Annoncé en janvier lors du CES, l'Eee Pad Slider d'Asus devait être une tablette Android 3.0 à clavier coulissant basée sur une plateforme nVidia Tegra 2, comme l'Eee Pad Transformer qui commence petit à petit à être disponible dans différents pays. Mais la Slider pourrait finalement adopter la plateforme Intel Oak Trail...
En effet, dans le kit presse proposé par Intel pour cette plateforme, le fondeur présente l'Eee Pad Slider comme étant une tablette exploitant la plateforme Oak Trail... Le kit presse évoquait également une autre tablette chez Asus, dans un format un peu plus classique. La présence de ces tablettes Asus dans le kit presse d'Intel est visiblement une erreur, le kit ayant rapidement été mis à jour par Intel pour supprimer toute référence à ces deux produits. Reste à voir si l'erreur était simplement une mise en ligne anticipée par rapport aux annonces d'Asus, où carrément une annonce erronée sur l'utilisation de la plateforme Oak Trail dans ces produits.
Pour rappel, la plateforme Oak Trail a été lancé il y a peu par Intel et vise principalement à imposer l'architecture x86 dans le monde des tablettes, avec le processeur Atom Z670 qui l'équipe. Si Asus sortait effectivement une Slider à base d'Atom, il sera donc intéressant de comparer ses performances et son autonomie à celles de la Transformer, pour voir qui de Oak Trail ou de Tegra 2 s'en tire le mieux en exploitant la même couche logicielle...
Mise à jour le 19/04/2011 à 22h20 : Asus a finalement confirmé travailler sur une tablette exploitant la plateforme Oak Trail. Mais Intel a tout de même fait une erreur dans son kit presse, la tablette Oak Trail d'Asus n'était pas l'Eee Pad Slider, mais un nouveau modèle non encore présenté par le taiwanais, tandis que la Slider conservera bien le Tegra 2 initialement prévu.
Actu originale : 19/04/2011 à 12h30
Posté par Matt le 19/04/2011 à 22h20
Aucun commentaire
Sources : Tom's Hardware
Annoncé par les rumeurs depuis plus d'un an et visiblement déjà bien avancé dans son développement, le service Google Music pourrait bien ne jamais voir le jour, ou en tout cas pas sous la forme que Google envisageait...
En cause, les industriels de la musique, avec lesquels Google n'aurait pas réussi à s'entendre sur les modalités tarifaires de son service. Selon certaines sources, Google envisageait, en plus de la vente de musique, de proposer un service de stockage en ligne, comme le fait Amazon avec Cloud Player, où l'utilisateur pourrait stocker ses propres fichiers musicaux pour y accéder de n'importe où en streaming. Alors que Google comptait offrir gratuitement une première tranche d'espace, les majors souhaiteraient que Google facture cet espace à l'utilisateur dès le premier octet...
Ces réticences des majors pourraient même pousser Google à changer totalement le principe de son service, en en faisant un simple service de stockage de données en ligne, sans orientation particulière pour la musique.
Posté par Matt le 19/04/2011 à 14h50
Aucun commentaire
Source : Le Journal du Geek
Très controversée lors de son élaboration, la loi Hadopi pourrait bien être au cœur des débats lors de prochaines présidentielles, qui se tiendront en avril et en mai 2012. Ainsi, après que le Parti Socialiste ait évoqué son abrogation dans son projet de programme, c'est au tour de Dominique de Villepin, candidat République Solidaire et ancien Premier Ministre d'évoquer une adaptation de l'Hadopi...
Ainsi, pour DdV, "la culture doit être un bien public accessible à tous les citoyens grâce à un service public de la culture". En clair, l'ancien Premier Ministre souhaite mettre en place un système de licence globale. Pas question toutefois pour lui de supprimer l'Hadopi, qui serait conservée pour éviter certains abus.
L'idée de DdV serait en fait d'autoriser le téléchargement gratuit des œuvres sur les réseaux P2P et sur des sites à caractère non lucratif (dépourvus de publicités), mais uniquement après un certain délai d'exploitation commerciale. Pour les films par exemple, le candidat évoque une libre diffusion sur les réseaux P2P à partir de 4 mois après la sortie en salle. Ce délai correspond actuellement au minimum légal séparant la sortie en salle de la sortie den DVD et VOD.
L'Hadopi serait donc là uniquement pour réprimer les échanges d'œuvres récentes et pour traquer les sites de téléchargement à caractère lucratif, tandis que le système de licence globale collecterait des fonds reversés aux ayant-droits pour compenser le manque à gagner. DdV ne semble par contre pas avoir évoqué comment la répartition des sommes prélevées serait calculé. Ce point pourrait pourtant être crucial pour faire accepter un tel système par les ayant-droits.
Du côté du PS, le projet est un peu plus clair à ce sujet, puisque, sans évoquer le mode de répartition, il précise le mode de prélèvement (sur les factures Internet), mais aussi et surtout, le caractère non systématique de cette licence : les ayant-droits auraient le choix entre accepter le système de licence globale, et donc autoriser le libre échange de leurs œuvres en échange d'une part de la rémunération, ou interdire ce libre échange, mais renoncer à toute rémunération autre que les ventes.
Il sera intéressant de voir les positions des autres candidats sur le sujet, qui sera probablement très difficile à éviter pendant la campagne, et pourrait même être un point particulièrement important pour attirer des électeurs. Mais encore une fois, il ne faudra pas oublier que les promesses de campagne n'engagent généralement que ceux qui y croient...
Posté par Matt le 19/04/2011 à 10h31
Aucun commentaire
Source : PCInpact
Suite au rachat de Sun par Oracle, des divergences d'opinion entre Oracle et la communauté sur l'avenir de la suite bureautique OpenOffice avaient fini par donner naissance à LibreOffice, un dérivé d'OpenOffice entièrement contrôlé par la communauté, tandis qu'Oracle gardait le contrôle d'OpenOffice, en proposant une version commerciale de la suite.
Finalement, quelques mois après cette séparation, Oracle a annoncé sa décision d'abandonner la version commerciale d'OpenOffice, tant décriée par la communauté. Conséquence de cet abandon, Oracle va replacer le projet OpenOffice sous le contrôle de la communauté. Reste à voir si cette nouvelle communauté OpenOffice saura attirer les développeurs... En effet, le gros des troupes à quitté le projet originel pour rejoindre LibreOffice, et il est loin d'être certain qu'ils refassent le chemin inverse.
Cette décision pourrait aussi attirer sur Oracle les foudres des autorités de régulation de la concurrence. En effet, pour que celles-ci approuvent l'opération, Oracle avait pris des engagements sur l'avenir d'OpenOffice et de MySQL. Or, il est désormais certains que ces engagements sur OpenOffice ne seront pas tenus, tandis que ceux sur MySQL semblent pour l'instant mal partis pour être tenus...
Posté par Matt le 19/04/2011 à 08h02
3 commentaires
Source : Silicon.fr
Moins d'un an après la commercialisation de sa mémoire flash gravée en 25nm, IMFT (une joint-venture entre Intel et Micron) vient d'annoncer préparer une nouvelle génération de mémoire flash NAND, gravée en 20nm.
D'une capacité de 8 Go, la première puce adoptant cette finesse de gravure n'occupe plus que 118mm² sur un wafer de silicium, contre 167mm² pour son équivalent en 25nm. Le gain en surface est donc de près de 30%, ce qui devrait se traduire par une baisse de prix du même ordre.
Par ailleurs, le fondeur a annoncé que cette nouvelle finesse de gravure devrait permettre d'atteindre les mêmes durée de vie qu'en 25nm, soit entre 3000 et 5000 cycles écriture-effacement pour les mémoires MLC à 2 bits par cellule. Enfin, ces nouvelles puces étant très proches des puces 25nm, leur adoption ne devrait nécessiter que des modifications mineures des produits les utilisant. Elles pourraient donc se répandre rapidement dans les produits à base de mémoire flash.
La fabrication débutera dans l'usine de Lehi (Utah). Intel et Micron adapteront ensuite les usines de Manassas (Virginie) et de Singapour à cette nouvelle finesse, au fil de la hausse de la demande.
Posté par Matt le 18/04/2011 à 14h51
Aucun commentaire
Source : PCWorld
Introduit il y a une quinzaine d'années, le format actuel de la Carte Nationale d'Identité ne donne plus satisfaction en terme de sécurité, ce qui donne lieu à de nombreuses fraudes et usurpations d'identité. Le gouvernement travail donc à un nouveau format, plus sécurisé.
Celui-ci devrait faire la part belle à l'électronique. Le gouvernement projette en effet d'incorporer dans la future carte d'identité une puce qui stockera différentes informations sur l'identité du titulaire de la carte : nom, prénom et date de naissance bien sûr, mais aussi photo numérisée et informations biométriques, comme les empreintes digitales, la taille, la couleurs des yeux et des cheveux, etc.... Si cette puce est correctement sécurisée, il sera donc très difficile de falsifier les cartes à ce format.
Plus intéressant pour les internautes, la carte pourrait, en option, contenir une signature numérique. Celle-ci permettrait par exemple de s'identifier de façon sécurisée sur un site Internet pour effectuer des achats, consulter ses comptes, ou encore échanger des courriers sécurisé. Ceci nécessiterait bien entendu de disposer d'un lecteur de cartes à puces sur l'ordinateur, mais ce genre d'appareil est d'ores et déjà disponible à très bas prix (la société de transport en communs de Grenoble en propose par exemple à ses usagers pour à peine 3€).
Posté par Matt le 18/04/2011 à 12h50
Aucun commentaire
Source : 01Net
Depuis quelques années, les cartes graphiques nVidia et AMD se retrouvent de plus en plus souvent dans des calculateurs, en exploitant le principe du GP-GPU, qui consiste à utiliser la puissance des GPU pour effectuer des calculs non graphiques. Intel répond enfin à ce concept, avec son "Many Integrated Core", présenté lors du dernier IDF.
Many Integrated Core (MIC) est probablement une résurgence du projet Larrabee, abandonné depuis quelques temps déjà. Ce dernier consistait à mettre au point un GPU basé sur un grand nombre de petits cœurs x86. Et c'est exactement ce que propose MIC : une carte de calcul prenant place sur un port PCI-Express et contenant pas moins de 50 cœurs x86, gravés en 22nm.
Selon Intel, cette solution aura l'avantage d'être plus simple à utiliser que les solutions GP-GPU car, utilisant un jeu d'instruction x86, elle pourra être exploitée avec les outils de développement habituels. Bien que la puissance brute soit inférieure, cette solution a également l'avantage d'une grande indépendance entre les cœurs, alors que sur un GPU, les unités de calcul sont regroupés en "cluster", toutes les unités d'un même cluster devant traiter la même opération (mais sur des données différentes).
D'ici la fin de l'année, une centaine d'exemplaires de pré-série seront fournis par Intel a certains de ses partenaires. La date de sortie définitive n'a par contre pas été communiquée, et Intel n'a pas non plus évoqué de plans pour transformer MIC en carte graphique.
Posté par Matt le 18/04/2011 à 11h11
Aucun commentaire
Source : Clubic
Pour obtenir sa précieuse licence 3G, Free Mobile s'était engagé à fournir une couverture de 25% pour le lancement de l'offre en 2012, puis d'étendre cette couverture à 90% avant 2018. L'opérateur souhaite toutefois aller plus loin, et dépasser les taux de couverture actuels de ses concurrents.
En effet, Maxime Lombardini, directeur général d'Iliad, a indiqué que Free Mobile ambitionne une couverture de 99% en 2018. Selon les dernières mesures publiées par l'ARCEP en début d'année, les taux de couverture actuels d'Orange, SFR et Bouygues Télécom sont respectivement de 91%, 88% et 75%.
Pour arriver à ce résultat, Free Mobile envisage le déploiement d'au moins 9000 antennes-relais. Ces déploiement pourraient notamment se faire sur les sites actuellement exploités par Orange, ou encore ceux utilisés par Télédiffusion de France pour la diffusion de la TNT.
Avec un tel taux de couverture, Free Mobile aurait un bel argument pour vendre son offre. Reste à voir si l'opérateur sera capable d'atteindre ce niveau... Rappelons également qu'en téléphonie mobile les taux de couverture se mesurent en pourcentage de la population, et non en pourcentage du territoire, donc un taux de 99% peut tout de même laisser de larges zones blanches dans les campagnes.
Posté par Matt le 18/04/2011 à 08h47
2 commentaires
Source : Tom's Guide
Malgré sa popularité, le service Spotify, qui permet d'accéder gratuitement à un large catalogue de musique en streaming, semble souffrir d'un modèle économique insuffisant à satisfaire ses besoins. En conséquence, l'accès gratuit au service est de plus en plus limité...
À ses débuts, le service proposait l'écoute en streaming illimité pour tous les inscrits, mais les utilisateur d'un compte gratuit devaient accepter quelques publicité en contrepartie, parfois sous formes d'images dans l'interface de Spotify, parfois sous forme de spot audio diffusé entre deux titres. Mais depuis un an environ, les utilisateurs d'un compte gratuit ont été limités à 20h d'écoute par mois.
Aujourd'hui, Spotify envisage de réduire encore plus cette limite, pour tenter d'équilibrer son financement. La limite passerait ainsi à seulement 10h par mois, tandis qu'une nouvelle règle limiterait à cinq par mois le nombre d'écoutes autorisées pour un même titre. Ces nouvelles restrictions devraient inciter certains utilisateurs à opter pour l'abonnement Unlimited à 5€ par mois, qui supprime ces limitations et les publicités, voir pour l'abonnement Premium à 10€, qui permet en plus d'accéder au service depuis un mobile, de bénéficier d'une meilleure qualité et d'un accès hors connexion.
C'est toutefois un pari risqué pour Spotify, qui pourrait perdre quelques clients avec ces nouvelles restrictions, qui pourraient rendre le service moins attractif que certains de ses concurrents.
Posté par Matt le 15/04/2011 à 16h00
Aucun commentaire
Source : Übergizmo
Même si le rythme de mise à jour à diminué, Free continue de travailler sur les firmwares de la Freebox Révolution, et a publié hier une nouvelle mise à jour du firmware du boîtier Free Player, qui passe à la version 1.0.3.3.
Freebox Player
Nouvelles fonctionnalités
- Ajout des portails Disney, ABC, INA et MyZen.tv dans la Vidéo à la demande.
Corrections
- Plantage lors de la lecture des bandes-annonces de certains DVD (FP #3580),
- Impossible de jouer un CD audio après la lecture d’un DVD (FP #6020),
- Impossible de provisionner le compte sur Duo Sexy,
- Freebox Player bloqué au démarrage lorsqu’un disque dur eSATA est branché.