On connaissait déjà le réseau TOR, un ensemble de proxy permettant un surf plus ou moins anonyme, en faisant transiter les requêtes par différentes machines du réseau TOR. On connaissait les VPN, qui permettent d'anonymiser et chiffrer le trafic pour contourner les filtrages... Le projet Commotion Wireless souhaite passer à la vitesse supérieure...
Pour rendre le réseau encore plus libre et anonyme, Commotion passe outre les fournisseurs d'accès Internet en s'appuyant sur le Wi-Fi pour créer un réseau parallèle à Internet, totalement décentralisé, et impossible à contrôler. Il suffira d'installer un logiciel sur un ordinateur doté d'une carte Wi-Fi pour le connecter à ce réseau et communiquer de proche en proche avec toutes les autres machines raccordées. Compte tenu de la porté du Wi-Fi, il faudra toutefois plutôt s'attendre au mieux à un réseau "local" à l'échelle d'une ville, voir d'un quartier, plutôt qu'à un véritable réseau mondial alternatif. Si un nœud du réseau dispose aussi d'une connexion Internet, il pourra la partager sur Commotion, pour que les autres nœuds puissent en profiter.
Si ce n'est pas la première fois que l'idée d'un tel réseau parallèle est évoquée, elle pourrait cette fois connaitre un certain succès, l'initiative bénéficiant d'un soutient large et diversifié. Ainsi, c'est l'Open Technology Initiative qui finance le projet. Cette entité appartient à la New Americain Foundation, dirigée par Eric Schmidt, président exécutif de Google... Dotée d'un budget de 2.3 millions de dollars, la fondation a récemment bénéficié d'une subvention supplémentaire de 2 millions de dollars de la part du département d'État américain. Ce projet pourrait donc réussir là où plusieurs autres ont échoué. On en saura un peu plus l'année prochaine, lorsque la première version publique du logiciel sera diffusée auprès du grand public.
Posté par Matt le 01/09/2011 à 11h51
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Source : Tom's Guide
Comme tous les mois, comScore vient de publier son étude sur les parts de marché des principaux OS mobiles dans le parc de smartphones américain. Depuis quelques mois, ces études montraient un regain de forme pour iOS, qui sortait enfin de la zone de 25% dans laquelle il est resté deux ans. Une tendance qui se poursuit en juillet.
En effet, pour le septième mois consécutif, iOS a grappillé quelques dixièmes de points de parts de marché, pour atteindre désormais 27% (+0.4 points). Il reste toutefois loin derrière Android, dont la part s'est accrue de 1.7 points (41.8%), ce qui lui permet d'accroitre son avance sur tous ses concurrents. RIM est de nouveau le grand perdant, avec 1.7 points de moins que le mois dernier. Sa part de marché a quasiment été divisée par deux en dix-huit mois. À ce rythme, le BlackBerry équipera moins de 20% des américains dès le mois de septembre, voir celui d'août. Enfin, Microsoft semble avoir réussi à stopper l'hémorragie de Windows, dont la part de marché ne baisse plus significativement depuis un trimestre.
L'étude du nombre d'unités de chaque OS mobile en circulation aux USA confirme encore plus ces tendances. Ainsi, en moins d'un an, le BlackBerry a perdu 4 millions d'utilisateurs (de 21.8 millions en octobre 2010 à 17.8 en juillet 2009). Sur la même période, iOS a gagné 7.1 millions d'utilisateurs et Android 20 millions, tandis que Windows en a perdu 1.2 millions. Le début d'inversion de la tendance de Windows se confirme toutefois avec le nombre d'utilisateurs, en hausse depuis trois mois consécutif, ce qui n'était plus arrivée depuis plusieurs années. Le regain de forme d'iOS est également nettement visible sur cette courbe, avec une cassure à partir du mois de février, qui semblerait confirmer que c'est la sortie de l'iPhone 4 CDMA compatible avec le réseau Verizon qui a permis de relancer les ventes.
Posté par Matt le 31/08/2011 à 14h51
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Source : Mac4Ever
Depuis quelques jours, les adeptes de séries TV qui avaient l'habitude de les louer en VOD sur iTunes à partir de 1$ l'épisode n'ont plus accès à cette possibilité : le service d'Apple ne propose plus que de la vente, c'en est fini de la location.
Selon Tom Neumayr, porte-parole de la pomme, il s'agirait d'une décision motivée par les habitudes des clients de la boutique d'Apple, qui opteraient massivement pour l'achat plutôt que pour la location, cette modalité permettant un visionnage plus souple, notamment grâce à une ouverture à un plus grand nombre de supports, et bien sûr, la possibilité de revoir un épisode sans repasser à la caisse.
Apple ne souhaite toutefois pas abandonner totalement l'idée de la location, mais va s'orienter vers des offres forfaitaires, plutôt que des locations à l'unité. Tim Cook, fraichement promu CEO de la marque, a en effet indiqué qu'Apple travaille sur "une nouvelle technologie diffusant de la vidéo sur les téléviseurs", et envisage de proposer des services de VOD par abonnement. Pour mieux concurrence NetFlix, qui domine largement le marché américain avec sa VOD illimitée par abonnement ?
Cette annonce relance en tout cas la machine à rumeur, notamment au sujet de la sortie d'un téléviseur Apple, une rumeur qui réapparait régulièrement sur le net, ou encore sur l'arrivée future d'un service de musique en streaming sur abonnement, à la manière de Deezer ou Spotify, d'autant que l'architecture technique nécessaire à une telle offre devra être mise en place par Apple pour iTunes Match.
Posté par Matt le 31/08/2011 à 08h11
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Source : Clubic
Dans une courte lettre aux membres du conseil d'administration d'Apple et à la communauté des utilisateurs de produits Apple, Steve Jobs a annoncé cette nuit sa démission du poste de CEO d'Apple, qu'il avait déjà quitté temporairement depuis le début d'année pour des raisons de santé.
Après avoir fondé Apple en 1976 avec Steve Wozniak, Jobs l'avait quittée une première fois en 1985 suite à des désaccords avec la direction de l'époque. Au bord de la faillite, en 1997, Apple l'avait appelé à la rescousse en tant que CEO intérimaire, en remplacement de Gil Amelio, avant de devenir le "vrai" CEO à partir de l'an 2000. Il n'avait depuis plus quitté ce poste, à l'exception de deux congés maladie, pendant le premier semestre 2009 et de janvier 2011 à sa démission.
Steve Jobs souhaite toutefois rester directeur et président du conseil d'administration d'Apple. Pour son remplacement, il suggère de promouvoir Tim Cook au poste de CEO. Grand acteur de la renaissance d'Apple depuis le retour de Jobs aux commandes, il était depuis 2005 son directeur des opération (COO), et avait assuré la fonction de CEO lors des deux absences de Jobs. Un choix que le conseil d'administration semble déjà avoir validé, puisque la présentation de Tim Cook sur le site d'Apple lui attribue déjà le titre de CEO.
To the Apple Board of Directors and the Apple Community:
I have always said if there ever came a day when I could no longer meet my duties and expectations as Apple’s CEO, I would be the first to let you know. Unfortunately, that day has come.
I hereby resign as CEO of Apple. I would like to serve, if the Board sees fit, as Chairman of the Board, director and Apple employee.
As far as my successor goes, I strongly recommend that we execute our succession plan and name Tim Cook as CEO of Apple.
I believe Apple’s brightest and most innovative days are ahead of it. And I look forward to watching and contributing to its success in a new role.
I have made some of the best friends of my life at Apple, and I thank you all for the many years of being able to work alongside you.
Steve
Posté par Matt le 25/08/2011 à 17h39
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Source : Macworld
Avec les abonnements Internet mobiles, les français ont pris l'habitude des forfaits illimités* où le terme illimité ne s'applique en fait qu'à la durée de connexion, permettant ainsi aux opérateurs de réduire le débit au delà d'un certain volume mensuel et/ou d'interdire certains types de services. Des restrictions que certains, Orange en tête, souhaiteraient également appliquer à l'Internet fixe...
Un document de travail de la Fédération Française des Télécoms (FFT) présente en effet ce que pourraient être les offres Internet type dans un futur proche, et les restrictions habituelles des forfaits mobiles font bel et bien partie de ce futur. Destiné à l'ARCEP, ce document daté de la fin du mois de juillet découpe les offres en trois catégories : ADSL "toutes zones", ADSL dégroupé, très haut débit. Dans les deux dernières catégories, les plus "haut de gamme", il prévoit la possibilité de proposer des offres avec un quota mensuel de téléchargement, et une réduction de débit, voir une coupure au delà de cette limite, mais aussi un plafond de téléchargement "par session". Ces offres haut de gamme ne devraient par contre pas permettre la restriction de certains services. Pour l'ADSL "toutes zones" par contre, le document prévoit, en plus des limitations prévues pour les deux autres catégories, d'autoriser les opérateurs à interdire la voix sur IP, les newsgroups et le P2P. De quoi donner des sueurs froides aux habitants des zones rurales, qui ne peuvent souvent accéder qu'à ce type d'offres...
Parmi les membres de la FFT, on compte notamment les trois principaux opérateurs mobiles, Bouyges Telecom, SFR et Orange. Il n'est donc pas vraiment surprenant que ces offres s'inspirent des offres mobiles. Interrogé sur le sujet, Orange a confirmé sa volonté de proposer des offres comportant ce type de restriction, par la voix de son porte-parole, qui tente toutefois de minimiser l'impact que pourraient avoir de telles mesures sur les abonnés : "Oui, il y a certains forfaits sur lesquels on risque de mettre des seuils. S’ils ne concernent qu’ 1% des gens qui downloadent des films toute la journée, alors c’est envisageable. C’est inacceptable si cela impacte davantage de clients". Dans le cas où de telles restrictions seraient mises en place, espérons toutefois qu'il ne s'agira que de réductions de débits, et pas de forfaits bloqués : si un forfait bloqué est acceptable pour une connexion secondaire via un smartphone ou une tablette, il l'est beaucoup moins pour un accès principal, puisque le blocage priverait l'utilisateur de certains moyens essentiels de communication jusqu'à la fin du mois...
Suite à la divulgation de ces informations, deux opérateurs ont déjà manifesté leur opposition à ces principes : Free et Numéricable. Ils rappellent d'ailleurs tous deux qu'ils ont quitté la FFT, en 2008 pour le premier et il y a quelques mois pour le second, et n'ont donc pas pris part à l'élaboration de ce document. Ceci devrait freiner l'application de restrictions chez les autres opérateurs, dont les offres deviendraient bien moins concurrentielles. Eric Besson, ministre en charge de l'Économie Numérique a pour sa part indiqué que de telles restrictions n'étaient pas souhaitables et que des mesures allaient être prises concernant l'utilisation du terme "illimité" pour certaines offres : "le Gouvernement n’envisage aucune restriction de l’accès à Internet et travaille bien au contraire au développement du très haut débit fixe et mobile sur l’ensemble du territoire et pour l’ensemble des français. ... Le Gouvernement travaille par ailleurs à encadrer l’utilisation du terme "illimité" par les opérateurs, afin de protéger les consommateurs contre certains abus. Certains consommateurs ayant souscrit des offres prétendument "illimitées" ont effet pu constater des débits qui n’avaient rien d’illimités." D'après ces propos, on peut supposer qu'il pourrait bientôt être interdit d'utiliser le qualificatif "illimité" pour des offres imposant des restriction de débit au delà d'un certain volume.
Posté par Matt le 22/08/2011 à 09h09
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Sources : Numérama et Univers Freebox
Ceux qui se sont inscrits à Google Music ont déjà pu constater que le service ne se limite pas au stockage et à la lecture en streaming des titres musicaux que vous y uploadez. Lors de l'inscription, Google offre en effet plusieurs centaines de titres d'artistes connus ou non pour compléter votre bibliothèque. Avec Google Magnifier, ces titres gratuits vont se multiplier...
En effet, Google Magnifier va mettre en avant différents artistes appréciés par les équipes de Google Music. Le site proposera quotidiennement une "chanson du jour", et chaque semaine, un "artiste de la semaine". Et tous les titres mis en avant sur Magnifier pourront être ajoutés gratuitement à la bibliothèque Google Music pour l'écouter en streaming sur le site ou via une application dédiée (rappelons que dans l'état actuel des choses, Google ne propose pas encore de fonction permettant le téléchargement des fichiers à partir de Google Music). En prime, certains titres proposés seront des inédits.
Ce nouveau service pourrait être un argument de poids pour permettre à Google de populariser son service de musique en ligne, en compensant le fait que le service n'est pas adossé à un service de vente de musique, contrairement à ses deux principaux concurrents, le Cloud Player d'Amazon et l'iCloud d'Apple. Et peut-être un jour Google finira-t-il lui aussi par vendre de la musique ?
Posté par Matt le 19/08/2011 à 09h01
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Source : 01Net
Des trois principales industries des biens culturels, celle du livre est pour l'instant la moins touchée par l'ère du numérique et le paysage. Et pourtant, Internet semble déjà être le pire ennemi de certains industriels du livres, dont Jean-Marc Roberts, directeur des éditions Stock, dont les positions vis à vis d'Internet sont encore plus rétrograde que celles des dirigeants des majors de la musique...
Alors que les majors de la musique se contentent généralement d'accuser Internet d'être la cause du piratage, ils ont tout de même fini, même si ça a pris du temps, par adopter ce média et de le considérer comme un nouvel atout pour la distribution d’œuvres. Mais pour Jean-Marc Roberts, Internet est mauvais pour le livre. Tellement mauvais que même quand Internet vend des livres, ce n'est pas bien.
Pour compléter la loi sur le prix unique des livres, qui impose qu'en France les livres soient vendus à un prix au maximum 5% inférieur au prix fixé par l'éditeur, il réclame donc une nouvelle loi imposant un "lieu unique" : pour lui, les livres ne devraient être vendus que par des magasins physiques. En clair, il veut interdire la vente en ligne de livres. "La vente en ligne, moi je crois que c'est ça qui va peu à peu détourner le vrai lecteur de son libraire, et donc de la littérature". Donc acheter de la littérature par Internet, ce serait se détourner de la littérature... Raisonnement étrange.
Nul doute que si elle était votée, une telle loi n'aiderait pas vraiment l'industrie du livre. Au contraire, en compliquant l'achat et en empêchant de fait l'existence de livres électroniques pour les lecteurs d'e-books et les tablettes, elle pourrait même freiner l'industrie du livre, et la faire sombrer encore plus que celle de la musique et du film, alors qu'elle est pour l'instant la plus épargnée des trois... Heureusement, il y a relativement peu de chances que les hommes politiques tiennent compte de cet avis, d'autant qu'une telle règle serait difficile à appliquer aux sites basés à l'étranger (Amazon, la librairie en ligne n°1 est basée au Luxembourg pour sa version française...) et qu'elle créerait un précédent qui pourrait pousser chaque catégorie de commerçants à réclamer l'interdiction de la vente en ligne des produits qu'ils vendent...
Posté par Matt le 18/08/2011 à 23h10
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Source : Numerama
Arrivé depuis plusieurs mois sur les versions anglaises de Google, les nouveaux algorithmes Panda de Google sont arrivés sur les versions européennes du moteur de recherche vendredi dernier. Comme lors du lancement de la version anglaise, les résultats ne se sont pas fait attendre, même s'ils semblent avoir été moins "violents".
Sans surprise, ce sont les comparateurs de prix qui sont les plus affectés, comme outre-Atlantique. Wikio.fr perd et Ciao.fr perdent ainsi plus de 50% de leur visibilité, mais d'autres, comme Kelkoo, restent relativement épargnés. À l'opposé, ce sont les sites marchants et les sites des grandes marques qui progressent, ce qui est une conséquence assez logique de la régression des comparateurs de prix : en cherchant le nom d'un produit, on a désormais plus tendance à tomber sur le site du constructeur ou d'un revendeur, plutôt que sur un comparateur de prix. Pratique pour ceux qui cherchent une fiche technique, beaucoup moins pour ceux qui cherchent à acheter le produit au meilleur prix...
On notera par ailleurs que selon une étude de Experian Hitwise, Panda ne serait pas suffisant pour permettre à Google de retrouver sa pertinence d'antan : seules 67% des recherche Google mèneraient à un clic sur un des liens proposés en résultat, contre 80% sur Bing, le moteur de recherche de Microsoft.
Posté par Matt le 17/08/2011 à 15h00
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Sources : Tom's Guide et Numerama
L'Hadopi n'étant théoriquement pas là que pour sanctionner le téléchargement illégal sur les réseaux P2P, elle vient de lancer un appel d'offre pour la réalisation d'une étude sur les "freins et les leviers de la consommation licite de biens culturels en ligne".
Le but est de déterminer les habitudes des internautes français, et comprendre quelles sont les critères qui les font privilégier une offre légale ou une offre illégale. L'étude devra comporter un volet qualitatif, via des groupes de discussion, et un volet quantitatif, via une enquête en ligne visant les internautes français, afin de déterminer les "facteurs favorisant le développement de la consommation respectueuse du code de la propriété intellectuelle" mais aussi ceux "faisant obstacle au développement de la consommation respectueuse du code de la propriété intellectuelle". L'Hadopi est prête à investir 80 000€ HT pour cet étude.
Est-ce le signe que l'Hadopi souhaiterait s'orienter un peu plus vers la prévention que vers la répression, en essayant de mieux comprendre les internautes pour ensuite pousser les fournisseurs d'offres légales à mieux répondre aux besoins ?
Posté par Matt le 17/08/2011 à 09h00
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Source : Clubic
S'il y en a encore qui ne sont pas convaincus que la guerre des brevets qui fait actuellement rage dans le secteur des smartphones et des tablettes et devenue du grand n'importe quoi, voici une information qui devrait achever de les convaincre : Motorola envisage de réclamer des royalties sur tous les appareils sous Android...
Pour comprendre le côté cocasse de cette situation, il faut faire un petit pas en arrière. Il y a quelques années, Motorola était en grande difficulté dans le secteur de la téléphonie, avec des appareils incapables de lutter contre les premiers smartphones, et des ventes en chute libre. Motorola envisageait même à l'époque de quitter ce marché. Puis est arrivé le Droid... Comme son nom l'indique, il s'agissait du premier smartphone Android de l'américain. S'il n'a pas connu autant de succès que certains de ses concurrents, il s'est tout de même suffisamment vendu pour permettre à Motorola de remonter la pente. On peut donc considérer que la division mobile de Motorola a été sauvée par Android !
En s'attaquant aux constructeurs de smartphones et de tablettes Android pour leur réclamer des royalties, Motorola joue donc à un jeu dangereux. En effet, l'américain était plutôt en bon termes avec Google, qui l'avait d'ailleurs choisi comme partenaire privilégié pour le lancement d'Honeycomb (Android 3.0). Même si Google n'est pas visé directement par ces demandes de royalties, elles impactent directement l'intérêt que les autres constructeurs portent à Android, en rendant le choix de ce système plus coûteux (certains analystes estiment que les royalties pourraient atteindre 60$ par appareil une fois que tout le monde aura réclamé sa part). De quoi causer un gros froid dans les relations entre Motorola et Google, et donc, au final, pénaliser les smartphones Android de Motorola !