Vous l'avez peut-être déjà remarqué : une nouvelle rubrique "Actualités du web" est apparue dans le menu de droite sur la page d'accueil d'Infobidouille.

Dans cette rubrique, vous retrouverez des liens vers des actualités publiées par nos confrères, que nous avons trouvés intéressantes, mais que nous n'avons pas forcément eu le temps de développer dans nos actualités.

Tous les membres inscrits peuvent également poster les liens qu'ils estiment digne d'intérêt via le formulaire prévu à cet effet.

En 2006, Online avait frappé très fort avec son offre d'hébergement Dedibox, proposant un serveur dédié à un prix jamais vu. Une offre qui avait ensuite été concurrencée par d'autres hébergeurs, dont OVH. Aujourd'hui, la filiale d'Iliad revient au premier plan, avec des offres encore plus agressives !

L'hébergeur a en effet dévoilé sa nouvelle gamme d'hébergement dédié, découpées en deux catégories : START et PRO. Dans la première gamme, on retrouve en premier prix la Dedibox SC (équivalent de la Dedibox originale, avec son processeur Via Nano 1.6 GHz et ses 160 Go de RAM, mais avec 2 Go de RAM au lieu d'un seul et une connectivité à 1 Gbit/s au lieu de 100 Mbit/s) pour seulement 14€99 HT/mois et la Dedibox Classic, qui reprend la configuration de l'ancienne Dedibox XL RAID (processeur Core 2 Duo 2 GHz, 3 Go de RAM, 2x500 Go de disque dur, connectivité 100 Mbits/s) pour 29€99 HT/mois.

Cette gamme est complétée par deux nouveaux serveurs :

• Dedibox DC à 39€99 HT/mois : châssis Dell PowerEdge R210 avec processeur double-cœur Core i3 530 à 2.93 GHz, 4 Go de RAM, 2x1 To de disque dur SATA, contrôleur RAID matériel et connectivité 1 Gbit/s,
• Dedibox QC à 44€99 HT/mois : châssis Dell PowerEdge R210 avec processeur quadri-cœur Xeon X3450 à 2.66 GHz, 8 Go de RAM, 2x1 To de disque dur SATA, contrôleur RAID matériel et connectivité 1 Gbit/s.

La gamme pro se constitué pour sa part de cinq offres entièrement nouvelles :

• Dedibox EG à 49€99 HT/mois : châssis Dell PowerEdge R210 avec processeur quadri-cœur Xeon L3426 à 1.86 GHz, 16 Go de RAM, 2x2 To de disque dur SATA, contrôleur RAID 0/1 matériel et connectivité 1 Gbit/s,
• Dedibox MG à 99€99 HT/mois : châssis Dell PowerEdge R410 avec deux processeur quadri-cœur Xeon E5620 à 2.4 GHz, 24 Go de RAM, 2x2 To de disque dur SAS, contrôleur RAID 0/1 matériel et connectivité 1 Gbit/s,
• Dedibox HG à 379€99 HT/mois : châssis Dell PowerEdge R510 avec deux processeur quadri-cœur Xeon E5620 à 2.4 GHz, 24 Go de RAM, 12x2 To de disque dur SAS, contrôleur RAID 5/6 matériel et connectivité 1 Gbit/s,
• Dedibox Storage 729€99 HT/mois : châssis Dell PowerEdge R510 avec deux processeur quadri-cœur Xeon E5620 à 2.4 GHz, 24 Go de RAM, 24x2 To de disque dur SAS, contrôleur RAID 5/6 matériel et connectivité 1 Gbit/s,
• DediRack pour 299€ HT/mois : location d'un emplacement 11U avec 32 adresses IP, 1 Gbit/s de bande passante et une alimentaion 1 KVA.

L'offre mutualisée évolue également légèrement, avec par exemple une offre à 5€99 HT/mois comportant un espace de stockage illimité.

Un responsable de chez Microsoft a dévoilé quelques chiffres concernant Windows Phone 7, qui était censé marquer le grand retour de Microsoft sur le marché des smartphone, après que Windows Mobile ait été quelque peu bousculé par l'iPhone et par Android...

Mais au vu des chiffres, certains doivent faire la grimace du côté de Redmond... En effet, si Microsoft insiste sur le fait que 93% des utilisateurs de son système en sont satisfait et que neuf utilisateurs sur dix seraient prêt à le recommander à leur entourage, ces chiffres ne cachent pas les très mauvais résultats du système en termes de ventes...

En effet, après trois mois de commercialisation, à peine 2 millions d'appareils seraient arrivés chez les distributeurs, et Microsoft ne communique pour l'instant pas sur le nombre d'appareils passés des distributeurs aux clients finaux... Et ce ne sont pas les chiffres du Marketplace qui vont redonner des couleurs à Microsoft, puisque la boutique ne comporte pour l'instant que 6 500 applications, malgré 24 000 développeurs enregistrés !

À titre de comparaison, sur la même période, Apple a écoulé pas moins de 16 millions d'iPhone, tandis que HTC, qui utilisait exclusivement Windows Mobile il y a quelques années, approche des dix millions d'appareils par trimestre grâce au succès de ses smartphones Android.

Sony a dévoilé ce matin sa future console portable, qui porte pour l'instant le nom de code de Next Gen Portable. Les spécifications annoncées sont très proches de celles révélées hier par 01net, à quelques détails près.

En effet, si l'intérieur est bien conforme aux attentes, avec un processeur ARM Cortex A9 quadri-cœur et un PowerVR SGX 543MP+, l'aspect extérieur en a surpris plus d'un. En effet, alors que presque tout le monde s'attendait à un design proche de celui de la PSP Go, Sony est en fait revenu a une forme quasi identique à celle de la toute première PSP.

Si les contrôles habituels (croix, boutons, joysticks, gâchettes) sont bien entendu toujours présents, la PlayStation NGP fait la part belle au tactile, avec une nouvelle interface graphique exploitant l'écran tactile, mais aussi une seconde surface tactile au dos de la console.

Autre surprise, alors que la PSP Go s'appuyait sur des jeux entièrement dématérialisés, la NGP revient à un support physique qui permettra d'acheter les jeux en magasins. Il est vrai que la PSP Go n'a pas connu un grand succès, ce qui a pu refroidir les ardeurs de Sony pour la dématérialisation... Il s'agira par contre de cartouches mémoire, comme sur la DS, et non plus de disques optique, comme les UMD de la PSP.

Enfin, Sony a annoncé le lancement en 2012 de l'application PlayStation Suite, qui sera disponible pour NGP, mais aussi pour tous les appareils Android. Celle-ci donnera accès à de nombreux titres issus du catalogue de la PlayStation première du nom.

HTC a présenté un concept original de smartphone, le HTC Tube, qui a la particularité d'être évolutif, grâce à une séparation en deux éléments indépendants se glissant l'un dans l'autre pour former un appareil complet et fonctionnel.

L'élément extérieur regroupe une coque en alliage de magnésium, un grand écran couvrant toute la surface (4.65" Super-AMOLED 1392x785, dont 112x785 réservés pour afficher des boutons virtuels) et la connectique (HDMI, micro-USB). Le tout pèse 52 grammes pour des dimensions de 113x62x9mm.

L'élément interne, qu'HTC appelle la cartouche, comporte la mémoire de stockage, la caméra et son flash à double LED, les contrôleurs réseau (Wi-Fi, 3G, Bluetooth), le GPS, la boussole, la sortie audio, le processeur, la RAM, la batterie (1800 mAh)... Les dimensions sont de 108x60.5x9mm pour un poids compris entre 85 et 113 grammes.

À titre d'exemple, HTC donne trois configurations type de cartouche :

• Starter Edition : processeur Qualcomm Snapdragon 800 MHz, Android 2.2, 384 Mo de RAM, 8 Go de flash, caméra 3.2MP, 85 grammes,
• Smart Edition : processeur Qualcomm Snapdragon 1 GHz, Windows Phone 7, 576 Mo de RAM, 16 Go de flash, caméra 5MP avec enregistrement vidéo 720p, 99 grammes,
• Ultimate Edition : processeur Qualcomm Snapdragon double-cœur 1.5 GHz, double boot Android 2.2 et Windows Phone 7, 1 Go de RAM, 64 Go de Flash, caméra 12MP avec enregistrement vidéo 1080p, 113 grammes.

Reste à voir si HTC poussera le concept jusqu'à la commercialisation et surtout, si c'est le cas, à quel prix...

Vous avez sans doute déjà entendu parler des femtocells, des mini-cellules de réseau mobile (quelques dizaines de mètres de portée) permettant de couvrir à moindre coût un domicile à la campagne, ou de densifier le réseau en ville. Avec les attocells, Ubiquisys vous promet la possibilité d'emmener votre opérateur mobile à l'étranger !

Les attocells sont des cellules à la portée encore plus réduite, se mesurant en dizaines de centimètres, voir en millimètres. Le but est de pouvoir les installer partout, quelques soit les réseau présents, la faible portée garantissant de ne pas perturber les voisins. La cellule adapte même sa puissance d'émission en fonction de la législation locale, pour rester dans les gammes de puissance ne nécessitant pas une autorisation d'émission.

Le principal intérêt du système concerne surtout les voyageurs : en emmenant votre attocell avec vous, il vous suffira de la connecter n'importe où dans le monde à un ordinateur connecté à Internet et disposant d'un port USB pour créer une minuscule cellule rattachée au réseau de votre opérateur, et ainsi pouvoir téléphoner au même tarif que si vous étiez sur le territoire national ! Fini le roaming hors de prix ou le passage par une carte SIM pré-payée locale.

Reste à voir comment cette solution sera accueillie par les opérateurs, sachant qu'elle pourra difficilement fonctionner sans leur accord. Pas sûr qu'ils voient d'un très bon œil la baisse des revenus tirés du roaming...

Très attendue par les joueurs nomades, la PSP2 de Sony commence petit à petit à se dévoiler, avant la présentation officielle qui serait imminente, pour une sortie en fin d'année.

Selon 01net, qui a décortiqué le kit de développement de la future console portable, la PSP2 devrait ressembler à la PSP Go, mais avec un écran plus grand et mieux défini (5" 960x544 contre 4.3" 480x272) et utilisant une dalle OLED. Le processeur serait un ARM Cortex A9 quadri-cœur fonctionnant à 1 ou 1.2 GHz. Une puce 4 fois plus puissante que celle de la PSP actuelle. La mémoire vive ferait un bon en capacité, avec 512 Mo. C'est 16 fois plus que sur la PSP originale et 8 fois plus que sur la PSP Go. Côté 3D, on retrouvera également une puce à quatre cœurs, le PowerVR SGX 543 MP+. Selon nos confrères de 01net, ce serait la puce 3D la plus puissante jamais installée dans un appareil mobile.

Le stockage s'effectura sur cartes SDHC et sur les 16 Go de mémoire flash interne, tandis que l'UMD serait définitivement abandonné. Le reste des caractéristiques est digne d'un smartphone haut de gamme : Wi-Fi, Bluetooth, 3G, caméras arrière et frontale, accéléromètres, GPS... La connectivité Bluetooth pourra notamment être utilisée pour connecter la PSP2 à un smartphonne et profiter ainsi de sa connexion Internet.

Le prix devrait se situer entre 250 et 300€, avec un lancement en novembre 2011.

Jusqu'à présent surtout connu pour ses cartes graphiques, Sapphire se diversifie avec un mini-PC, l'Edge HD Mini 4H000-01-40G (c'est la machine qui est mini, pas son nom...), présenté par son constructeur comme le plus petit ordinateur du monde.

Cette affirmation n'est pas complètement vraie, mais on n'est toutefois pas très loin de la vérité, la machine affichant des dimensions particulièrement réduite : 19.3 centimètres de longueur, 14.8 de largeur, et à peine 2.2 centimètres d'épaisseur pour un poids total de 530 grammes !

Avec de telles dimensions, ils ne faut bien sûr pas s'attendre à des miracles question puissance, la machine se contentant d'un processeur Intel Atom D510 (double cœur à 1.66 GHz) et de 2 Go de RAM. Bonne surprise toutefois, la partie graphique n'est pas confiée à l'IGP Intel mais à une puce nVidia ION2 accompagnée de 512 Mo de RAM. Le nom Edge HD n'est donc pas usurpé, cette puce étant parfaitement à l'aise pour décoder les vidéos 1080p.

Le boîtier contient un disque dur 2.5" de 250 Go et la connectivité est plutôt complète également, avec un port RJ-45 Gigabit Ethernet, le Wi-Fi N, une sortie VGA, une sortie HDMI, quatre ports USB 2.0 et des entrées et sorties audio analogiques.

L'Edge HD est disponible immédiatement, pour un prix de l'ordre de 290€. Notez toutefois que si la machine est bien livrée prête à l'usage avec un OS préinstallé, il faudra tout de même installer son propre système, à moins d'être prêt à se contenter de... DOS (plus précisément, FreeDOS).

Très populaire sur le marché des smartphones, principalement grâce à ses différents modèles sous Android, le taïwanais HTC ne compte pas laisser de côté le marché naissant des tablettes, et va présenter sa première tablette dans quelques jours.

Baptisée Flyer, elle sera dotée d'un écran 7" (1024x600) et d'une configuration très proche de celle du smartphone Desire HD : processeur Qualcomm Snapdragon à 1 GHz, 3G, Wi-Fi, deux caméras (le Desire HD n'en a qu'une).

Le système d'exploitation sera bien entendu Android, tout d'abord en version 2.3 (Gingerbread), puis en version 3 (Honeycomb) via une mise à jour gratuite.

Elle sera présentée plus en détail au Mobile World Congres 2011, qui se tiendra à Barcelone du 14 au 17 février.

Orange a annoncé que, comme chez Free et chez SFR, ses clients Internet pourront bientôt bénéficier de la téléphonie mobile illimitée, sous réserve d'être abonné à l'une des offres quadruple play ou triple play éligible.

Du côté du quadruple play, les offres Open 1, Open 2, Open 3 et Open 24/7 sont concernées, avec une hausse de tarif de 5€ par mois. L'offre Open Mini augmentera pour sa part de 10€, mais sans téléphonie mobile illimitée... Notez également que la partie téléphonie illimitée vers les mobiles ne concerne que les appels passés depuis la ligne ADSL, et non les appels passés depuis la ligne mobile, sauf pour le forfait Open 24/7, qui était déjà illimité auparavant.

Côté triple play, les titulaires d'abonnements Net Plus, Formule Plus et Fibre pourront souscrire à partir du 15 février à une option téléphonie illimitée vers les mobiles, facturée 3€ par mois, soit le même tarif que chez SFR.

Le moins que l'on puisse dire, c'est que Xavier Niel a réussi son coup, lui qui avait annoncé lancer la téléphonie illimitée vers les mobiles pour mettre la pression sur les autres opérateurs. La patron de Free s'est toutefois un peu fait prendre à son propre jeu, puisque même si officiellement, l'offre de téléphonie mobile illimitée est incluse dans le forfait, elle s'est traduite par une hausse de 6€ mensuels pour la plupart des abonnés, soit un tarif deux fois plus élevé que chez SFR et Orange... Il sera intéressant de voir si Free va riposter par une baisse de prix ou plutôt écorner un peu son image d'opérateur tout compris le moins cher et s'orienter vers un positionnement plus haut de gamme.