Le passage de 2010 à 2011 n'a pas été sans soucis pour certains abonnés Orange, qui ont vu leurs SMS de vœux être délivrés et facturés à plusieurs exemplaires. Un bug qui n'avait affecté que les SMS envoyés de clients Orange vers des clients Bouygues.
Ce dernier s'était défendu d'être à l'origine du problème, tandis qu'Orange tentait de reporter la responsabilité sur son concurrent. L'un des arguments de Bouygues était notamment le fait que le problème a également affecté certains de ses clients situés à l'étranger. Or, lors d'un envoi de SMS d'un opérateur vers le mobile d'un autre opérateur en roaming sur un opérateur étranger, le SMS passe directement du réseau de l'expéditeur au réseau étranger en roaming, sans transiter par le réseau de l'opérateur du destinataire...
Peu satisfait de ces explications, Orange continue d'accuser Bouygues d'être le responsable du problème. Orange l'accuse désormais également d'avoir nuit à son image en refusant d'assumer l'erreur. L'opérateur historique a donc déposé une plainte contre Bouygues, et réclame plusieurs millions d'euros de dommages et intérêts.
Un moyen pour l'opérateur de récupérer une partie de l'argent perdu à cause de la hausse de TVA ?
Posté par Matt le 19/02/2011 à 17h20
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Source : Univers Freebox
Lorsque les premiers "netbooks" avaient été lancé, Psion, le propriétaire de ce nom s'était manifesté, réclamant des royalties, et Intel avait finalement fait un gros chèque pour s'approprier le nom, et permettre à tous les constructeurs de l'utiliser librement. SmartBook n'a pas eu la même chance...
En effet, lorsque Qualcomm a présenté son concept de "smartbook", un sorte de netbook allégé, basé sur une plateforme ARM, l'allemand SmartBook s'était empressé d'attaquer l'américaine, espérant sans doute tirer une forte somme de ce nom si le concept de smartbook était devenu populaire.
Mais la justice allemande a finalement tranché en faveur de Qualcomm, qui peut donc désormais utiliser librement ce nom, sans risque de poursuite de la part de SmartBook.
Reste à voir si cette issue favorable à Qualcomm aidera à relancer le concept, qui n'a pas eu grand succès depuis. Il pourrait toutefois être relancé grâce aux tablettes tactiles hybrides, comme les Asus Eee Pad Slider et Eee Pad Transformer, qui se rapprochent grandement du concept des smartbooks lorsqu'elles sont utilisées avec leur clavier.
Posté par Matt le 18/02/2011 à 10h15
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Source : PCWorld
Free a publié ce soir un nouveau firmware pour son boîtiers Freebox Server, qui passe à la version 1.0.3. Le bilan de cette version est malheureusement moins positif que celui des versions précédentes : moins de bugs ont été corrigés, et certains se plaignent d'importantes régressions...
Nouvelles fonctionnalités :
- ajout d’une page de gestion du switch ethernet (statistiques, réglages des débits...),
- support des tables de partitions GPT/EFI,
- ajout d'un serveur de temps NTP accessible sur le réseau local.
Corrections :
- téléphone passe automatiquement sur messagerie (FP #5213),
- double répertoire "enregistrements" (FP #4239),
- flux TNT non disponible dans VLC si option multi-tv (FP #5100),
- filtres ne fonctionnent plus après reboot (FP #5205),
- reboot du Freebox Server pendant un transfert WiFi (FP #3663),
- échec de l’enregistrement (FP #5333),
- Multi TV : pas d’accès réseau (FP #3638).
Le Wi-Fi n'est par contre pas à la fête avec cette nouvelle version. En effet, selon plusieurs témoignages, le mode 802.11n 40 MHz ne fonctionne plus correctement : le réseau Wi-Fi reste visible, mais impossible de s'y connecter. Il est nécessaire de passer en 20 MHz, ce qui engendre généralement des fortes baisses de débit.
Posté par Matt le 17/02/2011 à 22h15
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Source : L'actualité de la Freebox
Après SFR et Free, c'est au tour de Bouygues Telecom de lancer son réseau Wi-Fi communautaire, qui permettra à ses abonnés Bbox de profiter de nombreux points d'accès Wi-Fi pour le surf nomade.
Comme chez les deux autres opérateurs, le système fonctionnera sur le principe du "donnant-donnant" : les abonnés pourront profiter des connexions partagées d'autres abonnés, à condition de partager leur propre accès. Les utilisateurs du Wi-Fi partagé seront sur un réseau privé indépendant de celui du partageur, ce qui devrait éviter d'éventuels soucis avec l'HADOPI.
Reste à voir si, comme chez SFR, les hot-spots seront également ouverts aux abonnés mobiles, ce qui peut être un plus non négligeable.
On peut également s'attendre à ce qu'Orange finisse aussi par lancer ce genre de services, l'opérateur historique étant désormais le seul "gros" à ne pas disposer d'un réseau Wi-Fi communautaire.
Posté par Matt le 16/02/2011 à 11h50
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Source : Génération NT
Dans le cadre de la lutte contre le piratage, l'HADOPI est arrivée avec un temps de retard sur la technologie : adaptée uniquement aux réseaux P2P, elle n'a fait qu'engendrer une migration massive vers les sites de téléchargement direct, au grand dam des FAI, pour qui ce type de services est plus coûteux que le P2P.
Dans un rapport sur la lutte contre la contrefaçon, deux sénateurs, un UMP et un PS, évoquent quelques idées de futures législation qui pourraient permettre de traquer les utilisateurs de sites de téléchargement direct.
En effet, alors qu'aujourd'hui un site ne peut être contraint de communiquer les informations qu'il détient sur ses utilisateurs qu'en cas de contrefaçon avérée (donc après que la justice ait constaté une contrefaçon), les deux sénateurs proposent d'étendre cette règle pour qu'elles s'applique aussi au cas de suspicion de contrefaçon, et non plus seulement aux contrefaçons avérés.
Il serait ainsi possible, par exemple, de réclamer aux sites de téléchargement direct la liste de leurs utilisateurs, quelques soient l'usage qu'ils ont fait. La plupart étant hébergés à l'étranger, il sera toutefois difficile de les convaincre, à moins de les menacer d'appliquer la loi LOPPSI pour interdire l'accès à ces sites en France... Les FAI pourraient également être forcés à communiquer l'identité de leurs abonnés fréquentant de tels sites, là encore sans que le moindre acte de contrefaçon ait été préalablement constaté...
Posté par Matt le 15/02/2011 à 12h20
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Source : Numerama
Dans les débats sur le piratage, il existe un argument qui est repris plus d'une fois pour justifier le piratage : le côté pratique de l'offre pirate, avec des contenus disponibles rapidement, par rapport à une offre légale à la disponibilité variable et plombée par des messages publicitaires, des messages contre le piratage et des DRM...
S'appuyant sur cet argument, un groupe d'amateurs de cinéma a mis en ligne un manifeste baptisé "Don't make me steal" ("Ne me poussez pas à voler"). Le but ? S'engager à ne plus pirater les œuvres pour lesquels une offre légale respectant différents critères sera proposée.
Les revendications sont simples :
- un prix n'excédant pas le tiers d'une place de cinéma pour les locations et le prix d'une place de cinéma pour les ventes,
- des offres illimitées n'excédant pas le prix de trois places de cinéma par mois,
- au moins trois épisodes de série pour le prix d'un film,
- toutes les langues incluses dans le prix,
- les contenus doivent être disponibles immédiatement après leur achat,
- pas de pub, pas de messages contre le piratage,
- un moteur de recherche efficace et multi-critères,
- date de sortie unique pour le monde entier,
- pas de restrictions géographiques,
- catalogue exhaustif,
- contenus compatibles avec toutes les plateformes, sans dégradation,
- pas de DRM pour les achats (ils restent bien sûr acceptés pour les locations).
Des revendications qui font rêver, même s'il y a malheureusement peu de chance que les signataires obtiennent gain de cause...
Si vous vous retrouvez dans ces revendications, vous pouvez aller signer la pétition sur le site Don't Make Me Steal.
Posté par Matt le 15/02/2011 à 10h40
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Source : PCWorld
Avec la multiplication des services Google, la quantité de données stockées dans un compte Google va croissante, alors que toutes ces données sont accessibles avec un seul et même mot de passe. Pour mieux les protéger, Google est en train de déployer une mise à jour de ses services permettant une authentification en deux étapes.
Une fois cette authentification renforcée activée (ce qui restera optionnel, au moins dans un premier temps), l'identifiant et le mot de passe ne donneront plus directement accès au compte Google. Il faudra en plus entrer un code de vérification qui pourra être obtenu par SMS, via une application dédiée sur smartphone (iPhone, Android et BlackBerry), ou encore via un appel vocal.
Ce code de vérification permettra d'associer une machine avec votre compte Google, soit le temps d'une session, soit pour une durée de 30 jours.
Bien qu'un peu contraignante pour l'utilisateur, cette authentification renforcée devrait être efficace pour limiter fortement le piratage de comptes Google, un pirate ayant peu de chance de récupérer à la fois le mot de passe et le téléphone d'un utilisateur.
Posté par Matt le 11/02/2011 à 23h41
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Source : Génération NT
La semaine dernière, les trois opérateurs mobiles annonçaient le lancement d'une plateforme commune de paiement, destinée à faciliter et sécuriser les paiements en ligne de leurs clients, en particulier pour les achats depuis leur téléphone mobile.
C'est désormais sur le paiement sans contact NFC que les trois opérateurs se sont associés, rejoints également par NRJ Mobile. En effet, Orange, SFR, Bouygues Telecom et NRJ Mobile se sont engagés ensembles à déployer dans toute la France la plate-forme de services sans contact Cityzi, qui est actuellement expérimentée à Nice.
L'utilisation de tels services nécessitera bien entendu la possession d'un téléphone compatible avec la norme NFC. Les opérateurs espèrent écouler un million d'appareils à cette norme cette année.
Espérons toutefois que le développement de ces systèmes de paiement sans contact et sans code n'inciteront pas à plus de vols de téléphones mobiles...
Posté par Matt le 10/02/2011 à 09h20
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Source : 01net
Dans un mémo à l'intention de ses employés, le nouveau CEO de Nokia n'est pas tendre avec l'entreprise qu'il dirige depuis quelques mois, allant jusqu'à faire l'analogie avec celle d'une plateforme pétrolière en feu. Pour lui, Nokia doit donc quasiment repartir de zéro pour reconquérir sa grandeur passée.
Parmi les critiques, Elop évoque bien entendu l'iPhone, l'un des principaux responsables de la chute de Nokia sur le haut de gamme. Elop est choqué par le fait que, près de quatre ans après sa sortie, Nokia n'ait toujours pas été capable de se mettre à niveau. Un problème d'autant plus grave que la tâche n'est pas insurmontable, comme l'a montrée Google en créant une alternative plus que crédible en l'espace de deux ans. Bref, la situation n'est pas rose sur le haut de gamme...
Pire, alors qu'il y a peu, l'entrée de gamme semblait encore acquise à Nokia, qui écoulait ses téléphones basiques par palettes, le finlandais souffre aujourd'hui d'une concurrence grandissante des constructeurs chinois, qui entament la part de marché de Nokia dans les pays émergents.
Les deux systèmes d'exploitation maison en prennent également pour leur grade, Symbian manquant selon Elop de compétitivité et étant trop complexe pour les développeurs, tandis que MeeGo, le nouveau système développé en partenariat avec Intel serait trop en retard au goût du nouveau CEO, qui critique le fait que seul un appareil utilisant cet OS sera disponible au catalogue d'ici la fin de l'année. Et encore, les rumeurs évoquent l'abandon de ce modèle...
Enfin, il insiste sur la nécessité pour Nokia de proposer à ses clients tout un éco-système, comme le font Apple ou Google, et non pas simplement un smartphone. Pour ce faire, Elop n'exclut d'ailleurs pas l'idée de se rallier à un écosystème existant. Il s'agira probablement de Windows Phone 7, comme l'ont déjà laissé entendre quelques fuites, d'autant plus crédibles qu'avant de rejoindre Nokia, Elop travaillait justement pour Microsoft.
Quelques mois après son arrivée chez le finlandais, Stephen Elop annonce donc clairement la couleur : il va y avoir du changement chez Nokia ! Les premières mesures devraient être annoncées dès ce vendredi, à l'occasion du Nokia Capital Markets Day, puis le 13 février au Mobile World Congress.
Posté par Matt le 09/02/2011 à 22h50
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Source : Business Mobile
Il y a quelques jours, Thierry Breton, PDG d'Atos Origin, créait la surprise en annonçant vouloir éradiquer l'e-mail de son entreprise d'ici à trois ans, au profit de la messagerie instantanée et des réseaux sociaux. Une vision de l'avenir partagée par... les jeunes américains !
En effet, selon une étude de comScore auprès des jeunes américains de 12 à 17 ans, l'usage du courrier électronique serait en chute libre, avec notamment une baisse de 59% de la fréquentation des webmails en l'espace d'un an. À la place, les adolescents américains passent beaucoup plus de temps sur les réseaux sociaux.