui pourrait en intéresser plus un, surtout après la publication de l'étude de l'Académie des Sciences sur la fiabilité des supports de stockage : une "assurance" récupération de données pour disque dur.

Le principe est simple : moyennant paiement de 29€95, le constructeur offre un service qui tentera de récupérer les données du disque dur en cas de panne pendant une période de trois ans. Il s'agit bien entendu d'une récupération en laboratoire, qui permet de récupérer bien plus de données qu'une récupération logicielle, et qui fonctionne même sur un disque dur fortement endommagé et qui n'est plus reconnu par l'ordinateur.

Ce genre de service est habituellement facturé plusieurs centaines d'euros par les entreprises spécialisées dans la récupération de données. En jouant sur la mutualisation et en pariant sur un taux de recours à la garantie suffisamment faible, Freecom offre donc un tarif particulièrement attractif, qui pourrait sauver à moindre coût ceux qui auraient oublié de faire des sauvegardes.

Cerise sur le gâteau, l'offre de Freecom est valable pour tous les modèles de disques durs, et non pas seulement ceux vendus sous sa propre marque.

Posté par Matt le 01/04/2010 à 22h32
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Source : Tom's Hardware

Alors que l'HADOPI peine à se mettre en place, les internautes français n'auraient pas encore changé leurs habitudes de téléchargement. Au contraire même, certains auraient intensifié leur consommation de contenus illicites, par défiance envers la Haute Autorité... Mais la riposte s'organise, et elle risque de faire très mal !

En effet, une nouvelle entité serait à l'étude, pour éradiquer définitivement le problème du téléchargement illicite. Baptisée Autorité pour la Validation et la Régulation d'un Internet Légal, cette nouvelle autorité change radicalement de stratégie. En effet, plutôt que de s'attaquer aux fournisseurs de contenus, elle va instaurer des contrôles au niveau des tuyaux en partant d'un constat tout bête à la portée de n'importe quel adepte de la stratégie du moindre effort : pour rendre les offres légales plus attractives, il suffit de rendre les offres illicites moins attractives... Et pour ça, il existe un moyen tout simple : jouer sur les débits !

Sous le contrôle de cette nouvelle autorité, les FAI auront l'obligation de brider les débits de leurs abonnés en fonction de l'IP avec laquelle les échanges de données sont effectuées. Cette autorité publiera chaque mois trois listes d'IP correspondant à trois "zones" Internet, chacune bridée à une certaine vitesse :

  • la zone 30 : elle comportera les IP identifiées comme hébergeant des sites susceptibles d'être visités par des mineurs. Afin de freiner la pédophilie, le débit sur ces sites sera limité à 30 Ko/s,
  • les sites dont le contenu est contrôlé par les autorités locales ou par l'état (sites de communes, sites des ministères, presse...) : la vitesse y sera limité à 90 Ko/s,
  • les sites de téléchargement légal : il s'agira des sites identifiés comme fournissant du contenu multimédia dans le respect des droits d'auteurs, soit sous forme gratuite, soit sous forme payante, facturée au Mo. Afin de favoriser les offres payantes, celles-ci ne seront limitées qu'à 130 Ko/s, contre 110 Ko/s pour les offres gratuites.

Un groupe d'artistes expatriés en Suisse et représenté par notre Johnny national négocierait également la mise en place d'un palier intermédiaire entre les sites de téléchargement gratuits et les sites payants, en proposant une offre particulièrement compétitive : le téléchargement à 120 Ko/s moyennant un forfait annuel facturé moins de 30€ !

Par défaut, les IP n'appartenant à aucune de ces zones seront limités à 50 Ko/s. Ainsi, télécharger illégalement un MP3 sera 2.6 fois plus long que de le télécharger sur un site payant, ce qui devrait convaincre certains utilisateurs de rentrer dans le droit chemin.

La nouvelle autorité va également profiter d'une autre leçon tiré d'HADOPI : afin d'éviter la grogne des opérateurs en raison des coûts élevés qu'impliqueraient la mise en place de telles limitations sur l'ensemble du réseau, ces limitations de débit ne s'appliqueront pas par bridage, mais sur la base de la bonne volonté de l'utilisateur. Les opérateurs pourront donc toujours vendre des offres allant bien au delà des vitesses autorisées, les utilisateurs pourront toujours atteindre ses vitesses... mais il pourront à tout moment être contrôlés via des systèmes automatisés !

En cas de dépassement avéré du débit autorisé, l'utilisateur sera puni d'une amende et de 1 à 6 mails d'avertissement, en fonction de la gravité de l'infraction (le titulaire de l'abonnement pourra toutefois contester les avertissements en indiquant l'identité de la personne qui utilisait sa connexion au moment de l'infraction). Au 12ème mail d'avertissement, il sera demandé au titulaire de ne plus se servir de sa connexion, et il s'exposera à de lourdes poursuites s'il ne respecte pas cette sanction, pouvant aller jusqu'à la saisie de son modem. Une dérogation pourra être obtenue sous condition, pour les personnes ayant impérativement besoin de leur accès Internet pour leur travail.

Reste à voir si ces nouvelles mesures seront plus efficaces que les précédentes... Il se pourrait que non, puisque le site Die Piratebahn aurait déjà annoncé avoir trouvé une faille dans le système de contrôle, et affirme être en mesure de proposer du téléchargement gratuit avec un débit illimité vers toutes les IP allemandes. Si Die Piratebahn tient ses promesse, cette nouvelle mesure risque donc une fois de plus de pénaliser les utilisateurs honnêtes en dégradant leur confort d'utilisation, tout en laissant passer les pirates entre les mailles du filets...

Posté par Matt le 01/04/2010 à 08h20
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Les habitués des CD-R et des DVD-R le savent sans doute : ces supports de stockage ne sont pas des modèles de fiabilité dans le temps, ceux-ci ayant une certaine tendance à devenir illisible plus ou moins rapidement... Une étude de l'Académie des Sciences confirme ce manque de fiabilité, et le quantifie pour la première fois.

Ainsi, selon cette étude, 8% des CD inscriptibles seraient illisibles au bout de seulement 4 ans. Pire, les supports de certaines marques ne tiennent parfois même pas un an, alors que les meilleurs frisent une durée de vie de 20 ans ! Du fait de leur densité plus élevée, les supports plus modernes, tels que le DVD-R et le BD-R seraient encore moins à l'aise dans le temps. Sachant qu'environ 10 milliards de galettes sont vendues par an, le volume de données en danger de disparition a de quoi donner le vertige...

Alors, vers quoi se tourner ? Les disques durs ? Échec ! L'étude de l'Académie des Sciences dresse également un portrait plutôt sombre de ces derniers. En effet, la majorité des disques durs rendraient l'âme au bout de seulement cinq années d'utilisation. Et comme pour les supports optiques, les supports les plus denses sont les moins durables, accentuant encore la gravité de la situation, puisque les volumes de données perdus sont d'autant plus grands...

Les mémoires flash ? Pas mieux ! On le sait depuis longtemps, les mémoires flash stockent les données sous forme de charges électriques, chargent qui ont tendance à disparaitre avec le temps à cause des courants de fuite.

Le stockage en ligne ? S'il apparait très séduisant, en détachant l'utilisateur de toutes les indispensables tâches de maintenance, le stockage en ligne ne serait en fait pas non plus viable, en raison de l'énorme volume de données à stocker, qui nécessiterait d'investir des sommes phénoménales dans les serveurs.

La solution est donc finalement surtout de rester très attentif à l'état de ses données, en les copiant régulièrement sur de nouveaux supports, et surtout, en gardant toujours plusieurs exemplaires des données les plus importantes.

Les auteurs de l'étude espèrent également que leurs conclusions pousseront certains industriels à se lancer dans la recherche de nouvelles solutions de stockage plus durables, pour assurer la sauvegarde à long terme des données numériques.

Posté par Matt le 30/03/2010 à 22h59
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Sources : PCWorld et ZDNet via Ptit_boeuf

Carte SIM

Présente quasiment depuis toujours dans les téléphones mobiles, la carte SIM permet d'identifier la ligne associée au téléphone sur le réseau de son opérateur de rattachement. Mais elle sert aussi, par le biais de son identifiant opérateur, à restreindre l'usage d'un terminal donné sur un réseau donné, en configurant simplement le téléphone pour qu'il n'accepte que les cartes dotées du bon identifiant opérateur.

Un verrouillage qui n'est aujourd'hui clairement pas dans l'intérêt de l'utilisateur. En effet, s'il pouvait se justifier dans le cas d'un mobile subventionné par l'opérateur mais non assorti d'un forfait avec engagement de durée, ce type d'offre n'existe quasiment plus, les grosses subventions étant aujourd'hui toujours associées à des engagements d'un à trois ans, tandis que les offres sans engagement sont cantonnées à des mobiles peu ou pas du tout subventionnés.

Partant de ce constat et de la gêne induite par ce système de verrouillage, en particulier pour les utilisateurs se déplaçant régulièrement à l'étranger, et qui auraient donc tout intérêt à se doter d'une carte SIM prépayée de leur pays de destination pour éviter les coûts exorbitants du roaming, le ministère japonnais de la communication serait en train d'étudier la possibilité d'interdire ce verrouillage.

Une bonne nouvelle pour les utilisateurs japonnais, qui seront sans doute ravis de constater que leur gouvernement est encore capable de privilégier l'utilisateur plutôt que les opérateurs. Si ce projet abouti, espérons qu'il donnera des idées en France et en Europe...

Posté par Matt le 29/03/2010 à 22h59
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Source : Clubic

Free

À l'occasion de la présentation de son bilan annuel 2009, le groupe Iliad a évoqué le futur de ses différentes marques, et en particulier la plus connue d'entre elle, le FAI Free.

L'information à plus court terme concerne la loi HADOPI. Et cette nouvelle risque de ne pas faire plaisir aux instigateurs de cette loi : le FAI est bien décidé à ne mettre en place aucune des procédures de filtrage et de surveillance prévues par la loi tant que ça ne sera pas l'État qui mettra la main au portefeuille pour les financer. Le coût de ces mesures serait de l'ordre de 70 millions d'euros pour l'ensemble des FAI, une somme qui est pour l'instant prévue pour être à la charge des FAI.

Du côté des services, le FAI devrait prochainement proposer un service de "catch-up TV" (permettant de visualiser en différé les programmes). Cette offre devrait reprendre les programmes de TF1 et M6, qui ont déjà donné leur accord, tandis que Free négocie actuellement les droits pour les programmes France Télévisions. Aucune information n'a pour l'instant été communiquée sur la date de lancement et la tarification éventuelle de ce service.

Enfin, Iliad a évoqué les deux grands chantiers, dont le montant devrait se chiffrer à environ 2 milliards d'euros : le développement du réseau fibre et du réseau Free Mobile. Pour le premier, l'objectif est d'avoir 14 millions de logements raccordables d'ici à 2012, grâce à un déploiement massif en 2011 après une monté en charge progressive en 2010.

Du côté de Free Mobile, les choses semblent plutôt bien se passer, puisque l'opérateur a bien avancé dans ses négociations pour louer des "points hauts", nécessaires à l'installation de ses antennes relais, que Free annonce comme étant des modèles dernier cri, déjà prêtes à évoluer vers le protocole LTE, qui représente la 4ème génération de téléphonie mobile. Les négociations sont également en cours pour signer des accords de roaming avec les opérateurs déjà en place, afin que Free puisse lancer son offre avec une couverture acceptable, en exploitant les réseaux existants là où il n'aura pas encore déployé son propre réseau. Les premières offres commerciales seront lancées début 2012, comme prévu.

Posté par Matt le 23/03/2010 à 23h05
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Source : PCWorld

Google

Comme nous vous le disions il y a quelques jours, les relations ne sont actuellement pas au beau fixe entre Google et les autorités chinoises, à tel point que l'existence même de Google.cn serait désormais menacée.

En cause, les problèmes de censure d'Internet en Chine. Pendant longtemps, le moteur de recherche de Google était totalement bloqué pour les internautes chinois. Cédant aux exigences des autorités en termes de censure, Google avait fini par lancer Google.cn, une version conforme aux règles chinoises, et la seule accessible pour les internautes de l'empire du milieu. Mais depuis quelques temps, les relations entre le géant de l'Internet et la Chine se sont fortement dégradées.

En effet, Google conteste de plus en plus la censure exigée par la Chine, ce qui a mis le moteur de recherche dans le collimateur des autorités. Certains vont même jusqu'à affirmer que les attaques massives effectuées depuis la Chine vers les services Google en début d'année auraient été initiées par les autorités. Une théorie qui n'a pas contribué à l'amélioration des relations entre Google et le gouvernement.

Aujourd'hui, les négociations seraient totalement bloqué, chacun campant sur ses positions. À tel point que, après que Google ait menacé de fermer Google.cn, le gouvernement chinois serait resté fermement sur ses positions, annonçant ne pas être prêt à s'assouplir pour éviter la fermeture. Selon certaines sources proches du dossier, les chances que Google ferme effectivement son service de recherche en Chine serait supérieures à 99%...

Si une telle fermeture intervenait également, peut-être aura-t-elle le mérite d'éveiller un peu plus le reste du monde sur le problème de la censure en Chine.

Posté par Matt le 15/03/2010 à 23h17
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Source : Ère Numérique

Motorola

Avec une petite dizaine de mobiles Android à son catalogue, Motorola pouvait avoir un petit air de partenaire idéal pour Google, en particulier avec le Droid, qui est l'un des mobiles Android les plus aboutis techniquement. Mais le constructeur américain s'apprête à faire un joli pied de nez à Google sur le marché chinois...

En effet, Google n'étant pas en odeur de sainteté auprès des autorités chinoises (ce qui est plutôt un point positif pour Google...), Motorola vient de signer un accord avec Microsoft concernant les mobiles Motorola commercialisés en Chine. Mais pas question de laisser tomber Android au profit de Windows Mobile : cet accord ne concerne pas le système d'exploitation, il se limite en fait... au moteur de recherche par défaut !

Motorola Droid

Lorsqu'il entrera en effet, d'ici à quelques semaines, cet accord va donc mener à une situation plutôt cocasse : Motorola va commercialiser des appareils utilisant le système d'exploitation du leader mondial de la recherche et le moteur de recherche du leader mondial du système d'exploitation. Au moins, on ne pourra pas accuser Motorola de favoriser les positions dominantes !

Cette annonce fait par ailleurs suite à plusieurs informations plus ou moins officielles selon lesquelles Microsoft chercherait également à évincer Google au profit de Bing comme moteur de recherche par défaut de Safari, tant dans sa version Windows que dans sa version Mac OS X et iPhone OS. Depuis que Google est venu marché sur les plates bandes de Microsoft avec Android, le géant de Redmond semble bien décidé à lui rendre la pareil en déployant une stratégie de conquête agressive sur le secteur de la recherche.

Posté par Matt le 12/03/2010 à 10h40
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Source : PCInpact

Gandi.net est un prestataire français spécialisé dans l'enregistrement de noms de domaines et, depuis peu, de l'hébergement de sites web. Pour ses dix ans, il offre l'enregistrement de 55 000 noms de domaine en .fr, .tel, .com, .net, .info, .me, .mobi, .uk, .be et .eu. Nous avons obtenu pour vous huit codes promotionnels pour profiter de cette offre.

  • 10YRS-53D5-A034-8999,
  • 10YRS-3583-21B0-A15E,
  • 10YRS-2988-9343-6253,
  • 10YRS-DB56-83F3-8C15,
  • 10YRS-034D-1752-1FD0,
  • 10YRS-22A2-B137-6362,
  • 10YRS-F67D-CFE8-FC0F,
  • 10YRS-A83F-4429-79CF.

Pour utiliser un de ces bons, rendez vous sur Gandi.net et suivez la procédure d'enregistrement d'un domaine. Au moment du choix du moyen de paiement, saisissez le code dans le champ prévu à cet effet en bas de la page. Les codes sont valables jusqu'au 31 mars 2010.

Attention : ces codes sont bien entendus à usage unique, et sont donc proposés ici sur le principe du "premier arrivé, premier servi" !

Posté par Matt le 06/03/2010 à 16h20
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europe.png

Si le tarif des accès Internet mobiles ont largement diminué depuis l'arrivée des smartphones connectés (iPhone, Android...), permettant de trouver des offres illimitées pour une trentaine d'euros, il existe toujours un point douloureux : la facture en cas d'utilisation de l'accès en roaming à l'étranger. Un point sur lequel la commission européenne s'est penchée pour aider au développement de ce type d'accès.

Ainsi, après une première mesure, il y a quelques mois, qui a imposé un plafonnement de la tarification des accès Internet en roaming, qui ne peuvent plus être facturés plus d'1€ par Mo (un tarif qui devrait d'ailleurs être revu à la baisse dans les prochains temps), les opérateurs européens doivent dès aujourd'hui se plier à une nouvelle mesure : la coupure automatique de la connexion à partir d'une certaine consommation.

Le principe est simple : l'abonné décide d'un montant mensuel maximum de communication qu'il est prêt à se voir facturer pour les accès Internet en roaming. Une fois ce montant fixé, la connexion sera automatiquement coupée si l'utilisateur atteint sa limite. L'opérateur devra également le prévenir lorsque celle-ci aura été consommée à 80%, comme ils le font généralement déjà pour la limite du "fair-use" des forfaits illimités.

La mise en place de cette limitation est optionnelle à partir du 1er mars, et deviendra obligatoire dès le 1er juillet, avec un plafond fixé par défaut à 50€ (soit au minimum 50 Mo) pour les abonnées n'ayant pas communiqué la limite qu'ils souhaitent.

Posté par Matt le 02/03/2010 à 11h00
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Source : Generation-NT