Bon dernier à obtenir sa gestion de bureaux virtuels 3D après Mac et Linux (avec Beryl), Windows comble enfin cette lacune !!
Pour cela nous devons dire merci à un français : Christian Salmon.
Le nom du soft : Yod'm 3D... Y a pas ça déchire comme nom mais c'est dur à prononcer.

Pour l'instant le soft en est encore à ses débuts, en comparaison avec ses concurrents il manque peut-être d'options et d'optimisations, mais il semble très prometteur. Il permet de switcher d'un bureau à l'autre grâce a un effet de cube en 3D (tient ça me rappel quelque chose...).
Chaque bureau peut avoir son propre fond d'écran, on peut switcher d'un bureau à l'autre grâce à la souris. Il est possible de déplacer une fenêtre d'un bureau à l'autre, et on peut accèder à une application via l'icône du soft indépendement du bureau sur lequel on se trouve.

Il manquerait néanmoins une petite fonction d'exposé comme sur les autres OS mais pour ça, il y a My Exposé, oeuvre d'un autre français.

• Téléchargement Yod'm 3D
• Site web de Christian Salmon
• Téléchargement de My Exposé

Nos confrères de DailyTech ont mis en ligne aujourd'hui les premiers benchs des cartes graphiques ATI Radeon HD 2900 XTX, le fleuron de la gamme Direct X 10 du fabricant, qui devrait être lancée officiellement dans les semaines à venir, après de nombreux retards.

Malheureusement, les résultats observés sont très décevant. En effet, malgré son Go de DDR4 et son core fonctionnant à 750 MHz, cette carte s'est avéré incapable de rivaliser avec la GeForce 8800 GTX d'nVidia, pourtant lancée il y a six mois. Au vu de ses résultats, on peut se demander comment ATI va bien pouvoir écouler ses cartes, à moins de casser les prix comme l'a fait AMD sur le marché des processeurs pour faire face au Core 2 Duo d'Intel.

Espérons tout de même que les Radeon HD 2600 feront mieux que leurs grandes soeurs dans le milieu de gamme, ce qui devrait être facilité par la contre performance d'nVidia avec ses 8600 GT et GTS. Si ATI ne parvient pas à s'imposer sur ce marché, la situation du couple AMD/ATI pourrait devenir bien préoccupantes, les deux entitées étant totalement dépassées par leurs concurrents respectifs, ce qui se ressent déjà sur les finances d'AMD.

Notons toutefois que les nouvelles cartes ATI sont encore sous NDA, et que certains sites sont parfois prêtes à profiter des NDA pour attirer des visiteurs avec des informations exclusives, mais pas forcément correctes. Même si celà nous étonnerait de la part de DailyTech, il est quand même important d'attendre la fin du NDA et le lancement officiel de ces cartes pour se faire une réelle idée de leurs performances.

Chez Matbe, quand ils font un comparatif d'alimentations, ils font pas les choses à moitié ! Nos confrères viennent en effet de mettre en ligne un comparatif tout a fait impressionant : 105 alimentations, issues de 40 constructeurs différents !

Comme d'habitude, le protocole fait appel à une machine gourmande (gros Pentium 4, SLI...) et fortement overclockée, capable de mettre à genoux les alims les moins robustes, et même d'enterrer les plus mauvaises : un bloc Aikuo et deux blocs LC Power n'ont pas survécu aux tests.

Au final, on retrouve les valeurs sûres en tête de ce comparatif : Seasonic bien sûr, mais désormais aussi Antec, Akasa, Corsair ou encore Fortron. Il est d'ailleurs intéressant de constater que les constructeurs se sont lancés dans une véritable course au rendement, probablement grâce à l'arrivée de la norme 80Plus. Ainsi, alors que les Seasonic S12 offraient les meilleurs rendements lors du précédent comparatif, elles sont désormais dépassés par certains blocs concurrents, tout en conservant leur avantage au sonomètre.

Enfin, ce test démontre encore une fois qu'une alimentation de plus de 500W est aujourd'hui largement superflue, puisque une bonne 400W (Fortron Zen) est suffisante pour alimenter la configuration de test, même dans les cas les plus extrêmes d'overclocking.

• Lire le comparatif de 105 alimentations

Après Sony il y a quelques jours, c'est aujourd'hui au tour de Dell d'annoncer ses premiers ordinateurs portables utilisant une unité de stockage flash à la place du disque dur.

Proposé en option (550$) sur les ultra-portables Latitude D420 et ATG D620, le SSD choisi par Dell est le Sandisk SSD SATA 5000 dans sa version 1.8". Avec ses 32 Go d'espace, son taux de transfert de près de 70 Mo/s et ses temps d'accès inférieurs à 1 ms, ce SSD permet aux Latitude de démarrer Windows Vista en seulement 30s, contre 48s avec le disque dur 1.8" d'origine, tout en améliorant l'autonomie, le silence et la fiabilité.

L'adoption des SSD par Dell confirme, si c'était encore nécessaire, que les SSD deviendront les produits phares du secteur du stockage de masse dans les mois à venir.

Si vous faites partie des 15% de visiteurs d'Infobidouille à déjà avoir franchi le pas vers Windows Vista, nos confrères de Generation NT ont puiblié aujourd'hui un article qui pourrait vous intéresser : la seconde partie de leur dossier dédié à l'optimisation du dernier né de Redmond.

Après une première partie consacrée à l'optimisation du disque dur, des programmes résidents et des services, cette deuxième partie pousse l'optimisation un peu plus en profondeur, en s'attaquant à la gestion de la mémoire et du fichier d'échange, mais aussi au service d'indexation et aux paramètres du Prefetch et du Superfetch.

• Lire la première partie de l'article
• Lire la seconde partie de l'article

Non non, messieurs les amateurs d'émulation, ne vous réjouissez pas, je ne vais pas vous parler d'un émulateur pour la dernière console de salon de Nintendo.

Mais alors comment jouer à la Wii sur PC ? Tout simplement en utilisant la V-box, un petit boîtier USB permettant de connecter votre console (j'ai bien dit jouer à la Wii sur PC, et non pas jouer aux jeux Wii sur PC ;-)) à votre PC. Vendu environ 45€, ce périphérique pourrait intéresser ceux qui ont une petite TV et un grand écran sur leur PC, même si on peut s'interroger sur son intérêt réel par rapport à une solution d'acquisition vidéo classique.

• Vidéo de la V-box
• V-box sur Play-Asia

Comme beaucoup d'assembleurs, Dell avait pratiquement retiré Windows XP de son catalogue. Mais, après de nombreuses demandes sur leur site IdeaStorm, il semblerait que Windows XP soit de retour sur la liste des OS pré installés sur les machines vendues.

En effet, fin mars de cette année, les acheteurs ne pouvaient commander que deux machines avec Windows XP pré-installé, et pour les entreprises (souvent longues à effectuer un changement d'OS) la pré-installation était en option seulement.

Mais les quelques 11 000 votes sur le site IdeaStorm en faveur d'un retour d'XP sont parvenus à faire revenir XP dans le catalogue de l'assembleur. Les clients ont maintenant la possibilité de faire installer Windows XP (édition familliale ou profesionnelle) sur six modèles : Dell Inspiron 1405, 1705, 1505, 1501 et les Dell Dimensions E520, Dell E521.

Le site IdeaStorm a été mis en place par Dell afin de demander à ses clients ce que ceux-ci voudraient voir changer. Cela semble porter ses fruits car c'est aussi grâce à ce site que Dell propose de pré-installer Linux dans ses stations de travail et ses portables.

Dans le domaine de l'informatique et de l'électronique, les plus riches ont souvent du mal à se démarquer, car l'évolution rapide fait que leurs produits très haut de gamme achetés à prix d'or deviennent rapidement accessibles au plus grand nombre.

Heureusement, la société Amosu pense à eux en enrichissant les produits électroniques à coups d'or et de diamants, les rendant définitivement inaccessibles au grand public. Le dernier né d'Amosu est le célèbre iPod d'Apple, dont la coque aluminium sera remplacée par une coque intégralement réalisée en or 24 caracts.

Vous pourrez ainsi obtenir un iPod Nano 8 Go ou un iPod Vidéo 30 Go en or pour environ 450€, ou encore un modèle 80 Go pour 150€ de plus. Des prix élevés, mais qui restent relativement raisonnable par rapport au reste du catalogue d'Amasu, où certains produits dépassent largement le milier d'euros, comme par exemple un téléphone portable Motorola V3i or & diamants proposé à plus de 7000€.

• iPod en or sur le site d'Amosu
• Site web d'Amosu

Après le rachat du fabricant de processeurs Cyrix, VIA a rapidement compris qu'il leur serait impossible de faire le poids face à Intel et AMD en matière de performances, et le constructeur a rapidement décidé d'aller occuper (et même de créer) une niche de marché : le PC ultra-compact et basse consommation. Dans ce secteur où ce n'est pas la performance qui prime, le constructeur ne cesse de miniaturiser ses solutions.

Ainsi, après le très petit format mini-ITX (170x170mm), puis l'encore plus petit format nano-ITX (120x120mm), VIA vient de lancer un nouveau format encore plus petit, le pico-ITX. Ses dimensions sont tout simplement impressionantes : 100x72mm ! Baptisée Epia PX10000GX, la première carte mère à ce format n'en est pas moins très complète : dotée d'un processeur Via à 1 GHz au format nanoBGA2, elle intégre un contrôleur graphique, un slot mémoire DDR2 SoDIMM (533 ou 400 MHz), l'USB2, une puce audio, un contrôleur réseau, le tout pour 230€.

Bien que le refroidissement d'origine soit actif, la faible consommation de l'ensemble devrait permettre aux acharnés du silence de monter une configuration totalement passive en remplacant le radiateur par un modèle plus performant.

Un petit utilitaire bien sympa permet de visualiser votre traffic reseau en modelisant un monde virtuel en 3D : Packet Garden. Une planete vous permet de visualiser l'ensemble de vos échanges avec le monde.

D'abord le logiciel mémorise les serveurs visités, leur emplacement, la quantité de données échangée... Ensuite un paysage, je devrais dire une surface de planète, est synthétisé : le sens des flux donne le type de relief (l'upload élève des montagnes alors que le download creuse des vallées). Les reliefs sont disposés suivant la disposition géographique réelle des serveurs visités et leur hauteur (profondeur) dépend de la quantité de données échangé. De la végetation apparait aussi mais elle est fonction du protocole utilisé (http, ftp, p2p...)

Tout ceci en est encore dans une phase expérimentale, ce n'est pas du CryEngine loin de là mais il faut avouer que le concept est vraiment sympa. On peut ainsi voir une représentation de notre traffic de façon plus ludique que sous forme de graphiques quelques peu rébarbatifs.

Bon personnellement, je connais des acharnés du télechargement qui vont nous faire le remake de voyage au centre de la Terre à force de creuser des vallées.

Voiçi une actu assez cocasse qui sonne un peu l'hôpital se fout de la charité : Microsoft attaque Google en justice pour... abus de position dominante !

Mais qu'est ce qui a bien pu pousser Microsoft à se lancer dans une telle action ? Tout simplement le rachat de la régie publicitaire DoubleClick par le géant de l'Internet, pour la coquette somme de 3 milliards de dollars. Selon Microsoft, ce rachat créerait une position trop forte de Google sur le marché de la publicité en ligne et mettrait en danger le respect de la vie privée, à cause des informations personnelles que Google pourrait collecter sur les très nombreux sites utilisant ses régies publicitaires.

Chez Intel, l'année 2008 pourrait bien être celle du premier processeur mobile à quatre coeurs, grâce à l'amélioration des process de gravure des puces.

Ainsi, la gravure 45 nm des processeur Peryn (utilisant la même architecture que les Core 2 Duo) qui devraient être lancés au second semestre 2007 pour les machines de bureau devrait permettre de faire baisser le TDP des quad core à moins de 35W, contre 50W actuellement pour les plus sobres des Xeon quad core. Ceci ramenerait donc les quad-core dans la même enveloppe thermique que les actuels Core 2 Duo pour portables.

On peut par contre se demander quelle est là réelle utilité d'un tel processeur dans un ordinateur portable. Il serait peut-être préférable que le fondeur se concentre un peu plus sur l'amélioration de l'autonomie, plutôt que de tenter de rentrer de plus en plus de cores dans la même enveloppe thermique. En particulier, il serait intéressant qu'Intel propose enfin une gamme de processeurs Core 2 Solo, qui permettrait d'économiser un peu d'énergie sans trop sacrifier les performances, vu le peu d'applications tirant réellement profit du dual core.

Après une première partie dédiée à VMWare Workstation, Parallels Workstation, VirtualBox et Virtual PC 2004, voici comme promis la seconde partie de notre article sur les logiciels de virtualisation. Deux solutions gratuites ont été testés dans ce nouvel article : VMWare Player et Virtual PC 2007.

VMWare Workstation s'impose toujours comme le plus performant, devant VirtualBox, suivi de près par VMWare Player. Derrière, la version 2007 de Virtual PC comble le gros retard dont souffrait la version 2004 et permet à Microsoft de repasser devant Parallels Workstation et de proposer l'une des meilleures solutions gratuites.

• Lire l'article.

Alors que Microsoft annoncait son Windows Vista et le nouveau WGA qui va avec comme impossible à pirater, des solutions ont rapidement été trouvées, dont une qui a la particularité de ne modifier aucun fichier du système, ce qui la rend relativement invulnérable aux mises à jour... pour l'instant ! En effet, l'éditeur semble bien travailler à une méthode de détection de copies de Vista exploitant cette astuce.

Pour rappel cette méthode consiste à faire croire à Windows qu'il est installé sur une machine de grand constructeur, identifiable grâce à des informations présentes dans le BIOS. Une fois identifié comme tel, Windows s'active automatiquement sans passer par Internet. Cette procédure avait été mise en place à l'époque de Windows XP pour que les grands constructeurs puissent livrer à leur client des machines utilisables directement sans avoir à passer par la procédure d'identification.

Afin de profiter de cette possibilité, les grands groupes de crackers ont développé de nombreux outils permettant d'émuler plus ou moins bien un BIOS OEM et de tromper le processus de vérification de Windows Vista, permettant ainsi d'installer une version OEM valide sur n'importe quelle machine.

Si cette solution est aujourd'hui parfaitement fonctionnelle et invulnérable aux mise à jour de Windows, la donne devrait toutefois changer assez rapidement, puisque l'équipe de WGA a annoncé sur son blog qu'elle planche sur des moyens de détecter et neutraliser ces émulateurs de BIOS. Microsoft semble donc bien décidé à ne pas rester l'éternelle lanterne rouge dans la course qui l'oppose aux crackers, mais ces derniers ont déjà pris une bonne longueur d'avance, puisque les BIOS modifiés pour être reconnus comme des BIOS OEM sans passer par un drivers commencent déjà à fleurir dans les bas-fonds du Web, rendant l'astuce quasiment indétectable, puisque plus aucun composant logiciel n'entre en jeu.

Alors que les déclinaisons d'entrée et de milieu de gamme de la huitième génération de GeForce sont encore protégées par NDA, The Inquirer a publié aujourd'hui quelques informations sur les spécifications de ces nouvelles cartes graphiques.

En plus des 8800 GTX et 8800 GTS déjà en vente depuis quelques mois, quatre nouveaux modèles vont donc s'ajouter à la gamme GeForce 8 le 17 avril prochain :

• la 8600 GTS, basée sur un GPU G84 cadencé à 675 MHz (1.45 GHz pour les shaders) accompagné de mémoire GDDR3 à 2 GHz, et dont la consommation ne devrait pas excéder 71W
• la 8600 GT, basée sur le même G84 cadencé entre 500 et 600 MHz (1.18 GHz pour les shaders) et de la GDDR3 à 1.4 GHz, pour une consommation de seulement 43W
• la 8500 GT, qui se dote d'un G86 cadencé de 450 à 600 MHz (900 MHz pour les shaders) couplé à de la DDR2 à 800 MHz (40W)
• la 8300 GT, dont les caractéristiques sont similaires à celles de la 8500 GT mais monté sur un PCB de 7300 GT avec un bus mémoire réduit à 64 bits (35W)

Toutes ces cartes sont compatibles DirectX 10 et disposent d'une architecture à sharders unifiés (32 pour les G84, 16 pour les G86). Pour rappel, les 8800 GTS et 8800 GTX disposent respectivement de 128 et 96 shaders fonctionnant respectivement à 1.2 GHz et 1.35 GHz (contre 500 MHz et 575 MHz pour le reste du GPU), donc on peut s'attendre à un écart de performances assez important entre le haut de gamme et le milieu de gamme. Par contre, il est rassurant de constater que ces cartes ont une consommation électrique bien plus raisonnable que leurs grandes soeurs, et devraient être assez rapidement déclinés en refroidissement passif.

La carte la plus intéressante de cette gamme sera très probablement la 8600 GT, qui semble offrir le meilleur rapport performance/consommation et dont le positionnement tarifaire devrait satisfaire la majorité des consommateurs.

Opera, le navigateur alternatif qui fait le bonheur des instatisfait d'Internet Explorer et de FireFox est désormais disponible sur une nouvelle plateforme : la Wii.

Après Windows, Linux, les PDA, les téléphones, les balladeurs MP3 et les avions de ligne équipés du système Thales TopSeries, Opera Software s'attaque donc à la nouvelle star des salons avec une version très complète de son navigateur, optimisé pour un navigation aisée avec la Wii Remote. Afin d'assurer sa promotion, Opera Wii sera téléchargeable gratuitement dans la boutique jusqu'à juin 2007. Au delà de cette date, il vous en coûtera 5€ pour vous équiper de ce navigateur.

C'est en toute discretion qu'Intel a lancé en fin de semaine dernière deux nouveaux processeurs dans la famille Core 2 Duo, destinés aux ultra-portables et aux UMPC grâce à leur très faible consommation.

Baptisés U7500 et U7600, ces deux processeurs ULV sont cadencés respectivement à 1.06 et 1.2 GHz et proposent les mêmes fonctionnalités que les autres processeur de la gamme. Ils embarquent également 2 Mo de mémoire cache L2 et fonctionnent sur un bus à 533 MHz.

La consommation de ces nouveaux Core 2 Duo est inférieure à 10W, contre 35W pour les Core 2 Duo série T (pour portables) et 65W pour les Core 2 Duo série E (pour machines de bureau).

Surcouf, le plus grand magasin français d'informatique, a lancé la semaine dernière une nouvelle gamme de produit, baptisée PC by Surcouf.

Ce nom cache un concept plutôt intéressant, dans la lignée de la gamme Ordikit du même magasin : des ordinateurs portables entièrement configurables. Cette gamme se construit autour de 4 châssis de 12.1" à 17" dont les prix varient de 590 à 1200€ (pour un châssis avec carte mère, clavier, écran et alimentation).

Le reste de la configuration est entièrement paramétrable, du processeur à la carte graphique en passant par le disque dur et même la décoration du châssis sur les modèles 15" grâce à un ingénieux système magnétique.

Enfin, pour les utilisateurs les plus exigeants, on notera la possibilité d'obtenir une machine overclockée, avec un Core 2 Duo T7600G à 2.66 GHz dans le modèle 17" haut de gamme.

Sony vient tout juste de lancer une nouvelle déclinaison ultra-portable de son Vaio, le type G. Comme tout ultraportable qui se respecte, il se dote d'un châssis ultra-compact, d'un écran de 12.1" et d'une autonomie plus que confortable.

Par rapport à ses prédecesseurs, ce Vaio se distingue principalement par son support de stockage, puisque le constructeur à choisi pour l'occasion d'abandonner le disque dur au profit d'un SSD (Solid State Drive) de 32 Go de mémoire flash, qui devrait offrir à la machine des performances de premier plan, tout en améliorant l'autonomie. Sony annonce d'ailleurs une autonomie pouvant aller de 6 à 12h en fonction du type de batterie (explosive ?) choisie. Enfin, ce Vaio n'accuse que 900g sur la balance, ce qui ravira les utilisateurs les plus nomades.

Alors que Samsung est déjà particulièrement réputé pour le silence de fonctionnement de ses disques durs, le constructeur coréen semble ne pas vouloir se reposer sur ses lauriers, avec l'annonce d'une nouvelle génération de disques optimisés pour le silence.

Babptisé SpinPoint S166, cette famille comportera des modèles de deux capacités, 80 Go ou 160 Go, en PATA ou en SATA2, avec 2 ou 8 Mo de cache. Silence oblige, il s'agira de disques à un seul plateau (densité de 160 Go par plateau donc), ce qui laisse supposer l'utilisation de la technologie d'enregistrement perpendiculaire. Les niveaux de bruit annoncés par le constructeur sont tout simplement impressionants, puisque avec seulement 27.5 dB en activité, ce disque serait plus silencieux que les disques des concurrents au repos... Les SpinPoint S166 devraient donc faire le bonheur des amateurs de silence et remplacer dans leur coeur les déjà silencieux SpinPoint série P.

Après avoir été l'un des premiers constructeurs d'ordinateurs à proposer une machine de bureau à quatre coeurs (les fameux G5 Quad), Apple en remet une couche en lancant aujourd'hui la première machine de bureau à huit coeurs. Un véritable monstre de puissance !

Construite autour de deux processeurs Intel Xeon à quatre coeurs à 3 GHz, cette machine peut embarquer jusqu'à 3 To d'espace de stockage dans ses quatre emplacements pour disque dur SATA et jusqu'à 16 Go de mémoire au format FB-DIMM, le tout dans l'habituel chassis des Mac Pro. La partie graphique n'est bien sûre pas en reste, avec la possibilité d'équiper la bête d'une carte graphique nVidia Quadro FX 4500, capable de piloter deux écrans 30". Du côté de la connectique et du réseau, vous aurez droit à deux ports firewire 800, deux ports firewire 400, cinq ports USB 2.0, deux ports réseau Gigabit, et, en option, le WiFi MIMO (802.11n) et le Bluetooth 2.0+EDR. Bref, une machine à laquelle il ne manque pas grand chose.

Malheureusement, toute cette puissance a un prix, et celui demandé par Apple en refroidira sans doute plus d'un. Ainsi, l'entrée de gamme de la famille Mac Pro se négocie à partir de 2200$ pour une version à deux Xeon 2 GHz dual core, 1 Go de RAM, 250 Go de disque dur et une carte graphique GeForce 7300GT. Le passage à huit coeurs est facturé 1797$, tandis que la machine toute options coûtera le prix d'une petite voiture : 13 226$ !

Après l'annonce faite hier de l'abandon des DRM sur les titres du catalogue EMI vendus par Apple sur l'iTunes Music Store, les deux principaux concurrents, VirginMega et FnacMusic suivent le mouvement.

Tout comme chez Apple, le catalogue d'EMI sera donc proposé sous peu en version MP3 sans DRM sur ces deux plateformes, pour un prix similaire aux tarifs actuel.

Les militants anti-DRM doivent se réjouir de ces annonces qui, même si elles n'enterrent pas définitivement les DRM, mettent un sérieux coup de frein à leur utilisation, car les autres majors seront presque obligées de suivre EMI si elles ne veulent pas trop entâcher leur image.

Au début du mois de février, Steve Jobs, le grand gourou PDG d'Apple, exprimait son opinion sur le marché de la musique. Dans son texte, baptisé Thoughts on Music, Jobs expliquait pourquoi les DRM devraient selon lui être abandonnés au profit de fichiers musicaux totalement dépourvus de protection.

Sachant que, via son iTunes Music Store, Apple est le plus gros fournisseur de fichier DRMisés, de tels propos pouvaient prêter à sourir, d'autant plus que plusieurs semaines plus tard, rien ne semblait avoir bougé de ce côté là. Beaucoup ont accusé Steve Jobs d'avoir publié ce texte uniquement pour renforcer l'image d'Apple du côté des militants anti-DRM (voir ici).

Toutefois, moins de deux mois après, Steve Jobs fait taire ses détracteurs : en annoncant il y a peu que l'intégralité du catalogue d'EMI sera disponible sur l'iTunes Music Store en version sans DRM, il montre encore une fois que ses propos doivent être pris au sérieux et n'étaient pas simplement un plan marketing.

Malheureusement, tout n'est pas encore rose, puisque les titres sans DRM seront facturés 30cts de plus que les titres avec DRM, soit 1.29€, tandis que les prix des albums complets resteront à 9.99€. Espérons tout de même que cette exemple donnera des idées aux autres majors et aux autres sites de téléchargement de musique, ce qui pourrait signer une bonne fois pour toute l'arrêt de mort des DRM.

Après le clone de l'iPhone dont nous vous parlions il y a quelques jours (ici), le Chinois Meizu remet ça avec un clone de l'iPod Nano.

Baptisé en toute simplicité Meizu M3, ce balladeur est très proche de l'iPod Nano en terme de dimension et de capacité (2, 4 ou 8 Go de mémoire flash), mais aussi de design (comparable à celui des premières générations de Nano). Du point de vue des fonctionnalités, il n'a pas à rougir face à son concurrent, bien au contraire. En plus de la lecture audio dans de nombreux formats (MP3, FLAC, OGG, WMA, WAV...), le M3 vous permettra d'écouter la radio (FM), mais aussi et surtout de lire des vidéos au format Xvid sur son écran couleur de 1.5". Le constructeur annonce une autonomie impressionante de 23h en musique, et environ 5 fois moins en vidéo.

Comme tout clone qui se respecte, il sera proposé à un prix défiant toute concurrence, puisque la version 8 Go devrait être proposé à environ 120$, soit un prix inférieur à celui du modèle 2 Go de la Pomme. A ce prix, vous devrez par contre vous passer de la fameuse molette tactile qui a fait le succès des iPod, remplacée ici par un simple slider tactile accompagné d'un bouton lecture/pause.

Depuis le rachat d'ATI par AMD, de nombreuses rumeurs faisaient état d'un intérêt soudain d'Intel pour le monde des cartes graphiques 3D, où Intel n'est présent que sur l'entrée de gamme, avec ces chipsets à puce graphique intégrée. Il est bien évident que voir son principal concurrent entrer sur ce marché via le rachat d'un des leaders à dû échauffer les esprits chez Intel, et leur donner une profonde volonté de riposter sur ce marché très actif et porteur en termes d'image.

Très vite, les annonces publiées sur le site d'Intel dans la section recrutement ont confirmé ces rumeurs, le fondeur ayant lancé une vague de recrutement d'architectes spécialisés dans le monde des cartes graphiques après avoir racheté Imagination, la société propriétaire de la technologie 3D PowerVR bien connue des joueurs aux tout début des accélérateurs 3D. Toutefois, le doute planait quand à la capacité du géant du CPU à débarquer sur le marché des cartes graphiques sans essuyer un échec dû à son manque d'expérience dans le domaine. Un tel scénario aurait bien entendu eu l'effet contraire à celui escompté par Intel en termes d'image.

Par la suite, une autre rumeur a commencé à courir : pour contrer le couple AMD-ATI, Intel lorgnerait tout simplement sur le seul vrai concurrent d'ATI, nVidia. Cette rumeur a été longtemps démentie par le Jen-Hsun Huan, le PDG de la firme au caméléon, qui disait vouloir garder son indépendance. Aujourd'hui, cela ne fait plus aucun doute, cette rumeur est vérifiée, les deux sociétés ayant annoncée ce matin leur fusion officielle. Il ne reste plus qu'à attendre que les actionnaires d'nVidia acceptent la transaction, ce qui ne fait quasiment aucun doute dans les conditions de rachat offertes par Intel sont intéressantes. Le fondeur offrirait en effet près de 45$ par action, alors que le cours actuel oscille entre 25 et 30$. Le montant total de la transaction s'élèverait donc à plus de 10 milliards de dollars, soit le double du prix payé par AMD pour s'offrir ATI.

Il est par contre encore trop tôt pour connaître précisément les conséquences de ce rachat sur le marché. Intel deviendrait quasiment sans concurrence sur le marché des chipsets destinés à ses processeurs, et pourrait, avec les chipsets nVidia d'un côté et ses propres chipsets de l'autre côté être le premier fondeur à disposer d'une gamme de chipsets supportant le Crossfire et le SLI (pour peur qu'Intel n'abandonne pas le support du Crossfire, concurrent de sa technologie SLI). Du côté d'AMD par contre, ce rachat est une terrible nouvelle. En effet, les chipsets nVidia sont sans conteste les meilleurs chipsets actuels pour la plateforme AMD, et le fondeur serait donc durement touché si Intel décidait de stopper la production des chipsets nForce pour plateformes Athlon 64. AMD va donc devoir redoubler d'efforts pour réaliser une gamme de chipsets complets et performants pour ses processeurs. Enfin, du côté des cartes graphiques, on peut craindre d'avoir de moins en moins de choix, avec une marque de carte graphique de plus en plus liées à la marque du processeur, même si ce scénario reste relativement pessimiste, chacun des deux fondeurs ayant tout intérêt à continuer à vendre des cartes graphiques pouvant fonctionner sur les plateformes du concurrent. Pour Apple par contre, les nouvelles sont probablement meilleures, puisque la marque à la Pomme pourra désormais faire appel à un fournisseur unique pour le processeur, le chipset, la solution réseau, la carte graphique... bref, des Mac quasiment tout-Intel, avec tous les avantages que cela implique en termes de stabilité et de coût de revient.

D'un point de vue plus social, de nombreuses questions restent également en suspens. Tout d'abord, il semble évident que des licenciements auront lieu chez nVidia et Intel pour optimiser les ressources humaines. Par ailleurs, de nombreuses autres entreprises risquent d'être touchées plus ou moins durement. Nous pensons notamment au fondeur TSMC, qui fabrique les GPU GeForce pour le compte de nVidia. En effet, nVidia pouvant désormais bénéficier des unités de production d'Intel, la firme devrait à l'avenir pouvoir se passer d'une bonne part de ses sous-traitants.

Enfin, il reste à voir jusqu'à quel point la synergie se fera entre les deux sociétés : s'oriente-t-on plutôt vers une marque unique (probablement Intel) vendant à la fois les cartes graphiques et les processeurs, où plutôt vers une situation inchangée, à savoir deux marques bien distinctes sur le marché, mais toutes deux rattachées à la même maison mère ? L'avenir nous le dira, mais il faudra attendre que l'effet de bombe provoqué par ce rachat s'estompe afin d'avoir une vision plus claire sur les intentions futures d'Intel et nVidia.