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Intel

Prévu pour succéder à la plateforme Sandy Bridge en fin d'année , la plateforme Ivy Bridge sera essentiellement un die-shrink en 22nm du Sandy Bridge (32nm). Mais il apportera aussi quelques nouveautés, notamment au niveau du PCI-Express.

Ainsi, le contrôleur PCI-Express intégré au processeur va proposer 20 lignes PCI-Express, contre 16 actuellement, et les 16 premières lignes, généralement utilisées par la carte graphique, seront à la norme PCI-Express 3.0, qui offrira une bande passante doublée par rapport à l'actuelle norme PCI-Express 2.0.

Intel Ivy Bridge

La partie graphique intégrée sera également améliorée, avec le support de DirectX 11 et d'OpenCL 1.1 et pourra gérer trois écrans indépendants, tandis que le southbridge accompagnant le processeur supportera enfin l'USB 3.0.

Posté par Matt le 04/04/2011 à 08h22
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Source : Macbidouille

nVidia

Lorsqu'nVidia avait relancé le SLI en 2005, c'était pour la firme au caméléon un bon moyen de rendre ses chipsets plus attractifs : le SLI n'était supporté que sur les chipsets nForce. Plus tard, nVidia l'a autorisé sur certains chipsets Intel via une puce additionnelle, puis sans cette puce... Et désormais, ce sont des chipsets AMD qui vont y avoir droit !

nVidia : le SLI sur AMD 990X et 990FX

En effet, maintenant qu'nVidia n'est plus du tout présent sur le marché des chipsets haut de gamme, il a tout intérêt à ce que sa technologie SLI fonctionne sur un maximum de chipsets, dans la mesure ou le CrossFire d'AMD est ouvert depuis longtemps à quasiment tous les chipsets. Ce sont donc deux chipsets AMD qui vont avoir droit aux SLI : le 990X et le 990FX. Ces deux chipsets ne sont pas encore disponibles, mais équiperont la nouvelle plateforme AMD, qui ne devrait plus trop tarder.

Ces deux chipsets pourront supporter le SLI sans ajout de puce additionnelle, comme les derniers chipsets Intel. Le 990X aura droit au SLI à deux cartes, tandis que le 990FX, plus haut de gamme, pourra en exploiter jusqu'à trois.

Posté par Matt le 01/04/2011 à 14h41
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Source : Tom's Hardware

Free

En dehors du clavier virtuel du navigateur web, quasiment inutilisable, les fonctions de détection de mouvement de la zappette de la Freebox Révolution sont encore très peu exploitées, et il y a de quoi s'inquiéter sur les capacités de la bête. Mais selon son créateur, le potentiel de la télécommande va se dévoiler petit à petit.

Télécommande Freebox Révolution

L'Entreprise a en effet publié un article sur Movea, l'entreprise grenobloise à l'origine de cette télécommande. Et selon cette article, les possibilités de la télécommande sont loin d'être limitées à celles activées actuellement. Ainsi, on devrait prochainement voir arriver une mise à jour qui permettra de régler le volume et de changer de chaîne par de simples mouvements de poignet, tandis que les applications tierces, et en particulier les jeux, pourront tirer parti de l'accéléromètre et du gyroscope.

Quand aux problèmes de précision rencontrés avec le clavier virtuel, ils devraient également être corrigés via une mise à jour du firmware de la télécommande, le matériel n'étant pas en cause. Il faut dire qu'à ce niveau là, la société à quelques références, et non des moindre... En effet, même si elle est totalement inconnue du grand public, Movea se définit comme étant le leader mondial dans les technologies de détection de mouvement, et elle s'est récemment offert l'américain Gyration, qui est à l'origine de la Wiimote de Nintendo. Rien que ça...

Posté par Matt le 31/03/2011 à 11h01
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Source : Univers Freebox

Intel Atom

Présentée il y a bientôt un an, la plateforme Intel "Oak Trail", basée sur l'Atom, doit permettre à Intel d'entrer sérieusement sur le marché des tablettes, avec une plateforme x86 très basse consommation. Elle vient de faire son apparition dans la grille tarifaire du fondeur, donc ne devrait plus trop tarder.

Intel Oak Trail

Remplaçante de la plateforme Moorestown, Oak Trail se compose d'un processeur Atom Z670 "Lincroft" (1.5 GHz, mono-cœur, HyperThreading, 512 Ko de cache, contrôleur mémoire LPDDR/LPDDR2 intégré), intégrant un processeur graphique Intel GMA 600 (utilisant une architecture PowerVR SGX535), le tout couplé à un chipset SM35 (Whitney Point), descendant direct du MP20 "Langwell" de Moorestown. Ce dernier offrait des contrôleurs USB et ATA, un lecteur de cartes mémoire, un codec audio AC'97 et diverses fonctions de sécurité. SM35 y ajoute le support du SATA, un codec HD Audio et la prise en charge d'une sortie HDMI.

Proposée à 75 dollars, la plateforme Oak Trail risque toutefois d'avoir quelques difficultés à lutter contre les SoC à base de processeurs ARM, généralement bien moins onéreux. nVidia ne demande par exemple que 20$ pour son Tegra 2, le SoC star des tablettes Android de début 2011. Oak Trail aura tout de même l'avantage de pouvoir faire tourner Windows 7 (mais est-ce réellement un avantage pour une tablette ?) et pourrait peut-être aussi surpasser les solutions ARM en performance pure, mais il faudra attendre les premiers comparatifs de performances pour vérifier ce point.

Tablette Samsung 7-Series

Samsung, qui était déjà pressenti pour être le premier constructeur de smartphone à base de Moorestown jusqu'à l'abandon du projet, devrait être l'un des premiers constructeurs à proposer des tablettes Oak Trail, avec les 7-Series, une gamme de tablettes 10.1" 1366x768 sous Windows 7 Familiale Premium présentée en début d'année. Elles embarqueront 2 Go de RAM et 32 ou 64 Go de stockage et un clavier coulissant, pour un poids total inférieur à 1 kg et une autonomie de 9h. Le ticket d'entrée devrait être de près de 700$.

Posté par Matt le 29/03/2011 à 15h00
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Source : PCWorld

Tous les utilisateurs d'appareils mobiles le savent : la recharge des batteries est généralement une opération longue, qui fait perdre en mobilité, puisque l'appareil doit rester à proximité d'une prise électrique où brancher le chargeur, avec parfois un temps de charge supérieur à la durée d'utilisation... Une nouvelle technologie de batterie pourrait bientôt éliminer ces temps d'attente.

Batterie à recharge ultra-rapide

Pour ce faire, une équipe de chercheurs a mis au point un procédé de fabrication permettant de minimiser la distance que les électrons doivent parcourir pour passer de la cathode à l'anode. Cette minimisation est obtenue en partant d'un substrat de micro-billes (1.8µm) de polystyrène. Du nickel est injecté dans les interstices séparant ces billes, puis le polystyrène est retirée. La micro-structure de nickel ainsi obtenue est ensuite électro-polie pour l'"aérer", et les matérieux actifs de la batterie sont déposés sur cette micro-structure, formant ainsi une cathode offrant une énorme surface de contact dans un volume réduit, ce qui permet de mieux transférer les électrons.

Appliqué à des batteries Lithium-Ion, cette technique permet d'obtenir des batteries capables de récupérer 75% de charge en 1 minute et 90% de charge en 2 minutes, tandis qu'avec la technologie NiMH, ces temps diminuent respectivement à 2.7s et 20s ! De plus, la production de ces micro-structures serait relativement aisée, ce qui permet d'envisager un passage rapide à une production de masse.

Il reste toutefois un obstacle à la charge rapide : la puissance nécessaires pour les chargeurs. En effet, qui dit recharge rapide dit besoin d'une forte puissance d'alimentation. Pour recharger une batterie de smartphone de 4 Wh à 90% en 2 minutes, il faudrait en effet un chargeur de plus de 110W, soit la puissance d'un chargeur de gros ordinateur portable, tandis que pour charger en 2 minutes une batterie 60 Wh d'ordinateur portable, la puissance requise atteint plus de 1600W.

Posté par Matt le 29/03/2011 à 12h41
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Source : Tom's Hardware

Wysips

Le français Wysips (What you see is photovoltaic surface), spécialiste des capteurs solaires photovoltaïques, vient de présenter un projet original, qui pourrait peut-être un jour équiper les smartphones : un capteur photovoltaïque parfaitement transparent et d'à peine un dixième de millimètre d'épaisseur.

Sa transparence et sa finesse lui permettrait d'être utilisé pour couvrir l'écran, sans trop altérer sa lisibilité (il y a tout de même une légère chute de luminosité), et permettre ainsi de recharger légèrement la batterie lorsque l'appareil est exposé à la lumière. Selon la société, six heures d'exposition seraient suffisante à recharger totalement la batterie d'un smartphone classique, et la lumière reçue en usage courant pourrait suffire à couvrir tous les besoin en énergie de l'appareil.

Si le concept est intéressant d'un point de vue pratique, on peut toutefois se poser des questions sur son intérêt écologique : vu la faible quantité d'énergie récupérée (forcément, un smartphone ne passe pas sa vie en plein Soleil), les coûts énergétiques liés à la fabrication de ces capteurs pourraient bien ne pas être couverts.

Ce type de capteur seraient peut-être plus utiles pour des panneaux de grande taille : leur transparence permettrait de les utiliser sans sacrifier l'esthétique, par exemple sur les façades vitrées des immeubles de bureau ou sur les carrosseries des voitures hybrides et électriques.

Posté par Matt le 25/03/2011 à 17h00
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Source : French iPhone

Toshiba

Toshiba a annoncé un nouveau périphérique plutôt original : un écran portable de 14", auto-alimenté par USB et utilisant la technologie DisplayLink, pour récupérer l'affichage via USB, en plus de son alimentation.

Écran 14" USB Toshiba

D'une résolution de 1366x768, il ne fait que 25mm d'épaisseur pour un poids de 1.27 kg, avec une un étui de protection intégré, qui fait également office de pied pour maintenir l'écran debout. Malheureusement, Toshiba n'y a pas intégré de connectique autre que l'USB. En l'absence de VGA ou de HDMI, il faudra donc se contenter des piètres performances du DisplayLink, qui excluent toute utilisation pour de la vidéo ou de la 3D.

Proposé à 200$, cet écran devrait surtout trouver son public auprès des professionnels, pour qui il permettra par exemple de faciliter certaines présentations, en permettant à plusieurs intervenants de consulter l'écran.

Posté par Matt le 24/03/2011 à 12h31
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Source : Le Journal du Geek via Ptit_bœuf

Une équipe de chercheurs anglais, menée par Krishna Palem, de l'Université de Rice propose une idée originale pour booster les performances des processeurs et réduire leur consommation électrique : les laisser faire des erreurs !

Et ils ne se contentent pas de l'affirmer, puisqu'ils ont réalisé une puce mettant en œuvre cette théorie : un DSP pour prothèse auditive. Grâce à leur astuce, la puce parvient à monter deux fois plus haut en fréquence, tout en consommant moitié moins que des DSP standard, et ce en introduisant un taux d'erreur de seulement 8%.

Ces performances s'expliquent en fait par la simplicité de la puce : une puce classique, garantissant un fonctionnement sans erreur, utilise énormément de transistors pour assurer le contrôle d'erreurs, ce qui augmente grandement la complexité de la puce, et donc sa consommation, tout en diminuant sa tenue aux hautes fréquences.

Bien entendu, de tels taux d'erreurs ne sont pas tolérables pour toutes les applications. Pour le calcul scientifique par exemple, il est important d'avoir une précision maximale. Mais selon les chercheurs, dans tous les domaines où la perception humaine entre en jeux, un tel taux d'erreur est tolérable, car imperceptible pour l'utilisateur. Cette astuce pourrait donc être utilisé dans les processeurs audio, mais aussi les GPU et les puces de traitement vidéo.

Cette idée est d'ailleurs assez proche de celle qui est utilisée en compression audio et vidéo, où les forts taux de compression sont atteints avec des compression dites destructrices, qui éliminent les détails les moins perceptibles par l'oreille ou l'œil humain.

Posté par Matt le 24/03/2011 à 10h11
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Source : Tom's Hardware

Xbox 360

Lancée par Microsoft fin 2005, la Xbox 360 pourrait n'être qu'à la moitié de sa carrière. En effet, selon des sources internes de Microsoft, sa remplaçante pourrait n'arriver sur le marché qu'en 2015.

Si cette information se confirme, la durée de vie de la Xbox 360 serait un record pour une console, même si elle pourrait être rapidement rejointe par la PlayStation 3, à qui Sony avait également promis une durée de vie de l'ordre de la décennie. Même s'il ne s'agit là que d'une rumeur, cette information concorde avec une annonce de Microsoft, qui avait annoncé que l'interface Kinect donnerait encore 5 ans de durée de vie à la console.

Pour rappel, la première Xbox n'avait pour sa part eu droit qu'à quatre ans avant d'être remplacée par la Xbox 360. C'était la plus courte durée de vie parmi les consoles de sixième génération, la PlayStation 2 et Gamecube ayant respectivement duré 6 et 5 ans.

On notera également que nVidia, qui a déjà annoncé travailler sur les GPU des prochaines générations de consoles, a indiqué récemment voir bien plus d’opportunités pour son avenir dans le marché des mobiles que dans celui des consoles, qu'il trouve trop statique. Cette déclaration tendrait aussi à confirmer que la génération actuelle de console durera beaucoup plus longtemps que la précédente...

Posté par Matt le 23/03/2011 à 10h30
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Sources : Tom's Hardware et Gamepro

Amazon

En lançant son Kindle il y a plus de trois ans, Amazon est devenu l'un des acteurs majeurs du livre numérique, tant du côté du matériel que du contenu. La librairie en ligne, qui a déjà beaucoup diversifié ses activités, envisagerait désormais de s'attaquer au marché des tablettes tactiles, avec un Kindle sous Android.

En effet, Amazon a publié cinq offres d'emploi pour des postes demandant une expérience professionnelle avec Android, tant dans le secteur logiciel que dans le matériel. Les analystes prévoyant une explosion du marché des tablettes tactiles en 2011, il ne serait donc pas surprenant que ces annonces soient en lien avec ce type de produit, d'autant que la hausse de leurs ventes pourrait impacter négativement les ventes de Kindle.

En lançant sa propre tablette, Amazon pourrait donc non seulement compenser l'éventuelle baisse des ventes du Kindle, mais aussi profiter de la renommé de sa marque Kindle pour se tailler une place de choix sur le marché des tablettes.

Rappelons également qu'Amazon a dévoilé il y a quelques temps l'Amazon AppStore, une boutique d'applications Android. Celle ci pourrait donc être en lien avec l'arrivée de produits Amazon basés sur Android.

Posté par Matt le 22/03/2011 à 14h20
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Source : Silicon.fr