
Présentée par Apple et Intel fin février, l'interface Thunderbolt n'est pour l'instant présente que sur certains ordinateurs de la pomme. Elle pourrait toutefois bientôt arriver sur un nouveau portable Sony Vaio "hybride". Le constructeur préparerait également une nouvelle entrée de gamme Vaio, fonctionnant sous Chrome OS.
De référence encore inconnue, le Vaio Thunderbolt serait un ultra-portable très léger (1.13 kg) et autonome (8h) en sacrifiant le lecteur optique et la connectique, qui serait limité à une sortie HDMI, de l'USB et un port Thunderbolt, mais embarquant tout de même un processeur puissant, puisqu'il s'agirait d'un Core i7. Il pourra également se connecter sans-fil à un écran, via une interface Intel Wireless Display. L'intérêt du port Thunderbolt sur cette machine sera la possibilité d'y connecter un dock. Ce dernier embarquera notamment un lecteur Blu-Ray et une connectique enrichie, avec un port HDMI, un port VGA, un port Ethernet et quelques ports USB supplémentaires.
Pour l'entrée de gamme, c'est un netbook Vaio sous Chrome OS qui serait en préparation chez le nippon. Doté d'un écran 11.6" 1366x768, d'1 Go de RAM et de 16 Go de stockage flash eMMC, il s'appuiera sur la plateforme nVidia Tegra 2, star des tablettes Android de 2011. Une machine qui viendra donc concurrencer l'Eee PC sous Chrome OS d'Asus, même si le Vaio sera probablement positionné sur une tranche plus haut de gamme, comme d'habitude chez Sony.
Posté par Matt le 22/03/2011 à 08h51
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Source : Tom's Hardware
Alors que les analystes estiment que le marché des SSD devraient continuer à connaitre une forte croissance en 2011, certains évoquant des chiffres supérieurs à 90%, les constructeur de SSD fourbissent leurs armes pour se faire leur place sur le marché 2011.
Ainsi, après le lancement officiel des nouveaux contrôleurs SandForce il y a quelques semaines, c'est au tour de Micron de lancer sur le marché son RealSSD C400. Successeur du RealSSD C300, qui était vendu sous la marque Crucial (filiale de Micron), le C400 embarque le contrôleur Marvell 88SS9174 de seconde génération (BKK2), à la place du contrôleur de première génération (BJP2). Doté de mémoire Flash IMFT 25nm, de 128 Mo de cache DDR3 et d'une interface SATA 6 Gbit/s, il promet des débits de 415 Mo/s en lecture séquentielle et 260 Mo/s en écriture séquentielle, pour 40 000 IOPS en lecture aléatoire et 50 000 IOPS en écriture aléatoire.
Disponible immédiatement au Japon et aux USA, il y est proposé au format 2.5" (une version 1.8" arrivera plus tard) avec des capacités de 64 Go (130$), 128 Go (245$), 256 Go (445$) et 512 Go (920$).
Côté Intel, c'est les SSD 320 Series qui sont en approche. Après les SSD 510 Series, lancés en début de mois, qui utilisent eux aussi le contrôleur Marvell, les SSD 320 Series sont considérés comme les "vrais" nouveaux SSD Intel, puisqu'ils sont basés sur un contrôleur maison. Évolution du contrôleur des X25-M, ce nouveau contrôleur restera en SATA 3 Gbit/s et exploitera de la mémoire flash 25nm, probablement aussi d'origine IMFT. En raison de la "vieille" interface SATA, le débit en lecture séquentielle ne progressera pas (250 Mo/s), limité par l'interface, tandis que le débit en écriture séquentielle pourra faire un gros bon en avant, en montant à 170 Mo/s, soit environ le double des X25-M actuels. En aléatoire, Intel promet 39 500 IOPS en lecture et 23 000 IOPS en écriture.
La gamme SSD 320 Series comportera six capacités, avec des tarifs aux environs de 2$ le Go, sauf sur l'entrée de gamme, nettement plus chère : 40 Go (110$), 80 Go (190$), 120 Go (240$), 160 Go (330$), 300 Go (570$) et 600 Go (1120$).
Posté par Matt le 21/03/2011 à 22h50
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Sources : BHMag et Clubic

Grâce au succès de ses tablettes, le français Archos a réussi une excellente année 2010, avec un chiffre d'affaire en hausse de 44% et un déficit en baisse de 88%. Pour continuer sur cette dynamique, le constructeur va lancer en juin sa neuvième génération de tablettes tactiles.
Archos ayant lancé il y a peu sa marque low-cost Arnova, ces nouvelles tablettes sous Android seront probablement positionnées un peu plus haut de gamme, comme le laissent entendre des premières informations sur les spécifications. On parle notamment d'un processeur ARM Cortex A9 double cœur à 1.6 GHz, annoncé comme le plus puissant du marché. À titre de comparaison, la plupart des tablettes de dernière génération sont basées sur des processeurs A9 double-cœur fonctionnant entre 1 et 1.2 GHz.
Les six nouvelles tablettes, dont les tailles d'écran iront de 5 à 10", utiliseront également un nouveau châssis à base de métal et de plastique et embarqueront un modem 3G, ce qui devrait permettre de les trouver à bon prix chez les opérateurs mobiles, en contrepartie d'un forfait 3G. Il faudra par contre se contenter de disques durs, Archos préférant privilégier la capacité et le prix plutôt que la performance.
Enfin, le constructeurs a annoncé qu'en plus de ces nouvelles tablettes, il allait diversifier son activité en lançant des "gadgets pour la maison", alors qu'il se limitait jusqu'à présent aux tablettes et baladeurs, sans toutefois préciser leur nature exacte.
Posté par Matt le 20/03/2011 à 18h30
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Source : Tom's Guide

Après avoir connu un grand succès avec la vague des netbooks en 2009, la gamme Eee PC d'Asus a depuis marqué le pas, à cause de la chute du marché des netbooks, résultant de l'arrivée des tablettes et de la hausse des prix des netbooks liée à un équipement de plus en plus complet. Mais Asus ne s'avoue pas vaincu !
En effet, le taiwanais s'apprêterait à lancer une nouvelle gamme de netbooks à bas prix. Dotés de processeurs Atom et d'écrans de 10 à 11", ces nouveaux Eee PC fonctionneront sous Google Chrome OS. Les tarifs seront particulièrement agressifs, les rumeurs évoquant à peine 200 à 250$. Asus devrait de plus commercialiser ces Eee PC via des opérateurs mobiles. Associés à des forfaits clé 3G, ces Eee PC pourraient bénéficier d'une subvention ramenant leur prix à un tarif symbolique.
Reste à voir si Chrome OS saura se trouver un public. En effet, malgré les tarifs très faibles des machines, Chrome OS reste un OS nettement plus limité qu'un OS classique, ce qui pourrait mettre un frein aux ventes.
Posté par Matt le 18/03/2011 à 13h00
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Source : Übergizmo

Depuis quelques temps, une nouvelle tendance est apparue sur le marché des serveurs : les "micro serveurs", des machines basées sur des processeurs de faible puissance, destinées à des applications légères, comme par exemple un site web, ou encore des applications massivement parallèles, en dotant les serveurs d'un très grand nombre de petits cœurs. Un marché parfait pour l'Atom !
Mais jusqu'à présent, l'Atom est toujours resté pour Intel un processeur destiné à des machines grand public de faible puissance, les netbooks et les nettops. Toutefois, quelques constructeurs ont fait le pari de l'utiliser dans des serveurs, comme par exemple SeaMicro, qui a monté jusqu'à 512 processeurs Atom dans des serveurs 10U.
Intel a annoncé qu'à partir de l'année prochaine, il proposera officiellement un processeur Atom pour serveur, qui viendra compléter par le bas sa gamme de processeurs Xeon basse consommation. Le fondeur n'a par contre pas donné de détail sur les caractéristiques de ces nouveaux processeurs, si ce n'est qu'ils consommeront moins de 10W, contre 20 à 45W pour les processeur Xeon basse consommation actuellement au catalogue et 15W pour les Xeon basse consommation qui seront lancés au second semestre, basés sur l'architecture Sandy Bridge.
Posté par Matt le 17/03/2011 à 14h50
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Source : Tom's Hardware
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Le récent Android 3.0 Honeycomb est officiellement réservé aux tablettes tactiles, même s'il contient tout le nécessaire pour fonctionner sur un smartphone, y compris une interface s'adaptant à leurs écrans bien moins spacieux que ceux des tablettes. HTC pourrait bien en profiter pour se démarquer en lançant un smartphone sous Honeycomb.
En effet, selon les informations révélées par le site chinois Xda.cn, le HTC Pyramid pourrait bien fonctionner sous Android 3.0. Clairement positionné sur le haut de gamme, l'appareil embarquera un écran Super-LCD de 4.3" (960x540), un processeur Qualcomm Snapdragon MSM8260 à 1.2 GHz et 768 Mo de RAM, dans un châssis ressemblant à un croisement de Desire HD et de Nexus One.
Bien entendu, tous les autres équipements classiques d'un smartphone haut de gamme seront de la partie : APN 8MP avec flash LED, Wi-Fi, Bluetooth, GPS, caméra 1.3 MP en façade, etc...
Il ne reste plus qu'à attendre une annonce officielle d'HTC pour voir s'il fonctionnera bien sous Android 3.0.
Posté par Matt le 17/03/2011 à 08h12
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Source : Le Journal du Geek
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Présent sur le marché des SSD depuis qu'il a atteint le grand public, OCZ n'était jusqu'à présent qu'un intégrateur, assemblant des SSD avec des mémoires et des contrôleurs fournis par des tiers. Une stratégie qui est en train de changer, la Californien ayant racheté Indilinx, un constructeur de contrôleurs.
OCZ collaborait déjà avec Indilinx depuis quelques années, et lui doit d'ailleurs une bonne part de son succès sur le marché des SSD, les OCZ Vertex ayant connu un grand succès grâce au contrôleur Indilinx Barefoot. Depuis Indilinx a perdu un peu de sa superbe et s'est vu relégué aux SSD de milieu, voir d'entrée de gamme, mais OCZ compte bien relancer la R&D pour proposer à nouveau des contrôleurs dignes du haut de gamme.
Ce rachat marque une étape importante dans la stratégie d'OCZ, qui mise désormais clairement tout son avenir sur les SSD, après avoir annoncé il y a quelques temps l'abandon de son activité historique, les barrettes de mémoire.
OCZ précise également que cette acquisition ne remet pour l'instant pas en cause sa collaboration avec SandForce à court terme, les SSD OCZ utilisant ces contrôleurs ne devraient donc pas disparaitre des rayons dans les prochains temps.
Posté par Matt le 16/03/2011 à 15h10
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Source : Macbidouille
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Le français Splitted-Desktop Systems vient de lancer une nouvelle gamme de mini-PC, alliant à la fois la compacité, le silence et la performances. En effet, malgré leur refroidissement intégralement passifs, ils sont bâtis sur des bases plutôt solides.
Pour ce faire, le constructeur a conçu un imposant système de refroidissement maison, et il utilise des composants mobiles, à la fois moins générateur de chaleur et capables de supporter des températures plus élevés. Au format mini-ITX, la carte mère est également conçue par le constructeur. Dotée d'un socket S1G3 et d'un chipset RS780E/SB710, elle accueille des processeurs AMD de la famille Turion II. Malgré la compacité, la connectique est plutôt riche, avec 2 slots So-DIMM DDR2 pour la mémoire, 4 ports SATA 3 Gbit/s, 1 port MXM 3.0, un port Compact Flash, un port LVDS, un mini-PCI, 10 USB 2.0, 2 ports Gigabit Ethernet, 1 sortie HDMI 1.3, 6 entrées/sorties audio jack et une sortie audio optique.
Pour tirer parti du port MXM, SDS propose un large choix de cartes graphiques à ce format, de la Mobility Radeon HD 4650 à la Mobility HD 5870 en passant par les GeForce 470M. Le constructeur prépare également une carte basée sur un GPU Radeon HD 5870 de bureau monté sur un module MXM.
L'ensemble prends place dans un boîtier 225x225x250 doté d'une alimentation de 160W et sera disponible à la vente dès la fin du mois. Le ticket d'entrée pour bénéficier du silence sans sacrifier les performances est par contre plutôt salé, à 1490€ la configuration de base.
Posté par Matt le 14/03/2011 à 10h30
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Source : PCInpact

Western Digital a annoncé le rachat d'Hitachi Global Storage Technologies, la division disque dur d'Hitachi, que le japonais avait racheté à IBM il y a quelques années. Une transaction chiffrée 4.3 milliards de dollars, dont 3.5 milliards en cash.
Le marché continue donc à se consolider petit à petit, sous la pression des marges de plus en plus faibles dans ce secteur. En 2005, Seagate avait déjà racheté Maxtor, qui avait lui même acquis Quantum cinq années plus tôt. Plus récemment (fin 2009), c'est Toshiba qui s'était porté acquéreur de la division disques durs de Fujitsu.
Il ne reste donc plus que trois constructeurs de disques durs 3.5" (Western Digital, Seagate et Samsung), quatre constructeurs de disques durs 2.5" (les mêmes + Toshiba) et un seul constructeur de disques 1.8" (Toshiba), toute la dynamique du marché du stockage s'étant transféré sur le marché des SSD, occupé par plus de dix constructeurs.
Au passage, Hitachi réalise une joli plus-value, puisque sa division disque dur avait été acheté à IBM en 2003 pour seulement 2.05 milliards de dollars.
Posté par Matt le 08/03/2011 à 13h11
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Source : TT-Hardware
Nos confrère de Tom's Hardware viennent de publier un intéressant comparatif de cartes graphiques. Une fois n'est pas coutume, elles ont été comparées non pas sur leurs performances 3D, mais sur le coût d'utilisation lié à leur consommation électrique.
Pour ce faire, ils ont défini trois profils d'utilisateurs, en analysant les habitudes de trois utilisateurs pendant une durée de 4 semaines : un jeune joueur, amateur de FPS dernière génération, un utilisateur moyen et un amateur de performances. Au total, ce sont une bonne trentaine d'applications et de jeux qui ont été utilisées, avec 12 cartes graphiques milieu et haut de gamme, six rouges (5850, 5870, 6850, 6870, 6950 et 6970) et six vertes (460, 465, 470, 480, 570, 580).
Par rapport à une carte graphique d'entrée de gamme utilisée comme référence (Radeon HD 5450), la surconsommation atteint 327 dans le pire des cas (GTX 480 en pleine charge) et 24W dans le meilleur des cas (5850 au repos). Pour le profil joueur, qui utilise son ordinateur en moyenne un peu plus de 8h par jour, principalement sur des jeux, la surconsommation annuelle varie entre 316 kWh pour la 5850 et 693 kWh pour la GTX 480, deux cartes aux performances pourtant relativement similaires, soit une différence de coût de fonctionnement qui atteint tout de même 44€ par an, et un surcoût par rapport à la carte de référence qui monte jusqu'à 81€.
Pour l'utilisateur moyen, avec une durée d'utilisation de 6h par jour environ et relativement peu de jeux, l'écart est bien moins marqué, puisque le surcoût varie entre 9€ (78 kWh) pour la 5850 et 19€ (165 kWh) pour la GTX 480. Enfin, l'amateur de performances se situe en toute logique entre les deux, en devant supporter un surcoût allant de 16€ (137 kWh) avec 35€ (300 kWh).
Même en France, où l'électricité est très abordable, la différence de coût d'utilisation n'est donc pas négligeable pour ceux qui font un usage intensif de leur machine. Cette différence est à prendre en compte à l'achat, il peut en effet être bien plus intéressant de mettre quelques euros de plus dans une carte à l'achat, pour les économiser ensuite à l'usage. À ce petit jeu, on notera que c'est globalement AMD qui s'en tire le mieux, avec ses cartes au rapport performances/consommation très favorable.









